Samedi 26 novembre 2022
Taverny
Une nouvelle fois, la chorale "La Joie de vivre" crée l'évènement ! Cette année, elle nous propose la Messe en mi mineur d'Anton Bruckner. L'oeuvre du compositeur est foisonnante, et inconfortable, car, n’étant jamais satisfait, il remaniait constamment ses compositions, parfois jusqu’à 5 fois. La messe en mi mineur par exemple, a fait l’objet de 2 versions, et c’est la deuxième, celle de 1882, que la chorale interprètera sous la direction de Tibère Popovici. Elle sera accompagnée par la soprano Claire-Elie Tenet et l'organiste Michele Innocenti.
Samedi 26 novembre 2022 à 21h – Eglise Notre-Dame rue Jean XXIII Taverny – Tarif : 20 €, réduit : 15 € - Réservation en ligne, vente des billets à l'Agence Valère (185 rue de Paris Taverny) et vente sur place le soir du concert.
Zoom sur Anton Bruckner (présentation réalisée la Chorale "La Joie de Vivre")Josef Anton Bruckner est un compositeur et organiste autrichien, une figure du romantisme allemand. Il est contemporain de Richard Wagner, qu’il vénérait, de Gustav Mahler, qui a été son élève ainsi que Hugo Wolf, de César Franck, Saint-Saëns, Gounod…
Anton Bruckner est né à Ansfelden, petit village près de Linz, le 4 septembre 1824, et repose dans la basilique Saint Florian à Vienne, depuis son décès, survenu le 11 octobre 1896.
Son père, instituteur, est, comme le veut la tradition, également Kapellmeister. Anton, à l’âge de 10 ans, est capable de remplacer son père à l’orgue paroissial. Conscients de ses dons, ses parents l’envoient parfaire sa formation musicale.
Après la mort de son père, en 1837, Anton entre à l’abbaye de Saint Florian près de Linz, où il séjourne pendant 3 ans, et où il mène une vie de piété et de modestie ; il y reçoit par ailleurs une solide formation générale et musicale.
Au long des années suivantes, il ne cesse de parfaire ses connaissances auprès de Schläger et Zenetti et compose une trentaine d’œuvres à caractère liturgique ainsi qu’une vingtaine d’œuvres profanes.
En 1851, il devient organiste titulaire de Saint Florian, puis organiste à l’ancienne cathédrale de Linz.
Son œuvre, son empreinte
Le Tannhäuser de Wagner (1873) lui inspire la composition de sa première symphonie en fa mineur. Alterneront symphonies et messes, la messe en ré mineur, en mi mineur (1866), en fa mineur (1868), la fameuse symphonie en ré mineur die Nullte, la symphonie zéro, qu’il a reniée, ne la trouvant pas d’un niveau suffisant …
Son œuvre est foisonnante, et inconfortable, car, n’étant jamais satisfait, il remaniait constamment ses compositions, parfois jusqu’à 5 fois. La messe en mi mineur par exemple, a fait l’objet de 2 versions, et c’est la deuxième, celle de 1882, que nous vous interpréterons.
Malgré ses créations et improvisations brillantes, il resta méconnu jusqu’à l’âge de 50 ans en tant que compositeur. Il passait pour trop perfectionniste.
Le succès lui vient à Vienne en 1881 avec sa quatrième symphonie « Romantique » et la consécration internationale avec sa septième symphonie, la seule avec la sixième, qu’il n’ait jamais remaniée.
Sa neuvième symphonie qu’il n’achèvera pas, devant la dégradation de son état de santé, sera la dernière. Elle était dédiée à Dieu, sa foi l’a toujours porté.
Il nous laisse 124 œuvres.
Samedi 26 novembre 2022
Taverny
Une nouvelle fois, la chorale "La Joie de vivre" crée l'évènement ! Cette année, elle nous propose la Messe en mi mineur d'Anton Bruckner. L'oeuvre du compositeur est foisonnante, et inconfortable, car, n’étant jamais satisfait, il remaniait constamment ses compositions, parfois jusqu’à 5 fois. La messe en mi mineur par exemple, a fait l’objet de 2 versions, et c’est la deuxième, celle de 1882, que la chorale interprètera sous la direction de Tibère Popovici. Elle sera accompagnée par la soprano Claire-Elie Tenet et l'organiste Michele Innocenti.
Samedi 26 novembre 2022 à 21h – Eglise Notre-Dame rue Jean XXIII Taverny – Tarif : 20 €, réduit : 15 € - Réservation en ligne, vente des billets à l'Agence Valère (185 rue de Paris Taverny) et vente sur place le soir du concert.
Zoom sur Anton Bruckner (présentation réalisée la Chorale "La Joie de Vivre")Josef Anton Bruckner est un compositeur et organiste autrichien, une figure du romantisme allemand. Il est contemporain de Richard Wagner, qu’il vénérait, de Gustav Mahler, qui a été son élève ainsi que Hugo Wolf, de César Franck, Saint-Saëns, Gounod…
Anton Bruckner est né à Ansfelden, petit village près de Linz, le 4 septembre 1824, et repose dans la basilique Saint Florian à Vienne, depuis son décès, survenu le 11 octobre 1896.
Son père, instituteur, est, comme le veut la tradition, également Kapellmeister. Anton, à l’âge de 10 ans, est capable de remplacer son père à l’orgue paroissial. Conscients de ses dons, ses parents l’envoient parfaire sa formation musicale.
Après la mort de son père, en 1837, Anton entre à l’abbaye de Saint Florian près de Linz, où il séjourne pendant 3 ans, et où il mène une vie de piété et de modestie ; il y reçoit par ailleurs une solide formation générale et musicale.
Au long des années suivantes, il ne cesse de parfaire ses connaissances auprès de Schläger et Zenetti et compose une trentaine d’œuvres à caractère liturgique ainsi qu’une vingtaine d’œuvres profanes.
En 1851, il devient organiste titulaire de Saint Florian, puis organiste à l’ancienne cathédrale de Linz.
Son œuvre, son empreinte
Le Tannhäuser de Wagner (1873) lui inspire la composition de sa première symphonie en fa mineur. Alterneront symphonies et messes, la messe en ré mineur, en mi mineur (1866), en fa mineur (1868), la fameuse symphonie en ré mineur die Nullte, la symphonie zéro, qu’il a reniée, ne la trouvant pas d’un niveau suffisant …
Son œuvre est foisonnante, et inconfortable, car, n’étant jamais satisfait, il remaniait constamment ses compositions, parfois jusqu’à 5 fois. La messe en mi mineur par exemple, a fait l’objet de 2 versions, et c’est la deuxième, celle de 1882, que nous vous interpréterons.
Malgré ses créations et improvisations brillantes, il resta méconnu jusqu’à l’âge de 50 ans en tant que compositeur. Il passait pour trop perfectionniste.
Le succès lui vient à Vienne en 1881 avec sa quatrième symphonie « Romantique » et la consécration internationale avec sa septième symphonie, la seule avec la sixième, qu’il n’ait jamais remaniée.
Sa neuvième symphonie qu’il n’achèvera pas, devant la dégradation de son état de santé, sera la dernière. Elle était dédiée à Dieu, sa foi l’a toujours porté.
Il nous laisse 124 œuvres.
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