Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône
Zoom nouveauté : "Nicostratos le pélican" d'Olivier Horlait
L'histoire
Yannis 14 ans, vit sur une petite île grecque qui a su demeurer sauvage. Depuis la mort de sa mère, la relation qui l’unit à son père s’est dégradée. Il sauve d’une mort probable un jeune pélican qui devient son ami. Le temps d’un été, Yannis rencontre Angéliki, une jeune fille de dix-sept ans dont l’insouciance, la fantaisie et la spontanéité l’entraînent sur des chemins qui ne sont pas les siens. C’est un été unique, celui dont on se souvient tout le reste de sa vie. Yannis y découvrira l’amour que son père lui porte et qu’il n’avait jamais su lui témoigner.
Un film d'Olivier Horlait avec Thibault Le Guellec, Emir Kusturica, François-Xavier Demaison, Jade Rose Parker.
Bonus : propos d'Olivier Horlait et Eric Boisset, auteur du livre "Nicostratos" (Editions Magnard)
Un adage du métier dit qu’il faut éviter de mêler l’auteur d’un roman qu’on adapte à l’écriture du scenario ? Vous avez l’esprit de contradiction, ou quoi ?
Olivier Horlait : Non, mais Eric Boisset était tellement enthousiaste. Il était prêt à se mettre totalement à la disposition du film. Il a vite compris et accepté les changements que je lui proposais. Comme quoi il n’y a pas de règles…
Et vous Eric Boisset, comment avez-vous vécu cette collaboration ?
Eric Boisset : Je connaissais le travail d’Olivier et mon postulat a été le suivant : cinématographiquement, il sait et j’ignore. Pour le reste, on discute.
Adapter, n’est-ce pas trahir ? Quel est votre sentiment sur ce point ?
O H : Non. Adapter, c’est rendre cinématographique ce qui est littéraire. Pour ce faire, il faut transformer tantôt les personnages, tantôt les situations, tantôt les dialogues. Mais je ne pense pas avoir trahi quoi que ce soit.
Eric, vous êtes-vous senti trahi ?
E B : Traduit, plutôt. Comme dans une langue étrangère faite d’images magnifiques, de musiques et de mots. Je peux comprendre qu’un auteur découvrant un film tiré d’un de ses livres soit surpris, voire déçu. Dans le cas de "Nicostratos", c’était différent puisqu’Olivier m’a associé à l’écriture du scénario. Il ne pouvait pas y avoir de mauvaises surprises.
Qu'est-ce qui vous a décidé à adapter "Nicostratos" ?
O H : Je dois dire que Guénolée Dupart, collaboratrice d’Isabelle Magnard, a eu du nez. C’est elle qui m’a indiqué le roman. J’ai apprécié l’histoire et l’excellente courbe dramatique. Et puis, par tempérament, je suis plutôt Mare nostrum que Mer du nord. Tourner en Grèce, sur une île parfumée baignée par la mer Egée, je n’envisageais pas du tout cela comme un supplice… Je suis immédiatement parti observer les pélicans à Villard lès Dombes, au Parc des oiseaux qui a été un partenaire très important sur ce projet. Cela a fini de me convaincre. J’ai trouvé la démarche et les regards de ces grands oiseaux touchants et drôles à la fois. En vol, le pélican est majestueux. C’est d’autant plus paradoxal que c’est l’oiseau le plus lourd dans l’air.
Ajoutez à cela qu’il n’avait jamais été filmé. C’était très excitant. Philippe Gautier, le producteur exécutif, a eu l’idée formidable d’utiliser les oiseaux du «Peuple Migrateur» .Un grand merci à Jacques Perrin qui nous a autorisé à les filmer et à Yannik Clerquin le "papa" de ces pélicans.
Comment ça le "papa" ?
O H : C’est lui qui les a "imprégnés". C’est-à-dire qu’il les a quasiment couvés. Il faisait les "deux douze" avec sa femme près des œufs. Il y en avait continuellement un des deux qui dormait à coté. Lorsqu’ils ont éclos, Yannick portait un survêtement jaune. La première chose que les oisillons ont vue en ouvrant les yeux était cette forme jaune : ils l’ont assimilée à leur géniteur. Lorsqu’on est allé au "parc" pour la première fois, Yannick n’avait pas vu ses pélicans depuis longtemps. Il a mis un pull jaune et les oiseaux se sont réfugiés contre lui. C’était incroyable !
Les animaux sont très présents dans vos films et romans respectifs. Pourquoi ?
O H : Je crois qu’ils m’aiment bien.
E B : J’ai grandi dans une cité à Valence où les seuls animaux qu’on croisait étaient des cafards dans la cage d’escalier. A l’âge de dix ans, sans transition on a déménagé en pleine cambrousse, dans un coin perdu de la Drôme provençale. Un choc pour moi ! A la vue de ma première chèvre, j’ai cru que je réagissais à l’ingestion d’un champignon hallucinogène. Quel était ce monstre cornu et barbichu devant moi ? Très vite, j’ai eu toute sorte de bestioles à la maison. Chien, chats, oiseaux, hérissons, corneilles… Il était tout naturel qu’elles trouvent place dans mes romans.
Il y a deux choses particulièrement difficiles au cinéma : faire tourner des enfants et faire tourner des animaux. Vous aimez les challenges, on dirait…
O H : Pas du tout. Le challenge, le coté "traversée" du Pacifique à la rame, ce n’est pas mon truc. Tourner avec des enfants ou des animaux, c’est pour moi un réel plaisir.
Ils sont neufs, sans tics ni déformations professionnelles d’aucune sorte. Quand ils sont doués, alors c’est un régal ! Thibault Le Guellec, Jade Rose Parker, Crack et Cookie (le pélican vedette et sa doublure) ont du talent à revendre.
Quand on voit le film, on est bluffé par les performances d’acteur du pélican. Comment obtient-on un tel résultat ?
O H : Avec une tonne et demie de poisson surgelé acheminé de Hollande.
E B : Pour ne pas chambouler les habitudes alimentaires des stars, la production a fait acheminer sur place du poisson identique à celui qu’ils mangeaient chez eux au Parc des Oiseaux de Villars Les Dombes.
Quelques anecdotes ?
O H : Pour obtenir le résultat souhaité avec les animaux dans le film, c’est :
- deux semaines de casting pour trouver les chats et les chèvres,
- trois jours de voyage (camion, avion et ferry) entre Villars lès Dombes (à côté de Bourg en Bresse) et les îles grecques.
- deux mois de répétition en Grèce avec Andrew Simpson et ses huit dresseurs (canadiens et américains) avec le pélican vedette et ses 7 doublures.
E B : Quand je suis arrivé à Milos, j’ai tout de suite remarqué des affichettes collées par la production un peu partout sur l’île. C’était une précaution à usage des chasseurs, pour éviter qu’ils ne tirent sur les gros oiseaux blancs !
O H : Oui. D’ailleurs, nous avons réussi à émouvoir le président du club de chasse (un grand costaud macho), en lui racontant l’histoire.
E B : Andrew et son équipe se sont attachés à la chèvre "Kitza", recrutée sur place pour les besoins du film. A la fin du tournage, ils ont tout fait pour l’emmener au Canada avec eux. Malheureusement, les complications administratives ne l’ont pas permis. Très déprimé, Andrew est allé rendre Kitza à son propriétaire, lui faisant jurer sur la bible (il s’était renseigné et savait l’homme très pieux) qu’il ne ferait aucun mal à la chevrette. Au moment de la séparation, Rowan, le dresseur attitré de "Kitza", sanglotait.
O H : Andrew était très excité par le projet. Pour lui, c’était le premier film qui mettait en scène un pélican dans un rôle principal et non comme figurant. A la fin du tournage, il m’a avoué qu’il était persuadé que les pélicans avaient adoré jouer dans le film et que lui et son équipe étaient fiers d’eux.
Et pourquoi Emir Kusturica ?
O H : Tout d’abord il était totalement crédible en pêcheur méditerranéen. Quand on s’est rencontré pour la première fois, j’ai compris que les animaux et les enfants faisaient partie de son univers. Et puis, cette manière qu’il a d’inclure la fantaisie dans toutes les situations, même les plus dramatiques, c’était cela avant tout que je recherchais chez lui. Un exemple : la scène de la croix. Je lui ai dit: « Voilà, tu arraches la croix du cou de ton fils. Ensuite qu’en fais-tu ? Tu la piétines ? Tu la jettes ?» Il m’a répondu : «Je la mange et ensuite j’ai le hoquet». Je me suis marré. Je lui ai alors proposé d’avoir ce hoquet à table, quelques heures plus tard : «Tu demandes à Yannis ton médicament et il te le donne : un grand coup de poêle à frire dans le dos pour te faire passer le hoquet !»
Cette fois, c’est Emir qui a éclaté de rire. Il a juste insisté pour qu’on veuille bien rembourrer sa chemise pour le protéger. Thibault a un sacré coup de poêle !
(extrait dossier de presse)
Autres films toujours à l'affiche :
"Noir océan" de Marion Hänsel
"Pourquoi tu pleures ?" de Katia Lewkowicz
"Une séparation", un film d'Asghar Farhadi
"Un baiser papillon" de Karine Silla Pérez
"Le complexe du castor" de et avec Jodie Foster
"Le gamin au vélo" de Jean-Pierre et Luc Dardenne
"L’œil invisible" de Diego Lerman
Je souhaite que, vous aussi, vous partagiez vos émotions et vos coups de cœur ciné. Envoyez vos critiques de films par mail (contact@journaldefrancois.fr ). Elles seront publiées dans le Journal !
Mercredi cinéma, c’est votre rendez-vous !
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Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
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Zoom nouveauté : "Nicostratos le pélican" d'Olivier Horlait
L'histoire
Yannis 14 ans, vit sur une petite île grecque qui a su demeurer sauvage. Depuis la mort de sa mère, la relation qui l’unit à son père s’est dégradée. Il sauve d’une mort probable un jeune pélican qui devient son ami. Le temps d’un été, Yannis rencontre Angéliki, une jeune fille de dix-sept ans dont l’insouciance, la fantaisie et la spontanéité l’entraînent sur des chemins qui ne sont pas les siens. C’est un été unique, celui dont on se souvient tout le reste de sa vie. Yannis y découvrira l’amour que son père lui porte et qu’il n’avait jamais su lui témoigner.
Un film d'Olivier Horlait avec Thibault Le Guellec, Emir Kusturica, François-Xavier Demaison, Jade Rose Parker.
Bonus : propos d'Olivier Horlait et Eric Boisset, auteur du livre "Nicostratos" (Editions Magnard)
Un adage du métier dit qu’il faut éviter de mêler l’auteur d’un roman qu’on adapte à l’écriture du scenario ? Vous avez l’esprit de contradiction, ou quoi ?
Olivier Horlait : Non, mais Eric Boisset était tellement enthousiaste. Il était prêt à se mettre totalement à la disposition du film. Il a vite compris et accepté les changements que je lui proposais. Comme quoi il n’y a pas de règles…
Et vous Eric Boisset, comment avez-vous vécu cette collaboration ?
Eric Boisset : Je connaissais le travail d’Olivier et mon postulat a été le suivant : cinématographiquement, il sait et j’ignore. Pour le reste, on discute.
Adapter, n’est-ce pas trahir ? Quel est votre sentiment sur ce point ?
O H : Non. Adapter, c’est rendre cinématographique ce qui est littéraire. Pour ce faire, il faut transformer tantôt les personnages, tantôt les situations, tantôt les dialogues. Mais je ne pense pas avoir trahi quoi que ce soit.
Eric, vous êtes-vous senti trahi ?
E B : Traduit, plutôt. Comme dans une langue étrangère faite d’images magnifiques, de musiques et de mots. Je peux comprendre qu’un auteur découvrant un film tiré d’un de ses livres soit surpris, voire déçu. Dans le cas de "Nicostratos", c’était différent puisqu’Olivier m’a associé à l’écriture du scénario. Il ne pouvait pas y avoir de mauvaises surprises.
Qu'est-ce qui vous a décidé à adapter "Nicostratos" ?
O H : Je dois dire que Guénolée Dupart, collaboratrice d’Isabelle Magnard, a eu du nez. C’est elle qui m’a indiqué le roman. J’ai apprécié l’histoire et l’excellente courbe dramatique. Et puis, par tempérament, je suis plutôt Mare nostrum que Mer du nord. Tourner en Grèce, sur une île parfumée baignée par la mer Egée, je n’envisageais pas du tout cela comme un supplice… Je suis immédiatement parti observer les pélicans à Villard lès Dombes, au Parc des oiseaux qui a été un partenaire très important sur ce projet. Cela a fini de me convaincre. J’ai trouvé la démarche et les regards de ces grands oiseaux touchants et drôles à la fois. En vol, le pélican est majestueux. C’est d’autant plus paradoxal que c’est l’oiseau le plus lourd dans l’air.
Ajoutez à cela qu’il n’avait jamais été filmé. C’était très excitant. Philippe Gautier, le producteur exécutif, a eu l’idée formidable d’utiliser les oiseaux du «Peuple Migrateur» .Un grand merci à Jacques Perrin qui nous a autorisé à les filmer et à Yannik Clerquin le "papa" de ces pélicans.
Comment ça le "papa" ?
O H : C’est lui qui les a "imprégnés". C’est-à-dire qu’il les a quasiment couvés. Il faisait les "deux douze" avec sa femme près des œufs. Il y en avait continuellement un des deux qui dormait à coté. Lorsqu’ils ont éclos, Yannick portait un survêtement jaune. La première chose que les oisillons ont vue en ouvrant les yeux était cette forme jaune : ils l’ont assimilée à leur géniteur. Lorsqu’on est allé au "parc" pour la première fois, Yannick n’avait pas vu ses pélicans depuis longtemps. Il a mis un pull jaune et les oiseaux se sont réfugiés contre lui. C’était incroyable !
Les animaux sont très présents dans vos films et romans respectifs. Pourquoi ?
O H : Je crois qu’ils m’aiment bien.
E B : J’ai grandi dans une cité à Valence où les seuls animaux qu’on croisait étaient des cafards dans la cage d’escalier. A l’âge de dix ans, sans transition on a déménagé en pleine cambrousse, dans un coin perdu de la Drôme provençale. Un choc pour moi ! A la vue de ma première chèvre, j’ai cru que je réagissais à l’ingestion d’un champignon hallucinogène. Quel était ce monstre cornu et barbichu devant moi ? Très vite, j’ai eu toute sorte de bestioles à la maison. Chien, chats, oiseaux, hérissons, corneilles… Il était tout naturel qu’elles trouvent place dans mes romans.
Il y a deux choses particulièrement difficiles au cinéma : faire tourner des enfants et faire tourner des animaux. Vous aimez les challenges, on dirait…
O H : Pas du tout. Le challenge, le coté "traversée" du Pacifique à la rame, ce n’est pas mon truc. Tourner avec des enfants ou des animaux, c’est pour moi un réel plaisir.
Ils sont neufs, sans tics ni déformations professionnelles d’aucune sorte. Quand ils sont doués, alors c’est un régal ! Thibault Le Guellec, Jade Rose Parker, Crack et Cookie (le pélican vedette et sa doublure) ont du talent à revendre.
Quand on voit le film, on est bluffé par les performances d’acteur du pélican. Comment obtient-on un tel résultat ?
O H : Avec une tonne et demie de poisson surgelé acheminé de Hollande.
E B : Pour ne pas chambouler les habitudes alimentaires des stars, la production a fait acheminer sur place du poisson identique à celui qu’ils mangeaient chez eux au Parc des Oiseaux de Villars Les Dombes.
Quelques anecdotes ?
O H : Pour obtenir le résultat souhaité avec les animaux dans le film, c’est :
- deux semaines de casting pour trouver les chats et les chèvres,
- trois jours de voyage (camion, avion et ferry) entre Villars lès Dombes (à côté de Bourg en Bresse) et les îles grecques.
- deux mois de répétition en Grèce avec Andrew Simpson et ses huit dresseurs (canadiens et américains) avec le pélican vedette et ses 7 doublures.
E B : Quand je suis arrivé à Milos, j’ai tout de suite remarqué des affichettes collées par la production un peu partout sur l’île. C’était une précaution à usage des chasseurs, pour éviter qu’ils ne tirent sur les gros oiseaux blancs !
O H : Oui. D’ailleurs, nous avons réussi à émouvoir le président du club de chasse (un grand costaud macho), en lui racontant l’histoire.
E B : Andrew et son équipe se sont attachés à la chèvre "Kitza", recrutée sur place pour les besoins du film. A la fin du tournage, ils ont tout fait pour l’emmener au Canada avec eux. Malheureusement, les complications administratives ne l’ont pas permis. Très déprimé, Andrew est allé rendre Kitza à son propriétaire, lui faisant jurer sur la bible (il s’était renseigné et savait l’homme très pieux) qu’il ne ferait aucun mal à la chevrette. Au moment de la séparation, Rowan, le dresseur attitré de "Kitza", sanglotait.
O H : Andrew était très excité par le projet. Pour lui, c’était le premier film qui mettait en scène un pélican dans un rôle principal et non comme figurant. A la fin du tournage, il m’a avoué qu’il était persuadé que les pélicans avaient adoré jouer dans le film et que lui et son équipe étaient fiers d’eux.
Et pourquoi Emir Kusturica ?
O H : Tout d’abord il était totalement crédible en pêcheur méditerranéen. Quand on s’est rencontré pour la première fois, j’ai compris que les animaux et les enfants faisaient partie de son univers. Et puis, cette manière qu’il a d’inclure la fantaisie dans toutes les situations, même les plus dramatiques, c’était cela avant tout que je recherchais chez lui. Un exemple : la scène de la croix. Je lui ai dit: « Voilà, tu arraches la croix du cou de ton fils. Ensuite qu’en fais-tu ? Tu la piétines ? Tu la jettes ?» Il m’a répondu : «Je la mange et ensuite j’ai le hoquet». Je me suis marré. Je lui ai alors proposé d’avoir ce hoquet à table, quelques heures plus tard : «Tu demandes à Yannis ton médicament et il te le donne : un grand coup de poêle à frire dans le dos pour te faire passer le hoquet !»
Cette fois, c’est Emir qui a éclaté de rire. Il a juste insisté pour qu’on veuille bien rembourrer sa chemise pour le protéger. Thibault a un sacré coup de poêle !
(extrait dossier de presse)
Autres films toujours à l'affiche :
"Noir océan" de Marion Hänsel
"Pourquoi tu pleures ?" de Katia Lewkowicz
"Une séparation", un film d'Asghar Farhadi
"Un baiser papillon" de Karine Silla Pérez
"Le complexe du castor" de et avec Jodie Foster
"Le gamin au vélo" de Jean-Pierre et Luc Dardenne
"L’œil invisible" de Diego Lerman
Je souhaite que, vous aussi, vous partagiez vos émotions et vos coups de cœur ciné. Envoyez vos critiques de films par mail (contact@journaldefrancois.fr ). Elles seront publiées dans le Journal !
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