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Festival FMAJI : Duo violon - piano avec Amanda Favier et Dana Ciocarlie.

Fmaji à Groslay - 7 novembre 2021Dimanche 7 novembre 2021
Groslay

Le Festival Musical d’Automne des Jeunes Interprètes (FMAJI) accueille à Groslay la violoniste Amanda Favier et la pianiste Dana Ciocarlie pour un récital en duo "violon - piano"
Au programme : œuvres de Fauré, Debussy, Ravel.

Présentation du concert (extrait communiqué de presse)
La violoniste Amanda Favier et la pianiste Dana Ciocarlie, deux femmes électriques et étincelantes, nous offrent un bouquet des trois belles sonates du répertoire français pour violon et piano.

Ravel :  La sonate pour violon et piano est la deuxième sonate pour violon et piano et de la dernière œuvre de musique de chambre du compositeur. La création eut lieu le 30 mai 1927, à la Salle Érard à Paris, avec Georges Enesco au violon et Ravel lui-même au piano.

La genèse fut particulièrement longue (cinq ans) n'a pas d'explication claire : Ravel affirmait qu'il avait besoin de tout ce temps pour « éliminer les notes inutiles ». Il rapporte, dans un autre texte, que le violon lui semblait « essentiellement incompatible » avec le piano. Il est intéressant de remarquer que son autre œuvre majeure pour le violon, "Tzigane", a été associé au lutéal, un instrument à la croisée des chemins entre le clavecin, le cymbalum et le piano-forte.
Cette œuvre comporte trois mouvements dont un final hautement virtuose.
1. Allegretto
2. Blues
3. Perpetuum mobile

Debussy :  La sonate en sol mineur pour violon et piano fut composée entre 1916 et 1917 et créée le 5 mai 1917 salle Gaveau à Paris par le compositeur au piano et Gaston Poulet au violon. C'est aussi avec cette œuvre que Debussy fera sa dernière apparition en public au mois de septembre suivant. Les trois mouvements de la sonate,
1. Allegro vivo
2. Intermède. Fantasque et léger
3. Finale. Très animé
dévoilent des références à Couperin et Rameau, tour à tour décoratives, fantasques ou émouvantes. Les trois mouvements s'agencent en un canevas discontinu, brisé en une mosaïque de thèmes qui s'éveillent et se recouvrent mutuellement.
Selon Debussy, la sonate est traversée par des accents mystérieux et angoissés, douloureux et tendres, et sous l'apparence fantasque de l'Intermède central se devine un sentiment tragique. Debussy comparaît le Finale, qui lui donna beaucoup de mal, au « jeu simple d'une idée tournant sur elle-même comme un serpent qui se mord la queue ».

Entracte

Fauré :  La sonate pour violon et piano en la majeur opus 13 est la première des deux sonates pour violon de Gabriel Fauré. Composée en 1875 à Sainte-Adresse et achevée début 1876, elle est créée le 27 janvier 1877 à la Société nationale de musique à Paris par Marie Tayau au violon et le compositeur au piano avec un accueil des plus chaleureux. Elle inaugure par son originalité et sa perfection formelle la nouvelle musique de chambre française.
1. Allegro molto
2. Andante
3. Scherzo : Allegro vivo
4. Finale : Allegro quasi presto (en la majeur
Les mots de Saint-Saëns résument bien la reconnaissance que Fauré reçut alors de ses pairs :
« On trouve dans cette sonate tout ce qui peut séduire : la nouveauté des formes, la recherche des modulations, des sonorités curieuses, l'emploi des rythmes les plus imprévus. Sur tout cela plane un charme qui enveloppe l'œuvre entière et fait accepter à la foule des auditeurs comme choses toutes naturelles, les hardiesses les plus imprévues. Avec cette composition, M. Fauré s'est placé d'un bond au niveau des maîtres. »

Dimanche 7 novembre 2021 à 16h - Eglise Saint-Martin 2 rue de Montmorency Groslay - Tarif : 15 € par concert, gratuit pour les adhérents à l'association FMAJI et pour les moins de 21 ans - Réservations au 01 34 28 68 64.

Fmaji à Groslay - 7 novembre 2021Dimanche 7 novembre 2021
Groslay

Le Festival Musical d’Automne des Jeunes Interprètes (FMAJI) accueille à Groslay la violoniste Amanda Favier et la pianiste Dana Ciocarlie pour un récital en duo "violon - piano"
Au programme : œuvres de Fauré, Debussy, Ravel.

Présentation du concert (extrait communiqué de presse)
La violoniste Amanda Favier et la pianiste Dana Ciocarlie, deux femmes électriques et étincelantes, nous offrent un bouquet des trois belles sonates du répertoire français pour violon et piano.

Ravel :  La sonate pour violon et piano est la deuxième sonate pour violon et piano et de la dernière œuvre de musique de chambre du compositeur. La création eut lieu le 30 mai 1927, à la Salle Érard à Paris, avec Georges Enesco au violon et Ravel lui-même au piano.

La genèse fut particulièrement longue (cinq ans) n'a pas d'explication claire : Ravel affirmait qu'il avait besoin de tout ce temps pour « éliminer les notes inutiles ». Il rapporte, dans un autre texte, que le violon lui semblait « essentiellement incompatible » avec le piano. Il est intéressant de remarquer que son autre œuvre majeure pour le violon, "Tzigane", a été associé au lutéal, un instrument à la croisée des chemins entre le clavecin, le cymbalum et le piano-forte.
Cette œuvre comporte trois mouvements dont un final hautement virtuose.
1. Allegretto
2. Blues
3. Perpetuum mobile

Debussy :  La sonate en sol mineur pour violon et piano fut composée entre 1916 et 1917 et créée le 5 mai 1917 salle Gaveau à Paris par le compositeur au piano et Gaston Poulet au violon. C'est aussi avec cette œuvre que Debussy fera sa dernière apparition en public au mois de septembre suivant. Les trois mouvements de la sonate,
1. Allegro vivo
2. Intermède. Fantasque et léger
3. Finale. Très animé
dévoilent des références à Couperin et Rameau, tour à tour décoratives, fantasques ou émouvantes. Les trois mouvements s'agencent en un canevas discontinu, brisé en une mosaïque de thèmes qui s'éveillent et se recouvrent mutuellement.
Selon Debussy, la sonate est traversée par des accents mystérieux et angoissés, douloureux et tendres, et sous l'apparence fantasque de l'Intermède central se devine un sentiment tragique. Debussy comparaît le Finale, qui lui donna beaucoup de mal, au « jeu simple d'une idée tournant sur elle-même comme un serpent qui se mord la queue ».

Entracte

Fauré :  La sonate pour violon et piano en la majeur opus 13 est la première des deux sonates pour violon de Gabriel Fauré. Composée en 1875 à Sainte-Adresse et achevée début 1876, elle est créée le 27 janvier 1877 à la Société nationale de musique à Paris par Marie Tayau au violon et le compositeur au piano avec un accueil des plus chaleureux. Elle inaugure par son originalité et sa perfection formelle la nouvelle musique de chambre française.
1. Allegro molto
2. Andante
3. Scherzo : Allegro vivo
4. Finale : Allegro quasi presto (en la majeur
Les mots de Saint-Saëns résument bien la reconnaissance que Fauré reçut alors de ses pairs :
« On trouve dans cette sonate tout ce qui peut séduire : la nouveauté des formes, la recherche des modulations, des sonorités curieuses, l'emploi des rythmes les plus imprévus. Sur tout cela plane un charme qui enveloppe l'œuvre entière et fait accepter à la foule des auditeurs comme choses toutes naturelles, les hardiesses les plus imprévues. Avec cette composition, M. Fauré s'est placé d'un bond au niveau des maîtres. »

Dimanche 7 novembre 2021 à 16h - Eglise Saint-Martin 2 rue de Montmorency Groslay - Tarif : 15 € par concert, gratuit pour les adhérents à l'association FMAJI et pour les moins de 21 ans - Réservations au 01 34 28 68 64.

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