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Rencontre avec le réalisateur Tommy Weber et le comédien Aurélien Gabrielli autour de leur film "Quand je ne dors pas"

QUAND JE NE DORS PASVendredi 30 octobre 2015
Saint-Gratien

L'équipe des Toiles de Saint-Gratien accueille Tommy Weber pour son premier film "Quand je ne dors pas" et le comédien Aurélien Gabrielli.
En préambule de cette soirée, voici la trame du film et trois questions/réponses de Tommy Weber

L'histoire du film
Paris, un soir d'hiver.
Antoine, 20 ans, s'est mis en tête de partir voir la mer par le premier train du matin. Avec seulement quelques euros en poche, il n'a pas de quoi payer son billet. Mais il a toute la nuit pour réunir la somme nécessaire ; une nuit entière qui s'offre à lui.

Propos du réalisateur Tommy Weber

Avez-vous construit votre film à partir d'un personnage ou vouliez-vous d'abord raconter l'histoire d'une nuit ?
Je lisais "L'Attrape-cœurs" de J.D Salinger dont j’adore le héros, Holden. J’ai eu l’envie de filmer l’errance de mon Holden. À partir de là, j'ai commencé à écrire. C’est un scénario dont je savais dès le départ qu’il resterait un outil de travail. Mon désir de tourner précède celui d’écrire. Mohamed Kerriche, avec qui j'avais déjà travaillé, est arrivé sur le projet. C’est alors que nous avons développé ensemble l'idée de concentrer l’intrigue sur une seule nuit.

C'est une contrainte intéressante, comme si vous ne vouliez pas lâcher votre personnage d'une semelle.
J’aime l’idée de traverser une nuit seul, dans l’ivresse. On s’ennuie, on se dit qu’on va rentrer et voilà qu’il se passe quelque chose d’inattendu. C’est un voyage presque initiatique, à travers lequel, souvent, on se réinvente.

Vous avez choisi Aurélien Gabrielli, un jeune comédien du CNSAD (Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique)  pour incarner Antoine; Qu'est-ce qui vous a plu chez lui ?
J'ai eu un coup de foudre pour Aurélien parce qu'il avait l'air à la fois courageux, honnête, discret et plein de mystères. Il avait aussi une véritable proposition de jeu et me faisait rire malgré lui. Son jeu un peu volontaire et sa façon de parler qui détonne m'ont touché. Je suis très séduit par les films de la période du réalisme poétique (Renoir, Grémillon, Carné... etc.) dans lesquels les acteurs jouent à fond la caisse et en font parfois trop. C'est génial parce que c’est joyeux, simple, direct – ils s’amusent, ils jouent. C'est presque excessif. C’est généreux. Aurélien, quand il en fait trop, ce n'est jamais con parce que ça vient du cœur.
(extrait dossier de presse)

Vendredi 30 octobre 2015 à 20h30 – Cinéma Les Toiles place François Truffaut Saint-Gratien - Prévente à la caisse du cinéma dès le mercredi 28 octobre.

QUAND JE NE DORS PASVendredi 30 octobre 2015
Saint-Gratien

L'équipe des Toiles de Saint-Gratien accueille Tommy Weber pour son premier film "Quand je ne dors pas" et le comédien Aurélien Gabrielli.
En préambule de cette soirée, voici la trame du film et trois questions/réponses de Tommy Weber

L'histoire du film
Paris, un soir d'hiver.
Antoine, 20 ans, s'est mis en tête de partir voir la mer par le premier train du matin. Avec seulement quelques euros en poche, il n'a pas de quoi payer son billet. Mais il a toute la nuit pour réunir la somme nécessaire ; une nuit entière qui s'offre à lui.

Propos du réalisateur Tommy Weber

Avez-vous construit votre film à partir d'un personnage ou vouliez-vous d'abord raconter l'histoire d'une nuit ?
Je lisais "L'Attrape-cœurs" de J.D Salinger dont j’adore le héros, Holden. J’ai eu l’envie de filmer l’errance de mon Holden. À partir de là, j'ai commencé à écrire. C’est un scénario dont je savais dès le départ qu’il resterait un outil de travail. Mon désir de tourner précède celui d’écrire. Mohamed Kerriche, avec qui j'avais déjà travaillé, est arrivé sur le projet. C’est alors que nous avons développé ensemble l'idée de concentrer l’intrigue sur une seule nuit.

C'est une contrainte intéressante, comme si vous ne vouliez pas lâcher votre personnage d'une semelle.
J’aime l’idée de traverser une nuit seul, dans l’ivresse. On s’ennuie, on se dit qu’on va rentrer et voilà qu’il se passe quelque chose d’inattendu. C’est un voyage presque initiatique, à travers lequel, souvent, on se réinvente.

Vous avez choisi Aurélien Gabrielli, un jeune comédien du CNSAD (Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique)  pour incarner Antoine; Qu'est-ce qui vous a plu chez lui ?
J'ai eu un coup de foudre pour Aurélien parce qu'il avait l'air à la fois courageux, honnête, discret et plein de mystères. Il avait aussi une véritable proposition de jeu et me faisait rire malgré lui. Son jeu un peu volontaire et sa façon de parler qui détonne m'ont touché. Je suis très séduit par les films de la période du réalisme poétique (Renoir, Grémillon, Carné... etc.) dans lesquels les acteurs jouent à fond la caisse et en font parfois trop. C'est génial parce que c’est joyeux, simple, direct – ils s’amusent, ils jouent. C'est presque excessif. C’est généreux. Aurélien, quand il en fait trop, ce n'est jamais con parce que ça vient du cœur.
(extrait dossier de presse)

Vendredi 30 octobre 2015 à 20h30 – Cinéma Les Toiles place François Truffaut Saint-Gratien - Prévente à la caisse du cinéma dès le mercredi 28 octobre.

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