Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône
Zoom nouveauté : "Le complexe du castor" de et avec Jodie Foster et avec Mel Gibson.
L'histoire
La vie de Walter n’est plus ce qu’elle était. Déprimé, vivant au ralenti, il s’éloigne de sa famille et de ses proches. Sa femme finit par le chasser de la maison pour le bien de leurs enfants.
Touchant le fond, il s’accroche malgré lui à une marionnette de castor trouvée un soir par hasard. Par jeu ou par désespoir, il utilise cette marionnette pour extérioriser toutes les choses qu’il n’ose pas dire à sa famille et ses collègues.
La marionnette devient alors comme une nouvelle personnalité, un nouveau Walter, plus positif et sûr de lui. Rapidement il reprend le contrôle de sa vie mais découvre peu à peu qu’il ne peut plus vivre sans son castor. Parviendra-t-il à se débarrasser de lui ?
Un film de et avec Jodie Foster et avec Mel Gibson.
Bonus : comment est né le scénario du "Complexe du castor" ?
Le scénariste Kyle Killen a imaginé le personnage de Walter Black, patron d’une entreprise de jouets qui sombre dans la dépression, puis qui retrouve le goût de vivre en s’exprimant à travers une marionnette de castor.
Au départ, Killen, diplômé de l’école de cinéma de la University of Southern California, s’était dit que l’histoire de Walter Black pouvait donner lieu à une nouvelle. «J’en ai eu l’idée quand ma femme est tombée enceinte de nos deux jumeaux et qu’on est reparti vivre à Austin.» explique le scénariste qui a grandi au Texas. «Mais, au lieu de me contenter d’une nouvelle, je me suis mis à écrire des centaines et des centaines de pages, si bien que j’ai envisagé d’en faire un roman. Mais au final, j’ai décidé d’en tirer un scénario.»
Killen ne s’était pas trompé : après avoir remis le script finalisé à son agent, il n’a récolté que des louanges. «Et pourtant, c’est une histoire des plus insolite» indique Killen. «J’ai été surpris. Et ravi.»
Le scénario n’a pas tardé à faire le tour d’Hollywood et à susciter les convoitises. Plusieurs sociétés de production avaient manifesté leur intérêt pour "Le Complexe du castor", avant même que celui-ci ne se retrouve en tête de la liste – établie par l’enquête Black List, en 2008 – des meilleurs scénarios encore sans producteurs.
Mais le scénario était dès lors entre les mains de Steve Golin, fondateur de Propaganda Films et aujourd’hui à la tête d’Anonymous Content. Réputé pour ses projets audacieux, comme "Dans la peau de John Malkovich" de Spike Jonze et "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" de Michel Gondry, Golin n’a pas hésité à s’engager dans "Le Complexe du castor". «J’ai trouvé que c’était un scénario extraordinaire, déclare-t-il, bien sûr, c’est une histoire délirante et singulière, puisqu’il s’agissait d’un type qui fuit la réalité et qui communique à travers une marionnette de castor. Mais c’est une histoire qui – étrangement – fonctionne très bien.»«Walter Black a vraiment touché le fond, reprend le producteur, il ne sait plus comment faire face et, alors qu’il n’a plus rien ni personne vers qui se tourner, il est sauvé par une marionnette de castor.»
Walter découvre la marionnette dans une benne à ordure devant chez le caviste où il s’approvisionne en alcools, et l’enfile sur sa main gauche. Alors qu’il était plongé dans un état d’hébétude inquiétant, il se met à communiquer à travers la marionnette, d’abord en se parlant à soi-même, puis à son entourage. Grâce au castor, Walter reprend goût à la vie. Il rétablit le contact avec sa famille, et reprend en main son entreprise de jouets qui battait de l’aile. Mais tout cela a un prix.
«C’était une métaphore très forte, mais elle fonctionnait,» affirme Golin. «Je suis habitué à ce genre d’histoires et j’avais le sentiment que ce scénario donnerait lieu à un film captivant.»
(extrait dossier de presse)
Je souhaite que, vous aussi, vous partagiez vos émotions et vos coups de cœur ciné. Envoyez vos critiques de films par mail (contact@journaldefrancois.fr ). Elles seront publiées dans le Journal !
Mercredi cinéma, c’est votre rendez-vous !
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L'histoire
La vie de Walter n’est plus ce qu’elle était. Déprimé, vivant au ralenti, il s’éloigne de sa famille et de ses proches. Sa femme finit par le chasser de la maison pour le bien de leurs enfants.
Touchant le fond, il s’accroche malgré lui à une marionnette de castor trouvée un soir par hasard. Par jeu ou par désespoir, il utilise cette marionnette pour extérioriser toutes les choses qu’il n’ose pas dire à sa famille et ses collègues.
La marionnette devient alors comme une nouvelle personnalité, un nouveau Walter, plus positif et sûr de lui. Rapidement il reprend le contrôle de sa vie mais découvre peu à peu qu’il ne peut plus vivre sans son castor. Parviendra-t-il à se débarrasser de lui ?
Un film de et avec Jodie Foster et avec Mel Gibson.
Bonus : comment est né le scénario du "Complexe du castor" ?
Le scénariste Kyle Killen a imaginé le personnage de Walter Black, patron d’une entreprise de jouets qui sombre dans la dépression, puis qui retrouve le goût de vivre en s’exprimant à travers une marionnette de castor.
Au départ, Killen, diplômé de l’école de cinéma de la University of Southern California, s’était dit que l’histoire de Walter Black pouvait donner lieu à une nouvelle. «J’en ai eu l’idée quand ma femme est tombée enceinte de nos deux jumeaux et qu’on est reparti vivre à Austin.» explique le scénariste qui a grandi au Texas. «Mais, au lieu de me contenter d’une nouvelle, je me suis mis à écrire des centaines et des centaines de pages, si bien que j’ai envisagé d’en faire un roman. Mais au final, j’ai décidé d’en tirer un scénario.»
Killen ne s’était pas trompé : après avoir remis le script finalisé à son agent, il n’a récolté que des louanges. «Et pourtant, c’est une histoire des plus insolite» indique Killen. «J’ai été surpris. Et ravi.»
Le scénario n’a pas tardé à faire le tour d’Hollywood et à susciter les convoitises. Plusieurs sociétés de production avaient manifesté leur intérêt pour "Le Complexe du castor", avant même que celui-ci ne se retrouve en tête de la liste – établie par l’enquête Black List, en 2008 – des meilleurs scénarios encore sans producteurs.
Mais le scénario était dès lors entre les mains de Steve Golin, fondateur de Propaganda Films et aujourd’hui à la tête d’Anonymous Content. Réputé pour ses projets audacieux, comme "Dans la peau de John Malkovich" de Spike Jonze et "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" de Michel Gondry, Golin n’a pas hésité à s’engager dans "Le Complexe du castor". «J’ai trouvé que c’était un scénario extraordinaire, déclare-t-il, bien sûr, c’est une histoire délirante et singulière, puisqu’il s’agissait d’un type qui fuit la réalité et qui communique à travers une marionnette de castor. Mais c’est une histoire qui – étrangement – fonctionne très bien.»«Walter Black a vraiment touché le fond, reprend le producteur, il ne sait plus comment faire face et, alors qu’il n’a plus rien ni personne vers qui se tourner, il est sauvé par une marionnette de castor.»
Walter découvre la marionnette dans une benne à ordure devant chez le caviste où il s’approvisionne en alcools, et l’enfile sur sa main gauche. Alors qu’il était plongé dans un état d’hébétude inquiétant, il se met à communiquer à travers la marionnette, d’abord en se parlant à soi-même, puis à son entourage. Grâce au castor, Walter reprend goût à la vie. Il rétablit le contact avec sa famille, et reprend en main son entreprise de jouets qui battait de l’aile. Mais tout cela a un prix.
«C’était une métaphore très forte, mais elle fonctionnait,» affirme Golin. «Je suis habitué à ce genre d’histoires et j’avais le sentiment que ce scénario donnerait lieu à un film captivant.»
(extrait dossier de presse)
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