Vendredi 1er avril 2016
Ermont
Fabrice Melquiot nous propose "Moby Dick" d’après le roman d’Herman Melville afin de nous replonger dans une histoire qui nous a déjà fait vibrer étant petits.
Présentation de la pièce (extrait de la brochure culturelle)
Attiré par le grand large, Ismaël embarque sur un baleinier. Lancé à l’aventure, il comprend rapidement qu’Achab, capitaine du bateau est sur la piste de Moby Dick, l’immense et particulièrement féroce cachalot blanc qui lui a arraché une jambe par le passé et dont il a juré de se venger. À la demande de Matthieu Cruciani (metteur en scène associé à La Comédie de Saint- Étienne), Fabrice Melquiot réinvente ce roman mythique en une pièce de théâtre. De cette adaptation naît une œuvre à la fois surprenante et foisonnante, où l’on retrouve l’océan et ses plaines liquides, son ciel immense et ses cachalots géants, ses tempêtes, la foule bigarrée et pleine de force d’un équipage, plus vrais que nature. Une invitation à prendre la mer sans tarder pour le « grand ailleurs », celui qui fascine autant qu’il inquiète.
Bonus : Mathieu Cruciani, le metteur en scène, évoque "Moby Dick"
La passion que nous partageons pour ce roman, Fabrice Melquiot et moi-même, est comme remontée des enfances, et éclairée par l’âge adulte.
Elle date d’un âge où s’embarquer sur un bateau est comme s’embarquer pour l’avenir.
On lit Stevenson, Conrad, plus tard Lowry, Aiken, Michelet.
Le roman de marine est l’Eden des jeunes lecteurs romanesques. C’est le goût des aventures maritimes au long cours, le goût de la mer, pour tout ce qu’elle a de sauvage et de mystérieux, on l’aime pour sa brutalité, ses infinis. C’est le goût de l’exploration par la langue et ses expériences, l’intuition que des mystères luisent dans les lettres.
C’est le grand ailleurs du monde des adultes, un horizon mouvementé que l’on désire et que l’on craint lorsqu’on est enfant.
C’est le goût de se faire peur, un peu, et de se rêver aventurier, beaucoup. Le goût des possibles et des devenirs.
Y revenir adulte est un plaisir naturel, mieux, comme une jouvence, comme d’adapter ce roman monstre, roman de formation à l’action palpitante pour de jeunes spectateurs: nous nous adressons aux enfants d’aujourd’hui, comme parlant depuis les enfants que nous étions hier.
Voilà le projet qui nous anime. (extrait dossier de presse)
Vendredi 1er avril 2016 à 20h30 - Théâtre Pierre-Fresnay, 3 rue Saint-Flaive Prolongée, Ermont – Tarif : 17,6€, réduit : 14,3€. Renseignements et Réservations : 01 34 44 03 80
Vendredi 1er avril 2016
Ermont
Fabrice Melquiot nous propose "Moby Dick" d’après le roman d’Herman Melville afin de nous replonger dans une histoire qui nous a déjà fait vibrer étant petits.
Présentation de la pièce (extrait de la brochure culturelle)
Attiré par le grand large, Ismaël embarque sur un baleinier. Lancé à l’aventure, il comprend rapidement qu’Achab, capitaine du bateau est sur la piste de Moby Dick, l’immense et particulièrement féroce cachalot blanc qui lui a arraché une jambe par le passé et dont il a juré de se venger. À la demande de Matthieu Cruciani (metteur en scène associé à La Comédie de Saint- Étienne), Fabrice Melquiot réinvente ce roman mythique en une pièce de théâtre. De cette adaptation naît une œuvre à la fois surprenante et foisonnante, où l’on retrouve l’océan et ses plaines liquides, son ciel immense et ses cachalots géants, ses tempêtes, la foule bigarrée et pleine de force d’un équipage, plus vrais que nature. Une invitation à prendre la mer sans tarder pour le « grand ailleurs », celui qui fascine autant qu’il inquiète.
Bonus : Mathieu Cruciani, le metteur en scène, évoque "Moby Dick"
La passion que nous partageons pour ce roman, Fabrice Melquiot et moi-même, est comme remontée des enfances, et éclairée par l’âge adulte.
Elle date d’un âge où s’embarquer sur un bateau est comme s’embarquer pour l’avenir.
On lit Stevenson, Conrad, plus tard Lowry, Aiken, Michelet.
Le roman de marine est l’Eden des jeunes lecteurs romanesques. C’est le goût des aventures maritimes au long cours, le goût de la mer, pour tout ce qu’elle a de sauvage et de mystérieux, on l’aime pour sa brutalité, ses infinis. C’est le goût de l’exploration par la langue et ses expériences, l’intuition que des mystères luisent dans les lettres.
C’est le grand ailleurs du monde des adultes, un horizon mouvementé que l’on désire et que l’on craint lorsqu’on est enfant.
C’est le goût de se faire peur, un peu, et de se rêver aventurier, beaucoup. Le goût des possibles et des devenirs.
Y revenir adulte est un plaisir naturel, mieux, comme une jouvence, comme d’adapter ce roman monstre, roman de formation à l’action palpitante pour de jeunes spectateurs: nous nous adressons aux enfants d’aujourd’hui, comme parlant depuis les enfants que nous étions hier.
Voilà le projet qui nous anime. (extrait dossier de presse)
Vendredi 1er avril 2016 à 20h30 - Théâtre Pierre-Fresnay, 3 rue Saint-Flaive Prolongée, Ermont – Tarif : 17,6€, réduit : 14,3€. Renseignements et Réservations : 01 34 44 03 80
Vous appréciez le Journal de François ? Soutenez-le ! Merci.
Retourner à la page d'accueil - Retourner à la page "Agenda"
Vous appréciez le Journal de François ? Soutenez-le ! Merci.
Aucun commentaire