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Conférence-débat : "Les prisons... et après !"

Jeudi 19 mai
Eaubonne

La section locale de la Ligue des Droits de l'Homme (Sannois – Ermont – Eaubonne – Saint-Gratien) organise une conférence-débat exceptionnelle sur le thème suivant : "Les prisons et après !"
Parmi les invités à débattre, notons la présence de François Bès, responsable Ile-de-France de l'OIP (Observatoire International des Prisons et de l'association GENEPI (Groupement Etudiant National d'Enseignement aux Personnes Incarcérées).
Saluons cette initiative courageuse : sensibiliser le grand public sur un sujet rarement abordé alors que la situation dans les prisons devient très difficile.

20h30 – Salle de l'Orangerie avenue de l'Europe (face à la Poste) Eaubonne – entrée libre.


Présentations de l'Observatoire International des Prisons
et de l'association GENEPI (Groupement Etudiant National d'Enseignement aux Personnes Incarcérées)

Depuis sa création à Paris en 1996, la section française de l'Observatoire international des prisons s'attache à promouvoir le respect de la dignité et des droits fondamentaux des personnes incarcérées. L'association fonde son action sur les dispositions de droit interne et les instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme qui prévoient que chacun a droit, en tout lieu, à la reconnaissance de sa personnalité juridique et que nul ne peut être soumis à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
La conviction de l'OIP est que la loi du silence carcéral doit être brisée et la société française placée face à ses prisons. L'efficacité de l'association repose sur la médiatisation des dysfonctionnements du "service public pénitentiaire" et l'interpellation permanente des autorités concernées sur les manquements au droit. En donnant la plus large publicité à tout ce qui porte atteinte à la dignité inhérente à la personne humaine, l'OIP contribue à rompre le silence qui entoure le monde carcéral. En demandant l'application du droit commun en prison, l'OIP cherche à combattre l'arbitraire qui caractérise le fonctionnement de toute institution pénitentiaire.
Concrètement, constatant à la fois l'atteinte à la dignité de la personne que constituent la peine d'emprisonnement et l'échec de son objectif de réinsertion, l'OIP s'est donné quatre moyens d'actions :
- il dresse et fait connaître l'état des conditions de détention des personnes incarcérées, alerte l'opinion, les pouvoirs publics, les organismes et les organisations concernés sur les mauvais traitements dont elles peuvent faire l'objet et sur l'ensemble des manquements observés ;
- il informe les personnes détenues de leurs droits et soutient leurs démarches pour les faire valoir ;
- il promeut d'une part l'adoption de lois, règlements et autres mesures propres à garantir la défense de la personne et le respect de ses droits ; et d'autre part la diminution du nombre de personnes détenues, la limitation du recours à l'incarcération, la réduction de l'échelle des peines, le développement d'alternatives aux poursuites pénales et de substituts aux sanctions privatives de liberté.
- Il utilise son droit d'ester en justice pour la sauvegarde des intérêts essentiels de la personne détenue et l'application des dispositions légales et réglementaires.
L'OIP agit hors de toute considération politique et quel que soit le motif de l'incarcération. Organisation indépendante des pouvoirs publics, disposant du statut consultatif auprès des Nations unies, l'OIP ne sollicite aucun mandat ou subvention du ministère de la Justice, s'interdit de prendre part à l'action d'aucun gouvernement, de soutenir aucun parti politique ou de prendre position à l'occasion de toute consultation électorale. L'efficacité de l'OIP repose sur la médiatisation systématique des dysfonctionnements du "service public pénitentiaire" et l'interpellation permanente des autorités concernées sur les manquements au droit. En donnant la plus large publicité à tout ce qui porte atteinte à la dignité inhérente à la personne humaine, l'OIP concourt à rompre le silence qui entoure le monde carcéral. En demandant l'application du droit commun en prison, l'OIP contribue à combattre l'arbitraire qui caractérise le fonctionnement de toute institution pénitentiaire.
(extrait du site internet de l'association)


Présentation de l'association GENEPI

Le GENEPI est une association de loi 1901 à but non lucratif, sans affiliation politique ni religieuse.
Son objet est de "collaborer à l'effort public en faveur de la réinsertion sociale des personnes incarcérées par le développement de contacts entre les étudiants de l'enseignement supérieur et le monde pénitentiaire" (art. 3 des Statuts).
Le début des années 1970 fut marqué par de violentes émeutes au sein des établissements pénitentiaires. Les pouvoirs publics décidèrent alors d'ouvrir les portes des prisons à des intervenants extérieurs.
A l'initiative de Lionel Stoléru, conseiller technique à la présidence de la République, le Groupement Etudiant National d'Enseignement aux Personnes Incarcérées voit le jour le 26 mai 1976. L'idée est d'instaurer un lien entre les étudiants et les personnes détenues. Pour ces derniers, les besoins en formations sont de plus très importants.
Depuis ce jour, ce sont chaque année plusieurs centaines d'étudiants (1 300 aujourd'hui) de toute la France et de tous types de filières qui s'engagent pour la réinsertion sociale des personnes incarcérées.
(extrait du site internet de l'association)

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Jeudi 19 mai
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La section locale de la Ligue des Droits de l'Homme (Sannois – Ermont – Eaubonne – Saint-Gratien) organise une conférence-débat exceptionnelle sur le thème suivant : "Les prisons et après !"
Parmi les invités à débattre, notons la présence de François Bès, responsable Ile-de-France de l'OIP (Observatoire International des Prisons et de l'association GENEPI (Groupement Etudiant National d'Enseignement aux Personnes Incarcérées).
Saluons cette initiative courageuse : sensibiliser le grand public sur un sujet rarement abordé alors que la situation dans les prisons devient très difficile.

20h30 – Salle de l'Orangerie avenue de l'Europe (face à la Poste) Eaubonne – entrée libre.


Présentations de l'Observatoire International des Prisons
et de l'association GENEPI (Groupement Etudiant National d'Enseignement aux Personnes Incarcérées)

Depuis sa création à Paris en 1996, la section française de l'Observatoire international des prisons s'attache à promouvoir le respect de la dignité et des droits fondamentaux des personnes incarcérées. L'association fonde son action sur les dispositions de droit interne et les instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme qui prévoient que chacun a droit, en tout lieu, à la reconnaissance de sa personnalité juridique et que nul ne peut être soumis à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
La conviction de l'OIP est que la loi du silence carcéral doit être brisée et la société française placée face à ses prisons. L'efficacité de l'association repose sur la médiatisation des dysfonctionnements du "service public pénitentiaire" et l'interpellation permanente des autorités concernées sur les manquements au droit. En donnant la plus large publicité à tout ce qui porte atteinte à la dignité inhérente à la personne humaine, l'OIP contribue à rompre le silence qui entoure le monde carcéral. En demandant l'application du droit commun en prison, l'OIP cherche à combattre l'arbitraire qui caractérise le fonctionnement de toute institution pénitentiaire.
Concrètement, constatant à la fois l'atteinte à la dignité de la personne que constituent la peine d'emprisonnement et l'échec de son objectif de réinsertion, l'OIP s'est donné quatre moyens d'actions :
- il dresse et fait connaître l'état des conditions de détention des personnes incarcérées, alerte l'opinion, les pouvoirs publics, les organismes et les organisations concernés sur les mauvais traitements dont elles peuvent faire l'objet et sur l'ensemble des manquements observés ;
- il informe les personnes détenues de leurs droits et soutient leurs démarches pour les faire valoir ;
- il promeut d'une part l'adoption de lois, règlements et autres mesures propres à garantir la défense de la personne et le respect de ses droits ; et d'autre part la diminution du nombre de personnes détenues, la limitation du recours à l'incarcération, la réduction de l'échelle des peines, le développement d'alternatives aux poursuites pénales et de substituts aux sanctions privatives de liberté.
- Il utilise son droit d'ester en justice pour la sauvegarde des intérêts essentiels de la personne détenue et l'application des dispositions légales et réglementaires.
L'OIP agit hors de toute considération politique et quel que soit le motif de l'incarcération. Organisation indépendante des pouvoirs publics, disposant du statut consultatif auprès des Nations unies, l'OIP ne sollicite aucun mandat ou subvention du ministère de la Justice, s'interdit de prendre part à l'action d'aucun gouvernement, de soutenir aucun parti politique ou de prendre position à l'occasion de toute consultation électorale. L'efficacité de l'OIP repose sur la médiatisation systématique des dysfonctionnements du "service public pénitentiaire" et l'interpellation permanente des autorités concernées sur les manquements au droit. En donnant la plus large publicité à tout ce qui porte atteinte à la dignité inhérente à la personne humaine, l'OIP concourt à rompre le silence qui entoure le monde carcéral. En demandant l'application du droit commun en prison, l'OIP contribue à combattre l'arbitraire qui caractérise le fonctionnement de toute institution pénitentiaire.
(extrait du site internet de l'association)


Présentation de l'association GENEPI

Le GENEPI est une association de loi 1901 à but non lucratif, sans affiliation politique ni religieuse.
Son objet est de "collaborer à l'effort public en faveur de la réinsertion sociale des personnes incarcérées par le développement de contacts entre les étudiants de l'enseignement supérieur et le monde pénitentiaire" (art. 3 des Statuts).
Le début des années 1970 fut marqué par de violentes émeutes au sein des établissements pénitentiaires. Les pouvoirs publics décidèrent alors d'ouvrir les portes des prisons à des intervenants extérieurs.
A l'initiative de Lionel Stoléru, conseiller technique à la présidence de la République, le Groupement Etudiant National d'Enseignement aux Personnes Incarcérées voit le jour le 26 mai 1976. L'idée est d'instaurer un lien entre les étudiants et les personnes détenues. Pour ces derniers, les besoins en formations sont de plus très importants.
Depuis ce jour, ce sont chaque année plusieurs centaines d'étudiants (1 300 aujourd'hui) de toute la France et de tous types de filières qui s'engagent pour la réinsertion sociale des personnes incarcérées.
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