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Conférence philo : "Le libéralisme tout le monde en parle, mais de quoi parle-t-on ?"

Conférences philo Taverny 2018-2019Vendredi 1er février 2019
Taverny

Suite du cycle de 3 conférences philo à Taverny. La deuxième sera animée par Blaise Bachofen sur le thème suivant : "Le libéralisme tout le monde en parle, mais de quoi parle-t-on ?"

Présentation de la conférence philo (extrait communiqué de presse)

Le terme de libéralisme est au centre de tous les débats politiques et sociaux actuels. Mais il est utilisé comme un mot-slogan, objet de simplifications et de caricatures. On s’affirme « libéral » ou « anti-libéral » sans toujours savoir ce que l’on entend par là.

Il faut d’abord distinguer le libéralisme politique du libéralisme économique. Ces doctrines ont à la fois des points communs et des différences. Un principe commun aux libéralismes politique (celui de Locke ou de Montesquieu) et économique (théorisé par Smith ou Hayek) est la valorisation de la concurrence et d’une inégalité considérée comme juste car fondée sur les efforts, le travail, les talents différents de chacun.

Jusqu’à quel point une société peut-elle être fondée principalement sur la concurrence, qui touche les rapports sociaux autant qu’économiques, plutôt que sur la fraternité, la solidarité ? A-t-il existé des sociétés fondées sur le refus de la concurrence et la valorisation de la solidarité ? Ces idéaux sont-ils encore d’actualité ?

Par ailleurs, les défenseurs du libéralisme considèrent que la concurrence et une certaine inégalité sont justes car elles vont en définitive dans le sens du bien commun. Cette thèse repose sur le principe de l’autorégulation, dont Smith a le premier formulé le mécanisme à la fin du XVIIIe siècle à travers la notion de « main invisible ». Comment comprendre ce mécanisme ? Fonctionne-t-il réellement ? Laisser libre cours aux intérêts privés suffit-il réellement à créer un optimum économique, social et politique ? L’analyse d’exemples concrets (les conditions d’un bon fonctionnement des services d’intérêt public, la préservation de l’environnement, la santé publique, les investissements à long terme que requièrent la recherche scientifique ou l’éducation) permet de montrer à la fois la pertinence et les limites de cette idée.

Vendredi 1er février 2019 de 18h30 à 20h30 – Médiathèque les Temps Modernes 7 rue du Chemin vert de Boissy Taverny - Entrée libre avec réservation au 01 30 40 55 00.

Prochains rendez-vous :

Vendredi 10 mai 2019
Crise de l'autorité, crise de l'école, crise de l'éducation

Conférences philo Taverny 2018-2019Vendredi 1er février 2019
Taverny

Suite du cycle de 3 conférences philo à Taverny. La deuxième sera animée par Blaise Bachofen sur le thème suivant : "Le libéralisme tout le monde en parle, mais de quoi parle-t-on ?"

Présentation de la conférence philo (extrait communiqué de presse)

Le terme de libéralisme est au centre de tous les débats politiques et sociaux actuels. Mais il est utilisé comme un mot-slogan, objet de simplifications et de caricatures. On s’affirme « libéral » ou « anti-libéral » sans toujours savoir ce que l’on entend par là.

Il faut d’abord distinguer le libéralisme politique du libéralisme économique. Ces doctrines ont à la fois des points communs et des différences. Un principe commun aux libéralismes politique (celui de Locke ou de Montesquieu) et économique (théorisé par Smith ou Hayek) est la valorisation de la concurrence et d’une inégalité considérée comme juste car fondée sur les efforts, le travail, les talents différents de chacun.

Jusqu’à quel point une société peut-elle être fondée principalement sur la concurrence, qui touche les rapports sociaux autant qu’économiques, plutôt que sur la fraternité, la solidarité ? A-t-il existé des sociétés fondées sur le refus de la concurrence et la valorisation de la solidarité ? Ces idéaux sont-ils encore d’actualité ?

Par ailleurs, les défenseurs du libéralisme considèrent que la concurrence et une certaine inégalité sont justes car elles vont en définitive dans le sens du bien commun. Cette thèse repose sur le principe de l’autorégulation, dont Smith a le premier formulé le mécanisme à la fin du XVIIIe siècle à travers la notion de « main invisible ». Comment comprendre ce mécanisme ? Fonctionne-t-il réellement ? Laisser libre cours aux intérêts privés suffit-il réellement à créer un optimum économique, social et politique ? L’analyse d’exemples concrets (les conditions d’un bon fonctionnement des services d’intérêt public, la préservation de l’environnement, la santé publique, les investissements à long terme que requièrent la recherche scientifique ou l’éducation) permet de montrer à la fois la pertinence et les limites de cette idée.

Vendredi 1er février 2019 de 18h30 à 20h30 – Médiathèque les Temps Modernes 7 rue du Chemin vert de Boissy Taverny - Entrée libre avec réservation au 01 30 40 55 00.

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