Séance Cap Monde : "La passion d'Angkor" de Cécile Clocheret

Direction le Cambodge avec Cécile Clocheret qui nous fait découvrir les trésors d'Angkor. Un film passionnant.

Présentation du film (extrait dossier de presse)
Pendant 600 ans, l’une des plus fascinantes civilisations qu’ait connue l’humanité fait fleurir son audace artistique sur le Cambodge, la Thaïlande et le Laos. Après un demi-millénaire de sommeil sous la jungle, les vestiges de l’Empire d’Angkor sont enfin mis au jour par les Français au 19ème siècle. Cécile Clocheret sillonne l’ancien royaume et nous fait partager l’émotion des premiers explorateurs. A travers ses rencontres, elle redonne vie aux forêts de pierre et met en lumière des traditions héritées des temps glorieux. Découvrez le génie d’un peuple créatif !

Mardi 8 mars 2016 à 14h30 - Centre Jacques Templier 5 rue Pierre Brossolette Le Plessis Bouchard – Tarif : 6 €, 2 € pour les moins de 18 ans.

Zoom sur la réalisatrice Cécile Clocheret
Née à Boulogne-Billancourt en 1976, dans une famille protectrice et conservatrice, Cécile Clocheret passe des années d’enfance et d’adolescence sédentaires et studieuses, ne lui laissant imaginer le monde qu’à travers ses manuels scolaires. À 19 ans, elle intègre HEC. Dès lors, elle entend bien mener sa vie comme elle l’a toujours rêvée, rassasier son envie de sillonner la planète. Un brin utopiste, elle s’éprend de cette liberté nouvellement acquise et met tout en œuvre pour que jamais ne s’achève cette quête de rencontres.
Ses premiers voyages ont le goût du sel et de l’effort. Pour se sentir acteur et mieux s’intégrer à la réalité, elle s’engage dans des missions de solidarité et d’échange culturel, dans des pays qui ont souffert, au Liban, en Arménie, en Colombie. Elle participe à un convoi humanitaire qui la conduit en camion de Paris à l’extrémité orientale de l’Ukraine. Elle part protéger les tortues marines au Costa Rica.
Elle se découvre définitivement deux passions : le voyage et l’image. À l’issue de ses études, à 23 ans, Cécile Clocheret entreprend une expérience initiatique : une année et demie de nomadisme en Amérique centrale à la rencontre des peuples indigènes qu’elles admirent depuis tant d’années. Alternant missions pour des ONG (Ligue des droits de l’homme au Mexique, Médecins aux pieds nus au Guatemala) et immersions dans les communautés autochtones du Quiché, elle se nourrit de ces cultures séculaires pour se questionner sur le sens de nos vies et de notre société. Elle signe ses deux premiers films : "Ixim Achi" et "les Mayas en baskets".
En 2005, elle repart à l’aventure, cette fois sur l’île de Madagascar, où elle chemine à pied sur 1500 km à la rencontre de microprojets locaux de développement. De cette folle épopée, Cécile ramène un road-movie filmé, "L’île Rouge", pas à pas. Diffusé sur trois chaînes (Escales, Voyage, et France Ô), il lui vaut de nombreuses récompenses dans des festivals à travers la France, le Canada et l’Océan Indien.
Récolter des nouvelles et témoigner par son regard subjectif de voyageuse au long cours, en toute liberté de ton, voilà ce à quoi Cécile veut définitivement se consacrer, au seuil de ses 30 ans. Depuis, s’égrènent les voyages, les tournages, les montages, les tournées… à travers la planète.
On compte parmi ses réalisations :
- "Indochine, sur la piste rouge", une marche de 2000km le long de la piste Hô Chí Minh, à travers Vietnam, Laos et Cambodge.
- "Pépites vertes du Brésil", 4500 km à vélo de l’Amazonie à Rio de Janeiro, à la rencontre d’acteurs écologiques.
- "Les hommes de maïs", des retrouvailles avec les terres mayas, un hymne à la vie.
"La passion d’Angkor" est son dernier film, à la découverte des trésors d’une civilisation fascinante. (extrait dossier de presse)