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Mercredi cinéma : "De rouille et d'os" de Jacques Audiard avec Marion Cotillard et Matthias Schoenaerts

Publié le : 16-05-2012

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône

 

De rouille et d'os de Jacques AudiardZoom nouveauté : "De rouille et d'os" de Jacques Audiard

L'histoire
Ça commence dans le Nord.
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
À la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone. Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions. Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.
Un film de Jacques Audiard avec Marion Cotillard Matthias Schoenaerts, Armand Verdure Céline Sallette Corinne Masiero, Bouli Lanners Jean-Michel Correia.

 

Bonus : Jacques Audiard et Thomas Bidegain (coscénariste) présentent leur film

Il y a quelque chose de saisissant dans le recueil de nouvelles de Craig Davidson "De Rouille Et d’Os" : le tableau d’un monde moderne vacillant, à l’intérieur duquel des trajectoires individuelles, des destins simples, se trouveraient magnifiés par le drame et les accidents. Une vision des Etats-Unis en univers rationnel où les corps devraient lutter pour trouver leur place, pour tenter de bousculer le sort qui leur est réservé.
Mathieu Schoenaeerts et Marion CotillardAli et Stéphanie, nos deux personnages n’existent pas dans les nouvelles, et le recueil de Craig Davidson semble appartenir à la préhistoire du projet, mais la force et la brutalité du récit, la volonté de sublimer les personnages par le drame, par le mélodrame, en sont directement issues.
Dès le début de notre travail d’adaptation, nous nous sommes tournés vers une forme cinématographique que faute de mieux nous appelions « expressionniste », où la force des images viendrait servir le mélodrame. Une esthétique tranchée, brutale et contrastée. Celle Marion Cotillardde la Grande Dépression, celle des films de foire, où l’extraordinaire étrangeté des propositions visuelles sublime la noirceur du réel. Celle d’un monde où « Dieu vomit les tièdes ».
C’est cette forme qui nous a guidés tout au long de l’écriture du scénario. Elle porte cette histoire d’amour qui est le véritable héros du film. Elle est le monde à travers les yeux d’un enfant perdu. Elle rend compte de la noblesse de nos personnages au milieu de la violence d’un monde de catastrophe économique. Elle respecte l’opiniâtreté dont Ali et Stéphanie font preuve pour s’extraire de leur condition.
(extrait dossier de presse)

 

 

Autres films toujours à l'affiche :

"11 fleurs" de Wan Xiao Shuai
"Le secret de l'enfant fourmi" de Christine François
"Avé" de Konstantin Bojanov
"L'enfant d'en haut" d'Ursula Meier
"Radiostars" de Romain Lévy
"Le fils de l'autre" de Lorraine Lévy
"La terre outragée" de Michale Boganim
 "Les adieux à la reine" de Benoit Jacquot
"Cloclo" de Florent-Emilio Siri

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône

 

De rouille et d'os de Jacques AudiardZoom nouveauté : "De rouille et d'os" de Jacques Audiard

L'histoire
Ça commence dans le Nord.
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
À la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone. Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions. Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.
Un film de Jacques Audiard avec Marion Cotillard Matthias Schoenaerts, Armand Verdure Céline Sallette Corinne Masiero, Bouli Lanners Jean-Michel Correia.

 

Bonus : Jacques Audiard et Thomas Bidegain (coscénariste) présentent leur film

Il y a quelque chose de saisissant dans le recueil de nouvelles de Craig Davidson "De Rouille Et d’Os" : le tableau d’un monde moderne vacillant, à l’intérieur duquel des trajectoires individuelles, des destins simples, se trouveraient magnifiés par le drame et les accidents. Une vision des Etats-Unis en univers rationnel où les corps devraient lutter pour trouver leur place, pour tenter de bousculer le sort qui leur est réservé.
Mathieu Schoenaeerts et Marion CotillardAli et Stéphanie, nos deux personnages n’existent pas dans les nouvelles, et le recueil de Craig Davidson semble appartenir à la préhistoire du projet, mais la force et la brutalité du récit, la volonté de sublimer les personnages par le drame, par le mélodrame, en sont directement issues.
Dès le début de notre travail d’adaptation, nous nous sommes tournés vers une forme cinématographique que faute de mieux nous appelions « expressionniste », où la force des images viendrait servir le mélodrame. Une esthétique tranchée, brutale et contrastée. Celle Marion Cotillardde la Grande Dépression, celle des films de foire, où l’extraordinaire étrangeté des propositions visuelles sublime la noirceur du réel. Celle d’un monde où « Dieu vomit les tièdes ».
C’est cette forme qui nous a guidés tout au long de l’écriture du scénario. Elle porte cette histoire d’amour qui est le véritable héros du film. Elle est le monde à travers les yeux d’un enfant perdu. Elle rend compte de la noblesse de nos personnages au milieu de la violence d’un monde de catastrophe économique. Elle respecte l’opiniâtreté dont Ali et Stéphanie font preuve pour s’extraire de leur condition.
(extrait dossier de presse)

 

 

Autres films toujours à l'affiche :

"11 fleurs" de Wan Xiao Shuai
"Le secret de l'enfant fourmi" de Christine François
"Avé" de Konstantin Bojanov
"L'enfant d'en haut" d'Ursula Meier
"Radiostars" de Romain Lévy
"Le fils de l'autre" de Lorraine Lévy
"La terre outragée" de Michale Boganim
 "Les adieux à la reine" de Benoit Jacquot
"Cloclo" de Florent-Emilio Siri

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