Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône
Zoom nouveauté : "Au cas où je n’aurais pas la Palme d’Or" de Renaud Cohen
L'histoire
Simon, cinéaste, la quarantaine tourne plus souvent en rond que des films.
A la suite d'un pari perdu, il se rase les cheveux, et découvre une étrange bosse au sommet de son crâne.
Se pensant condamné, il réquisitionne famille, amis, acteurs et pavillon aux Lilas pour tourner sans attendre la comédie de sa vie !
Un film de et avec Renaud Cohen et avec Emmanuel Salinger, Frédéric Pierrot, Julie Gayet, Maurice Bénichou, Bruno Todeschini…
Bonus ; propos de Renaud Cohen, réalisateur du film
Après avoir réalisé en 2001 "Quand on sera grand", mon premier long métrage de fiction, j’ai voyagé, tourné des documentaires en Chine, et… j’ai écrit de nombreux scénarios qui sont restés dans les tiroirs !!!
Mon hypocondrie naturelle aidant, je me suis dit qu’il fallait que je renoue d’urgence avec le bonheur de raconter une histoire, sous peine de développer d’affreuses maladies. J’ai donc décidé de raconter quelque chose d’entièrement (ou presque) inventé."Au cas où je n’aurais pas la Palme d’Or" est un film d’inspiration autobiographique. C’est l’histoire de Simon, réalisateur quadragénaire, qui vit avec sa famille aux Lilas. Il n’a pas tourné depuis longtemps, et regarde avec nostalgie son précédent film qui fût un succès. Le jour où il découvre qu’il a une bosse au sommet du crâne et peut-être - pourquoi pas - une tumeur au cerveau, il décide de tourner rapidement ce qui risque d’être son dernier film.
Se met alors en route le processus de fabrication : écriture, discussion avec le producteur, casting et recherche de financement.
Simon est prêt à tout pour financer son film, il tape amis et famille, propose à ses parents de vendre leur appartement, en échange il va leur dégotter un mignon petit taudis.Simon, c’est un peu le « Woody Allen » des Lilas. Rien ne peut l’arrêter, il a déjà usé précédemment trois scénaristes d’affilée et n’hésite pas à aller hurler dans un mégaphone sous les fenêtres du CNC (Centre National du Cinéma et de l’Image Animée) pour demander ce qui lui fait le plus défaut : de l’argent.
Il sait que sa vie et son œuvre risquent de partir en vrille ! Mais il fonce.
On pourrait dire que sa conduite est dictée par l’adage « Aide toi le ciel t’aidera » et il va y arriver ! Sans le ciel, juste grâce à son obstination.
"Au cas où je n’aurais pas la Palme d’Or" est un film tourné dans l’urgence de passer à l’« action ! ». C’est une comédie qui raconte la frustration du cinéaste dont la création est bloquée, faute de moyens financiers « officiels ».
Mais qui montre aussi que tout est possible, qu’il faut être fou, qu’il faut passer par les fenêtres lorsque les portes se ferment. C’est l’énergie de Simon, sa ténacité et son inconscience qui sont au cœur de cette histoire.
J’ai essayé de manier au mieux l’autodérision, pour que le pathétique se transforme en comique, les cris de désespoir en gloussements. Comme Simon, j’ai mélangé acteurs professionnels et personnages réels, fiction et documentaire : mes vrais parents, ma vraie compagne, mes vrais enfants, mon faux médecin etc. Navigant ainsi entre réalisme et loufoquerie. »
(extrait dossier de presse)
Autres films toujours à l'affiche :
"A cœur ouvert" de Marion Laine
"360" de Fernando Meirelles
'Bowling' de Marie-Castille Mention-Schaar
"Ma bonne étoile" d'Anne Fassio
"Paradis perdu" d'Eve Deboise
"Un bonheur n'arrive jamais seul" de James Huth
"Quand je serai petit" de Jean-Paul Rouve
"Bienvenue parmi nous" de Jean Becker
"Le grand soir" de Gustave Kervern et Benoit Delépine
"Les femmes du bus 678" de Mohamed Diab
Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône
Zoom nouveauté : "Au cas où je n’aurais pas la Palme d’Or" de Renaud Cohen
L'histoire
Simon, cinéaste, la quarantaine tourne plus souvent en rond que des films.
A la suite d'un pari perdu, il se rase les cheveux, et découvre une étrange bosse au sommet de son crâne.
Se pensant condamné, il réquisitionne famille, amis, acteurs et pavillon aux Lilas pour tourner sans attendre la comédie de sa vie !
Un film de et avec Renaud Cohen et avec Emmanuel Salinger, Frédéric Pierrot, Julie Gayet, Maurice Bénichou, Bruno Todeschini…
Bonus ; propos de Renaud Cohen, réalisateur du film
Après avoir réalisé en 2001 "Quand on sera grand", mon premier long métrage de fiction, j’ai voyagé, tourné des documentaires en Chine, et… j’ai écrit de nombreux scénarios qui sont restés dans les tiroirs !!!
Mon hypocondrie naturelle aidant, je me suis dit qu’il fallait que je renoue d’urgence avec le bonheur de raconter une histoire, sous peine de développer d’affreuses maladies. J’ai donc décidé de raconter quelque chose d’entièrement (ou presque) inventé."Au cas où je n’aurais pas la Palme d’Or" est un film d’inspiration autobiographique. C’est l’histoire de Simon, réalisateur quadragénaire, qui vit avec sa famille aux Lilas. Il n’a pas tourné depuis longtemps, et regarde avec nostalgie son précédent film qui fût un succès. Le jour où il découvre qu’il a une bosse au sommet du crâne et peut-être - pourquoi pas - une tumeur au cerveau, il décide de tourner rapidement ce qui risque d’être son dernier film.
Se met alors en route le processus de fabrication : écriture, discussion avec le producteur, casting et recherche de financement.
Simon est prêt à tout pour financer son film, il tape amis et famille, propose à ses parents de vendre leur appartement, en échange il va leur dégotter un mignon petit taudis.Simon, c’est un peu le « Woody Allen » des Lilas. Rien ne peut l’arrêter, il a déjà usé précédemment trois scénaristes d’affilée et n’hésite pas à aller hurler dans un mégaphone sous les fenêtres du CNC (Centre National du Cinéma et de l’Image Animée) pour demander ce qui lui fait le plus défaut : de l’argent.
Il sait que sa vie et son œuvre risquent de partir en vrille ! Mais il fonce.
On pourrait dire que sa conduite est dictée par l’adage « Aide toi le ciel t’aidera » et il va y arriver ! Sans le ciel, juste grâce à son obstination.
"Au cas où je n’aurais pas la Palme d’Or" est un film tourné dans l’urgence de passer à l’« action ! ». C’est une comédie qui raconte la frustration du cinéaste dont la création est bloquée, faute de moyens financiers « officiels ».
Mais qui montre aussi que tout est possible, qu’il faut être fou, qu’il faut passer par les fenêtres lorsque les portes se ferment. C’est l’énergie de Simon, sa ténacité et son inconscience qui sont au cœur de cette histoire.
J’ai essayé de manier au mieux l’autodérision, pour que le pathétique se transforme en comique, les cris de désespoir en gloussements. Comme Simon, j’ai mélangé acteurs professionnels et personnages réels, fiction et documentaire : mes vrais parents, ma vraie compagne, mes vrais enfants, mon faux médecin etc. Navigant ainsi entre réalisme et loufoquerie. »
(extrait dossier de presse)
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"A cœur ouvert" de Marion Laine
"360" de Fernando Meirelles
'Bowling' de Marie-Castille Mention-Schaar
"Ma bonne étoile" d'Anne Fassio
"Paradis perdu" d'Eve Deboise
"Un bonheur n'arrive jamais seul" de James Huth
"Quand je serai petit" de Jean-Paul Rouve
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"Le grand soir" de Gustave Kervern et Benoit Delépine
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