Le film de la semaine :
"Les Hirondelles de Kaboul" film d'animation de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec avec les voix de Simon Abkarian, Zita Hanrot, Swann Arlaud…
Été 1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s’aiment profondément. En dépit de la violence et de la misère quotidienne, ils veulent croire en l’avenir. Un geste insensé de Mohsen va faire basculer leurs vies.
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Autres sorties à noter :
"Fête de famille" de Cédric Kahn avec Catherine Deneuve, Emmanuelle Bercot, Vincent Macaigne…
"Aujourd’hui c'est mon anniversaire et j'aimerais qu'on ne parle que de choses joyeuses." Andréa ne sait pas encore que l'arrivée « surprise » de sa fille aînée, Claire, disparue depuis 3 ans et bien décidée à reprendre ce qui lui est dû, va bouleverser le programme et déclencher une tempête familiale.
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"Fourmi" de Julien Rappeneau avec François Damiens, Maleaume Paquin, André Dussollier…
Le jeune Théo, surnommé « Fourmi », aimerait redonner de l’espoir à son père, Laurent, un grand gaillard solitaire et désabusé par la vie. L’occasion se présente quand Théo est sur le point d’être recruté par un grand club de foot anglais.
Finalement non sélectionné car jugé trop petit, Fourmi n’a pas le cœur d’imposer une déception de plus à son père. Il se lance alors dans un mensonge qui va rapidement le dépasser…
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Retrouvez rapidement le programme des cinémas de la Vallée de Montmorency
Saint-Gratien (Les Toiles)
Franconville (cinéma Henri Langlois)
Montmorency (L'Eden)
Taverny (Studio Ciné) nouveau !
Enghien (Centre des Arts)
Enghien (Ugc)
Ermont (séances les mardis et mercredis)
Eaubonne (séances du mercredi)
Autres cinémas proches :
Epinay-sur-Seine (CGR)
Saint-Ouen l'Aumône (Utopia)
Montigny-lès-Cormeilles (Megarama)
Bonus : propos de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec, réalisatrice du film d'animation.
Qu’est-ce qui vous séduisait dans ce projet ?
Zabou Breitman : En termes de récit, il y avait la possibilité d’en faire quelque chose d’incroyable en animation. L’extrême abstraction et la durée apportées par l’animation font qu’il y a une forme de douceur propice à représenter la dureté de cette histoire. Le dessin apporte une distance qui rend les images supportables. Je ne sais pas si l'on supporterait un film en prises de vue réelles sur le même sujet. Ce serait trop violent.
En voyant les essais d’Eléa, la perspective est devenue assez glorieuse : tout devenait possible, et la même beauté.
Eléa Gobbé-Mévellec : J’avais les mêmes ambitions. Et me documentant, j’ai vu une richesse graphique potentielle qu’on ne trouve pas ailleurs. Cette histoire compliquée que vivent les personnages, on pouvait la mettre en lumière de façon spécifique. Raconter des choses extrêmement fortes à partir d’un visuel puissant, ça m’intéressait beaucoup.
Zabou Breitman : La transposition via l’animation était idéale. Et elle nous rendait légitimes : de quel droit, sinon, aurait-on pris la parole en tournant un film en prises de vues réelles à Kaboul ?
Eléa Gobbé-Mévellec : Cela nous donnait la liberté de choisir ce qu’on allait montrer, d’aller chercher une symbolisation, une synthétisation : un détail qui dit l’essentiel, un bidon coloré au milieu de charrettes du moyen-âge.
Le film de la semaine :
"Les Hirondelles de Kaboul" film d'animation de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec avec les voix de Simon Abkarian, Zita Hanrot, Swann Arlaud…
Été 1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s’aiment profondément. En dépit de la violence et de la misère quotidienne, ils veulent croire en l’avenir. Un geste insensé de Mohsen va faire basculer leurs vies.
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"Fête de famille" de Cédric Kahn avec Catherine Deneuve, Emmanuelle Bercot, Vincent Macaigne…
"Aujourd’hui c'est mon anniversaire et j'aimerais qu'on ne parle que de choses joyeuses." Andréa ne sait pas encore que l'arrivée « surprise » de sa fille aînée, Claire, disparue depuis 3 ans et bien décidée à reprendre ce qui lui est dû, va bouleverser le programme et déclencher une tempête familiale.
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"Fourmi" de Julien Rappeneau avec François Damiens, Maleaume Paquin, André Dussollier…
Le jeune Théo, surnommé « Fourmi », aimerait redonner de l’espoir à son père, Laurent, un grand gaillard solitaire et désabusé par la vie. L’occasion se présente quand Théo est sur le point d’être recruté par un grand club de foot anglais.
Finalement non sélectionné car jugé trop petit, Fourmi n’a pas le cœur d’imposer une déception de plus à son père. Il se lance alors dans un mensonge qui va rapidement le dépasser…
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Bonus : propos de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec, réalisatrice du film d'animation.
Qu’est-ce qui vous séduisait dans ce projet ?
Zabou Breitman : En termes de récit, il y avait la possibilité d’en faire quelque chose d’incroyable en animation. L’extrême abstraction et la durée apportées par l’animation font qu’il y a une forme de douceur propice à représenter la dureté de cette histoire. Le dessin apporte une distance qui rend les images supportables. Je ne sais pas si l'on supporterait un film en prises de vue réelles sur le même sujet. Ce serait trop violent.
En voyant les essais d’Eléa, la perspective est devenue assez glorieuse : tout devenait possible, et la même beauté.
Eléa Gobbé-Mévellec : J’avais les mêmes ambitions. Et me documentant, j’ai vu une richesse graphique potentielle qu’on ne trouve pas ailleurs. Cette histoire compliquée que vivent les personnages, on pouvait la mettre en lumière de façon spécifique. Raconter des choses extrêmement fortes à partir d’un visuel puissant, ça m’intéressait beaucoup.
Zabou Breitman : La transposition via l’animation était idéale. Et elle nous rendait légitimes : de quel droit, sinon, aurait-on pris la parole en tournant un film en prises de vues réelles à Kaboul ?
Eléa Gobbé-Mévellec : Cela nous donnait la liberté de choisir ce qu’on allait montrer, d’aller chercher une symbolisation, une synthétisation : un détail qui dit l’essentiel, un bidon coloré au milieu de charrettes du moyen-âge.
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