La Société Nautique d'Enghien vient de fêter ses 140 ans ! Avec ses deux sections, aviron et voile, elle fait figure de plus ancienne association enghiennoise !
A cette occasion, le journal est parti à la rencontre d'André Souchet, les "plus belles moustaches du Val d'Oise" et Président du club pendant 24 ans. Aujourd'hui, à 80 ans, il a passé la main mais reste la figure emblématique du club ! Il nous raconte ses souvenirs d'enfance, son arrivée "par hasard" au club et sa passion pour ces deux sports !
André, vous avez toujours été passionné par l'aviron et la voile ?
Pas du tout ! J'ai rejoint la Société Nautique presque par hasard ! Suite à son divorce, mon beau-frère avait chez lui un bateau et une remorque qui l'encombraient. Il m'a dit : « A chaque fois que je rentre ma voiture, j'ai toujours peur de l'érafler" car la remorque prend beaucoup de place ! Je te donne le tout pour un franc symbolique. ». Ce bateau-là ne valait rien mais on l'a remis en état. Et, à cette époque, mon père avait une place de pêcheur au bout du lac, donc on a mis le bateau là-bas, puis à la première sortie, on s'est foutu "à la baille" correctement. C'est à ce moment que le gardien de l'île du lac m'a dit : « Pourquoi veux-tu faire de la voile dans ton coin ? Viens au club ! » C'est comme ça que je suis entré au club… Cela fait plus de 50 ans !
Enghiennois, vous n'étiez donc pas prédestiné pour faire de la voile ?
Non, j'habitais rue Pilloy et j'avais des copains avec qui j'ai fait pas mal de "bêtises" sur le lac !
Un jour, mon père a sorti l'Echo Régional qui était l'Écho d'Enghien à l'époque. Il m'a dit : « T'as vu, ce n'est pas vous des fois ça sur la photo ? » « Euh si… ! » C'était bien ma bande à la "une" du journal ! Je ne sais plus pour quelle raison ils avaient baissé le niveau du lac et toutes les carpes étaient en train de frayer dans le petit lac de Saint-Gratien. On voyait donc tous les dos de carpes qui sortaient de l'eau, alors comment pourrait-on faire pour les attraper ? A l'époque, il y avait un quincaillier, marchand de couleurs… qui vendait aussi tous les articles de pêche. On lui a demandé des" 3/0" en hameçon à grenouille. « Mais qu'est-ce que vous voulez faire avec ça ? » « C'est pour l'école ! » a-t-on menti ! Alors on a plombé le bout de ligne et on a mis un ou deux hameçons à grenouille. Puis on a lancé les cannes à lancer à droite à gauche, et quand une carpe passait au-dessus… hop ! Alors on avait ramené le tout et je peux dire que la rue Pilloy a mangé de la carpe pendant un petit moment !! On les mettait avec de l'eau vinaigrée pour chasser le goût de la vase. C'était très mangeable bien que les carpes c'est plein d'arêtes !
Le lac d'Enghien était donc votre terrain de jeu...
Oh oui, c'était notre terrain de jeu ! J'étais copain avec un riverain à l'autre bout du lac qui avait un canoé qui pour nous paraissait énorme à 10 ans. On le prenait et on allait au milieu du lac qui n'était pas navigable parce qu'il y avait plein d'herbes aquatiques qui poussaient partout. Donc tu ne pouvais rien faire. Si tu mettais un aviron, tu ressortais avec 20 kilos d'herbe au bout. Mais c'était incroyable, il y avait au centre du lac, un énorme rond où il n'y avait aucune herbe et une eau cristalline, d'une pureté incroyable. Alors, nous gamins, on nageait avec les poissons rouges. C'était magnifique ! Et le gardien de l'île nous hélait : « Bande de petits voyous, il est interdit de se baigner ! » Et nous, nous répondions : « Venez nous chercher, venez nous chercher ! », parce qu'on savait très bien qu'il ne pouvait pas passer avec les herbes !
Un autre souvenir ?
Des lentilles d'eau couvraient la surface très rapidement, alors le lac prenait une couleur verte claire. Un jour, mes copains avaient pris deux fûts vides de 200 litres sur lequel ils avaient mis une planche, puis ils avaient découpé dans le contreplaqué une énorme vache peinte en noir et blanc qu'ils avaient plantée au milieu du lac vert ! Ce n'était pas méchant, cela nous faisait rire !
Depuis combien de temps êtes-vous dans le club nautique ?
J'ai rejoint le club au début des années soixante-dix. J'ai fait pas mal de compétition de voile mais quand tu travailles, il n'est pas facile de gérer les nombreux déplacements et cela nécessite pas mal d'investissements.
Vous avez été ensuite président de la Société Nautique pendant 24 ans. Quelle évolution avez-vous vu au sein du club ?
J'ai passé une large part de ma présidence dans le suivi de la réalisation du bâtiment actuel qui abrite le club sur l'île du lac. Cela a été un travail difficile. Heureusement j'avais acquis des connaissances dans mon parcours professionnel chez Citroën.
Quand on a démarré les travaux, on devait être 400 adhérents. Mais, à la fin de l'année 2007, on devait être plus qu'une vingtaine ou une trentaine. Il n'y avait plus de vestiaire, plus de douche, on avait monté des tentes sur le court de tennis pour protéger les bateaux d'aviron… Aujourd'hui, le club a retrouvé une belle santé avec plus de 220 licenciés et il bénéficie d'un bâtiment fonctionnel qui permet d'accueillir des sportifs avec convivialité, d'abriter avec sécurité les différentes embarcations (skiff, 2, 4 ou 8 de couple…) qui sont très fragiles.
Cela tombait bien que vous étiez en retraite lors de votre présidence ?
En effet, j'avais du temps. Quand tu arrives en retraite, il faut forcément trouver une activité, c'est ce qui te permet de te maintenir !
Les jeunes sont-ils attirés par l'aviron et la voile ?
Les jeunes sont présents au club et apprennent le vent sur le lac. C'est sûr, on n'a pas les vagues, alors voilà ce qui se passe généralement : on les forme jusqu'à un certain âge et après, ils s'en vont dans des clubs de mer. Mais rappelons que nous avons plus de 60 titres de champions de France, 12 titres mondiaux, un barreur de la Coupe America… qui ont appris le vent sur le lac ! Nous sommes un club formateur reconnu !
L'avantage c'est que nous nous situons sur un plan d'eau extrêmement sécurisé. Je dis toujours en plaisantant, le plus gros risque qui puisse arriver, c'est de se faire mordre les fesses par le chien d'un riverain si vous abordez le bord du lac.. En effet, la profondeur du lac (1m20 de profondeur sur les trois quarts du lac), on ne risque quasiment rien. De toute façon, on porte des gilets de sauvetage quand on fait de la voile.
Peut-on commencer l'aviron ou la voile à n'importe quel âge ?
Oui ! C'est amusant votre question, parce qu'une personne d'un certain âge est venue me voir l'autre jour. Je l'ai emmenée samedi matin faire un tour en aviron. Au début, il faut avant tout apprendre le vocabulaire : pointe, coupe, angle de poignet, etc. Et à la voile, c'est pareil : vous avez tout un vocabulaire à apprendre avant la pratique.
L'aviron est réputé comme un sport complet ?
Cela peut surprendre, l'aviron fait travailler d'abord… les jambes ! Puis le corps et les bras, donc c'est vraiment un sport très complet et très technique. Et ce n'est pas toujours facile d'écouter les corrections prodiguées ! Moi, quand je fais de l'aviron, je n'arrive pas à serrer les genoux. Donc je rame avec "les pattes écartées", alors que ce n'est pas du tout dans le style actuel ! Mais quand je vois notre Enghiennois, champion olympique en 1900, il a aussi les genoux écartés, cela me rassure ! (rires) Mais bon, la technique a changé…
Pour la voile, c'est différent : c'est plus l'agilité qui prime ?
C'est vrai que pour bien naviguer avec un voilier, il faut commencer à comprendre la provenance et la direction du vent, puisque c'est lui qui va être le moteur du bateau. A partir de là, il faut savoir orienter ses voiles correctement et positionner la coque de telle manière qu'elle glisse le plus vite possible. Il y a aussi toute une technique à acquérir avec le temps.
Je vous laisse le dernier mot pour inviter notamment les jeunes à rejoindre la Société Nautique d'Enghien.
L'année dernière, les Jeux Olympiques ont permis de mettre en lumière l'aviron et un peu moins la voile dont les épreuves avaient lieu à Marseille. Aujourd'hui, jeunes et moins jeunes, vous êtes les bienvenus pour pratiquer aviron et voile dans un cadre sécurisé ! N'hésitez pas à nous contacter !
Grand merci André pour votre disponibilité et vos anecdotes savoureuses !
Contact Société Nautique d'Enghien - Tél : 01 34 17 31 53 - Site internet
Bonus : des champions ont commencé leur carrière sur le lac d'Enghien !
1900-1901
En 1900, dans les régates olympiques disputées à l'occasion de l'Exposition Universelle, Hermann Barrelet remporte le titre de champion. En 1901, il est champion d'Europe.
1939
Avant le déclenchement des hostilités, le Quatre féminin d'Enghien remporte à Gérardmer le titre de champion de France. Cette équipe, dont la moyenne d'âge ne dépasse pas vingt ans, et qui serait aujourd'hui parmi les poids légers, était composée de Suzanne Conte, Noelle Micheau, Denise Rey et Eliane Nicolas. Leur toute jeune barreuse Edith Vigneau devait beaucoup plus tard acquérir un grand renom... au théâtre, sous le nom d'Anne Vernon. Au cinéma, elle a joué la mère de Catherine Deneuve dans "Les Parapluies de Cherbourg".
1968
A la voile, Jean-Claude Stafler va conquérir un premier titre mondial en Moth Europe (dériveur léger), au Portugal, en 1968.
2024
Marin Micoulot devient champion du monde jeunes de Match-Racing.
La Société Nautique d'Enghien vient de fêter ses 140 ans ! Avec ses deux sections, aviron et voile, elle fait figure de plus ancienne association enghiennoise !
A cette occasion, le journal est parti à la rencontre d'André Souchet, les "plus belles moustaches du Val d'Oise" et Président du club pendant 24 ans. Aujourd'hui, à 80 ans, il a passé la main mais reste la figure emblématique du club ! Il nous raconte ses souvenirs d'enfance, son arrivée "par hasard" au club et sa passion pour ces deux sports !
André, vous avez toujours été passionné par l'aviron et la voile ?
Pas du tout ! J'ai rejoint la Société Nautique presque par hasard ! Suite à son divorce, mon beau-frère avait chez lui un bateau et une remorque qui l'encombraient. Il m'a dit : « A chaque fois que je rentre ma voiture, j'ai toujours peur de l'érafler" car la remorque prend beaucoup de place ! Je te donne le tout pour un franc symbolique. ». Ce bateau-là ne valait rien mais on l'a remis en état. Et, à cette époque, mon père avait une place de pêcheur au bout du lac, donc on a mis le bateau là-bas, puis à la première sortie, on s'est foutu "à la baille" correctement. C'est à ce moment que le gardien de l'île du lac m'a dit : « Pourquoi veux-tu faire de la voile dans ton coin ? Viens au club ! » C'est comme ça que je suis entré au club… Cela fait plus de 50 ans !
Enghiennois, vous n'étiez donc pas prédestiné pour faire de la voile ?
Non, j'habitais rue Pilloy et j'avais des copains avec qui j'ai fait pas mal de "bêtises" sur le lac !
Un jour, mon père a sorti l'Echo Régional qui était l'Écho d'Enghien à l'époque. Il m'a dit : « T'as vu, ce n'est pas vous des fois ça sur la photo ? » « Euh si… ! » C'était bien ma bande à la "une" du journal ! Je ne sais plus pour quelle raison ils avaient baissé le niveau du lac et toutes les carpes étaient en train de frayer dans le petit lac de Saint-Gratien. On voyait donc tous les dos de carpes qui sortaient de l'eau, alors comment pourrait-on faire pour les attraper ? A l'époque, il y avait un quincaillier, marchand de couleurs… qui vendait aussi tous les articles de pêche. On lui a demandé des" 3/0" en hameçon à grenouille. « Mais qu'est-ce que vous voulez faire avec ça ? » « C'est pour l'école ! » a-t-on menti ! Alors on a plombé le bout de ligne et on a mis un ou deux hameçons à grenouille. Puis on a lancé les cannes à lancer à droite à gauche, et quand une carpe passait au-dessus… hop ! Alors on avait ramené le tout et je peux dire que la rue Pilloy a mangé de la carpe pendant un petit moment !! On les mettait avec de l'eau vinaigrée pour chasser le goût de la vase. C'était très mangeable bien que les carpes c'est plein d'arêtes !
Le lac d'Enghien était donc votre terrain de jeu...
Oh oui, c'était notre terrain de jeu ! J'étais copain avec un riverain à l'autre bout du lac qui avait un canoé qui pour nous paraissait énorme à 10 ans. On le prenait et on allait au milieu du lac qui n'était pas navigable parce qu'il y avait plein d'herbes aquatiques qui poussaient partout. Donc tu ne pouvais rien faire. Si tu mettais un aviron, tu ressortais avec 20 kilos d'herbe au bout. Mais c'était incroyable, il y avait au centre du lac, un énorme rond où il n'y avait aucune herbe et une eau cristalline, d'une pureté incroyable. Alors, nous gamins, on nageait avec les poissons rouges. C'était magnifique ! Et le gardien de l'île nous hélait : « Bande de petits voyous, il est interdit de se baigner ! » Et nous, nous répondions : « Venez nous chercher, venez nous chercher ! », parce qu'on savait très bien qu'il ne pouvait pas passer avec les herbes !
Un autre souvenir ?
Des lentilles d'eau couvraient la surface très rapidement, alors le lac prenait une couleur verte claire. Un jour, mes copains avaient pris deux fûts vides de 200 litres sur lequel ils avaient mis une planche, puis ils avaient découpé dans le contreplaqué une énorme vache peinte en noir et blanc qu'ils avaient plantée au milieu du lac vert ! Ce n'était pas méchant, cela nous faisait rire !
Depuis combien de temps êtes-vous dans le club nautique ?
J'ai rejoint le club au début des années soixante-dix. J'ai fait pas mal de compétition de voile mais quand tu travailles, il n'est pas facile de gérer les nombreux déplacements et cela nécessite pas mal d'investissements.
Vous avez été ensuite président de la Société Nautique pendant 24 ans. Quelle évolution avez-vous vu au sein du club ?
J'ai passé une large part de ma présidence dans le suivi de la réalisation du bâtiment actuel qui abrite le club sur l'île du lac. Cela a été un travail difficile. Heureusement j'avais acquis des connaissances dans mon parcours professionnel chez Citroën.
Quand on a démarré les travaux, on devait être 400 adhérents. Mais, à la fin de l'année 2007, on devait être plus qu'une vingtaine ou une trentaine. Il n'y avait plus de vestiaire, plus de douche, on avait monté des tentes sur le court de tennis pour protéger les bateaux d'aviron… Aujourd'hui, le club a retrouvé une belle santé avec plus de 220 licenciés et il bénéficie d'un bâtiment fonctionnel qui permet d'accueillir des sportifs avec convivialité, d'abriter avec sécurité les différentes embarcations (skiff, 2, 4 ou 8 de couple…) qui sont très fragiles.
Cela tombait bien que vous étiez en retraite lors de votre présidence ?
En effet, j'avais du temps. Quand tu arrives en retraite, il faut forcément trouver une activité, c'est ce qui te permet de te maintenir !
Les jeunes sont-ils attirés par l'aviron et la voile ?
Les jeunes sont présents au club et apprennent le vent sur le lac. C'est sûr, on n'a pas les vagues, alors voilà ce qui se passe généralement : on les forme jusqu'à un certain âge et après, ils s'en vont dans des clubs de mer. Mais rappelons que nous avons plus de 60 titres de champions de France, 12 titres mondiaux, un barreur de la Coupe America… qui ont appris le vent sur le lac ! Nous sommes un club formateur reconnu !
L'avantage c'est que nous nous situons sur un plan d'eau extrêmement sécurisé. Je dis toujours en plaisantant, le plus gros risque qui puisse arriver, c'est de se faire mordre les fesses par le chien d'un riverain si vous abordez le bord du lac.. En effet, la profondeur du lac (1m20 de profondeur sur les trois quarts du lac), on ne risque quasiment rien. De toute façon, on porte des gilets de sauvetage quand on fait de la voile.
Peut-on commencer l'aviron ou la voile à n'importe quel âge ?
Oui ! C'est amusant votre question, parce qu'une personne d'un certain âge est venue me voir l'autre jour. Je l'ai emmenée samedi matin faire un tour en aviron. Au début, il faut avant tout apprendre le vocabulaire : pointe, coupe, angle de poignet, etc. Et à la voile, c'est pareil : vous avez tout un vocabulaire à apprendre avant la pratique.
L'aviron est réputé comme un sport complet ?
Cela peut surprendre, l'aviron fait travailler d'abord… les jambes ! Puis le corps et les bras, donc c'est vraiment un sport très complet et très technique. Et ce n'est pas toujours facile d'écouter les corrections prodiguées ! Moi, quand je fais de l'aviron, je n'arrive pas à serrer les genoux. Donc je rame avec "les pattes écartées", alors que ce n'est pas du tout dans le style actuel ! Mais quand je vois notre Enghiennois, champion olympique en 1900, il a aussi les genoux écartés, cela me rassure ! (rires) Mais bon, la technique a changé…
Pour la voile, c'est différent : c'est plus l'agilité qui prime ?
C'est vrai que pour bien naviguer avec un voilier, il faut commencer à comprendre la provenance et la direction du vent, puisque c'est lui qui va être le moteur du bateau. A partir de là, il faut savoir orienter ses voiles correctement et positionner la coque de telle manière qu'elle glisse le plus vite possible. Il y a aussi toute une technique à acquérir avec le temps.
Je vous laisse le dernier mot pour inviter notamment les jeunes à rejoindre la Société Nautique d'Enghien.
L'année dernière, les Jeux Olympiques ont permis de mettre en lumière l'aviron et un peu moins la voile dont les épreuves avaient lieu à Marseille. Aujourd'hui, jeunes et moins jeunes, vous êtes les bienvenus pour pratiquer aviron et voile dans un cadre sécurisé ! N'hésitez pas à nous contacter !
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Contact Société Nautique d'Enghien - Tél : 01 34 17 31 53 - Site internet
Bonus : des champions ont commencé leur carrière sur le lac d'Enghien !
1900-1901
En 1900, dans les régates olympiques disputées à l'occasion de l'Exposition Universelle, Hermann Barrelet remporte le titre de champion. En 1901, il est champion d'Europe.
1939
Avant le déclenchement des hostilités, le Quatre féminin d'Enghien remporte à Gérardmer le titre de champion de France. Cette équipe, dont la moyenne d'âge ne dépasse pas vingt ans, et qui serait aujourd'hui parmi les poids légers, était composée de Suzanne Conte, Noelle Micheau, Denise Rey et Eliane Nicolas. Leur toute jeune barreuse Edith Vigneau devait beaucoup plus tard acquérir un grand renom... au théâtre, sous le nom d'Anne Vernon. Au cinéma, elle a joué la mère de Catherine Deneuve dans "Les Parapluies de Cherbourg".
1968
A la voile, Jean-Claude Stafler va conquérir un premier titre mondial en Moth Europe (dériveur léger), au Portugal, en 1968.
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