Après avoir consacré un ouvrage aux briqueteries et tuileries disparues du Val d'Oise, l'historien local Daniel Baduel nous revient avec un livre intitulé "Les plâtrières du Val d'Oise à travers les siècles". Pour traiter ce sujet, il s'est plongé dans les Archives départementales et nationales ou dans les fonds historiques d'une soixantaine de communes où le gypse a été extrait ou bien encore exploité comme c'est le cas à Cormeilles-en-Parisis. Cela s'annonce passionnant !
Le livre sera disponible pour les Journées européennes du Patrimoine.
Vous pouvez dès maintenant le réserver à tarif réduit jusqu'au 12 septembre (30 euros au lieu de 35 euros). Pour cela souscrivez à l'aide de ce formulaire à adresser directement à M. Baduel.
Présentation du livre (extrait communiqué de presse)
Le gypse a toujours été présent dans le bassin parisien et particulièrement dans le Val d'Oise avec de nombreuses buttes-témoins (Châtenay-en-France, Mareil-en-France, Argenteuil, Montmorency, Cormeilles-en-Parisis, Sannois, Saint-Martin-du-Tertre et celles du Vexin français).
Il a été exploité soit par carrières souterraines, soit à ciel ouvert, comme à Cormeilles-en-Parisis. Le gypse, réduit en morceaux, chauffé dans un four puis broyé finement, donne une poudre blanche appelée plâtre. C'est cette histoire du plâtre (utilisé comme matériau de construction ou comme amendement agricole), que l'auteur s'est attaché à relater dans le département et au travers des derniers siècles.
Pendant longtemps, n'importe quel propriétaire, laïque ou religieux, détenant une pièce de terre avec du gypse pouvait en faire l'exploitation ou la louer. Mais, au début du XIXe siècle, une réglementation vint bousculer ces pratiques en établissant des normes d'exploitation : pour toute ouverture de carrière, une demande devait être adressée au préfet, puis une enquête de commodo et incommodo était prescrite tenant compte du voisinage et de la sécurité des ouvriers. C'est le départ de "l'industrialisation" qui verra, avec les travaux haussmanniens, un essor important de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, entraînant également toute une histoire économique et ouvrière ponctuée d'accidents, de règles de sécurité non observées, de carriers travaillant dans des conditions inhumaines, de grèves, au début du XXe siècle, qui les opposeront à des patrons...
Après avoir consacré un ouvrage aux briqueteries et tuileries disparues du Val d'Oise, l'historien local Daniel Baduel nous revient avec un livre intitulé "Les plâtrières du Val d'Oise à travers les siècles". Pour traiter ce sujet, il s'est plongé dans les Archives départementales et nationales ou dans les fonds historiques d'une soixantaine de communes où le gypse a été extrait ou bien encore exploité comme c'est le cas à Cormeilles-en-Parisis. Cela s'annonce passionnant !
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Vous pouvez dès maintenant le réserver à tarif réduit jusqu'au 12 septembre (30 euros au lieu de 35 euros). Pour cela souscrivez à l'aide de ce formulaire à adresser directement à M. Baduel.
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Le gypse a toujours été présent dans le bassin parisien et particulièrement dans le Val d'Oise avec de nombreuses buttes-témoins (Châtenay-en-France, Mareil-en-France, Argenteuil, Montmorency, Cormeilles-en-Parisis, Sannois, Saint-Martin-du-Tertre et celles du Vexin français).
Il a été exploité soit par carrières souterraines, soit à ciel ouvert, comme à Cormeilles-en-Parisis. Le gypse, réduit en morceaux, chauffé dans un four puis broyé finement, donne une poudre blanche appelée plâtre. C'est cette histoire du plâtre (utilisé comme matériau de construction ou comme amendement agricole), que l'auteur s'est attaché à relater dans le département et au travers des derniers siècles.
Pendant longtemps, n'importe quel propriétaire, laïque ou religieux, détenant une pièce de terre avec du gypse pouvait en faire l'exploitation ou la louer. Mais, au début du XIXe siècle, une réglementation vint bousculer ces pratiques en établissant des normes d'exploitation : pour toute ouverture de carrière, une demande devait être adressée au préfet, puis une enquête de commodo et incommodo était prescrite tenant compte du voisinage et de la sécurité des ouvriers. C'est le départ de "l'industrialisation" qui verra, avec les travaux haussmanniens, un essor important de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, entraînant également toute une histoire économique et ouvrière ponctuée d'accidents, de règles de sécurité non observées, de carriers travaillant dans des conditions inhumaines, de grèves, au début du XXe siècle, qui les opposeront à des patrons...
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