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Mercredi cinéma : "Dallas Buyers club" de Jean-Marc Vallée avec Matthew McConaughey et Jennifer Garner.

Publié le : 29-01-2014

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Montmorency - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône

 

DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc ValléeZoom nouveauté : "Dallas Buyers club" de Jean-Marc Vallée

L'histoire
1986, Dallas, Texas, une histoire vraie.
Ron Woodroof a 35 ans, des bottes, un Stetson, c’est un cow-boy, un vrai. Sa vie : sexe, drogue et rodéo. Tout bascule quand, diagnostiqué séropositif, il lui reste 30 jours à vivre.
Révolté par l’impuissance du corps médical, il recourt à des traitements alternatifs non officiels. Au fil du temps, il rassemble d’autres malades en quête de guérison : le Dallas Buyers Club est né. Mais son succès gêne, Ron doit s’engager dans une bataille contre les laboratoires et les autorités fédérales. C’est son combat pour une nouvelle cause…et pour sa propre vie.
Un film de Jean-Marc Vallée avec Matthew McConaughey, Jared Leto, Jennifer Garner, Michael O'Neil.

 

Bonus : Genèse du film (extrait des notes de la production)

Direction Dallas
DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc ValléeEn septembre 1992, Ron Woodroof est mort de complications liées au virus du SIDA. Sept ans plus tôt, on ne lui donnait plus que trente jours à vivre.
Durant le mois qui précéda la mort de Ron Woodroof, le scénariste Craig Borten prit la route depuis Los Angeles jusqu’à Dallas afin de le rencontrer et de commencer à travailler sur un film qui serait l’histoire de sa vie et allait prendre vingt ans pour voir le jour : "Dallas Buyers Club".
C’est un ami qui a fait connaître à Craig Borten l’histoire de Ron Woodroof et celle du Dallas Buyers Club. Ron Woodroof avait contracté le VIH en 1985, alors que l’Amérique commençait seulement à ouvrir les yeux sur ce qu’était le Sida. Le virus faisait déjà des ravages au sein de la communauté gay depuis quatre ans. Cet électricien dragueur et macho faisait partie des millions de gens qui pensaient que le Sida, "c’est juste qu’une maladie de gay".
A l’âge de 35 ans, ce fier Texan s’est retrouvé exclu et fuit par ses amis et ses collègues. Il était mourant et pratiquement sans ressources. Mais il était déterminé à survivre. Et contre toutes les prédictions, il n’a pas seulement survécu, il s’est aussi épanoui et a permis de sauver d’autres vies.
Durant les sept années qui ont suivi son diagnostique positif, Ron Woodroof est devenu une encyclopédie vivante concernant les médicaments anti-viraux, les procès et brevets pharmaceutiques, les régulations de la FDA (agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux), et les décisions de justice. Il s’est battu pour les droits des patients ainsi que pour leur accès aux médicaments et aux traitements alternatifs.
Après avoir écrit des lettres restées sans réponses, Craig Borten appela les bureaux du Dallas Buyers Club. Ron le prit au téléphone et dit au scénariste de venir le voir dès le lendemain.
DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc ValléeLe scénariste Craig Borten : « Plus j’en apprenais, plus j’étais fasciné. J’étais très intéressé par cet homme, fondamentalement intolérant, qui se retrouve victime de cette même intolérance de la part de ses amis. Après cela, il va évoluer et apprendre ce qu’est la vraie amitié et ce qu’elle signifie. Ceux qui vont l’accepter et le réconforter sont des malades du VIH et du SIDA, et ils sont pratiquement tous homosexuels.
Voilà quelqu’un qui, condamné à mourir, renverse la situation et découvre d’autres choses. Fort de cette expérience, il change et aide d’autres personnes. Les individus qui défient la fatalité m’inspirent, et Ron en fait partie. Et puis, ça a fait de lui une meilleure personne.»
Craig Borten a passé plusieurs jours avec Ron au Dallas Buyers Club, où il a enregistré plus de vingt heures d’entretiens sur son dictaphone.
Après son décès, l’histoire de Ron – celle d’un homme dont l’instinct singulier de survie a été bénéfique à la vie de tant d’autres – a pris une tournure inattendue. Craig Borten continuait ses recherches tout en écrivant. Lorsqu’il estima qu’il avait réussi à raconter l’histoire de Ron sous forme de scénario, il donna son travail à lire à une amie proche, la productrice Robbie Brenner.
Robbie Brenner, productrice : « J’ai tout de suite adoré. Ron a vécu une aventure incroyable. Par sa personnalité, son éducation et ses origines, Ron avait cette faculté de remettre les choses en question et de se battre quels que soient les obstacles ou la gravité des problèmes. Lorsqu’il contracta le Sida, il réussit à regarder sa vie sous un autre angle, il réussit à s’adapter et de là, à DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc Valléeaider les autres. Cependant, il n’a jamais eu l’ambition de réussir quoi que ce soit. Il essayait juste de survivre.
Le scénario me rappelait celui de films que j’aime et qui m’ont marquée. J’ai dit à Craig que je voulais produire ce film. »
Cela se passait en 1997, alors que Robbie Brenner était productrice exécutive pour un studio américain. Le projet atteignit l’étape du développement mais n’alla pas plus loin. Craig Borten récupéra ses droits, continua de faire lire son scénario, reçu des propositions, et le ré-écrivit en ajoutant les éléments de ses plus récentes recherches.
En 2000, Craig Borten s’associa à la scénariste Melisa Wallack pour retravailler le scénario. Ensemble ils aiguisèrent l’histoire en écartant les trop nombreuses informations et opinions pour se concentrer sur le récit de la quête d’un homme…
(extrait dossier de presse)

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien - Franconville - Montmorency - Saint-Gratien - Taverny et les séances du mercredi de Ermont
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône

 

DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc ValléeZoom nouveauté : "Dallas Buyers club" de Jean-Marc Vallée

L'histoire
1986, Dallas, Texas, une histoire vraie.
Ron Woodroof a 35 ans, des bottes, un Stetson, c’est un cow-boy, un vrai. Sa vie : sexe, drogue et rodéo. Tout bascule quand, diagnostiqué séropositif, il lui reste 30 jours à vivre.
Révolté par l’impuissance du corps médical, il recourt à des traitements alternatifs non officiels. Au fil du temps, il rassemble d’autres malades en quête de guérison : le Dallas Buyers Club est né. Mais son succès gêne, Ron doit s’engager dans une bataille contre les laboratoires et les autorités fédérales. C’est son combat pour une nouvelle cause…et pour sa propre vie.
Un film de Jean-Marc Vallée avec Matthew McConaughey, Jared Leto, Jennifer Garner, Michael O'Neil.

 

Bonus : Genèse du film (extrait des notes de la production)

Direction Dallas
DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc ValléeEn septembre 1992, Ron Woodroof est mort de complications liées au virus du SIDA. Sept ans plus tôt, on ne lui donnait plus que trente jours à vivre.
Durant le mois qui précéda la mort de Ron Woodroof, le scénariste Craig Borten prit la route depuis Los Angeles jusqu’à Dallas afin de le rencontrer et de commencer à travailler sur un film qui serait l’histoire de sa vie et allait prendre vingt ans pour voir le jour : "Dallas Buyers Club".
C’est un ami qui a fait connaître à Craig Borten l’histoire de Ron Woodroof et celle du Dallas Buyers Club. Ron Woodroof avait contracté le VIH en 1985, alors que l’Amérique commençait seulement à ouvrir les yeux sur ce qu’était le Sida. Le virus faisait déjà des ravages au sein de la communauté gay depuis quatre ans. Cet électricien dragueur et macho faisait partie des millions de gens qui pensaient que le Sida, "c’est juste qu’une maladie de gay".
A l’âge de 35 ans, ce fier Texan s’est retrouvé exclu et fuit par ses amis et ses collègues. Il était mourant et pratiquement sans ressources. Mais il était déterminé à survivre. Et contre toutes les prédictions, il n’a pas seulement survécu, il s’est aussi épanoui et a permis de sauver d’autres vies.
Durant les sept années qui ont suivi son diagnostique positif, Ron Woodroof est devenu une encyclopédie vivante concernant les médicaments anti-viraux, les procès et brevets pharmaceutiques, les régulations de la FDA (agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux), et les décisions de justice. Il s’est battu pour les droits des patients ainsi que pour leur accès aux médicaments et aux traitements alternatifs.
Après avoir écrit des lettres restées sans réponses, Craig Borten appela les bureaux du Dallas Buyers Club. Ron le prit au téléphone et dit au scénariste de venir le voir dès le lendemain.
DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc ValléeLe scénariste Craig Borten : « Plus j’en apprenais, plus j’étais fasciné. J’étais très intéressé par cet homme, fondamentalement intolérant, qui se retrouve victime de cette même intolérance de la part de ses amis. Après cela, il va évoluer et apprendre ce qu’est la vraie amitié et ce qu’elle signifie. Ceux qui vont l’accepter et le réconforter sont des malades du VIH et du SIDA, et ils sont pratiquement tous homosexuels.
Voilà quelqu’un qui, condamné à mourir, renverse la situation et découvre d’autres choses. Fort de cette expérience, il change et aide d’autres personnes. Les individus qui défient la fatalité m’inspirent, et Ron en fait partie. Et puis, ça a fait de lui une meilleure personne.»
Craig Borten a passé plusieurs jours avec Ron au Dallas Buyers Club, où il a enregistré plus de vingt heures d’entretiens sur son dictaphone.
Après son décès, l’histoire de Ron – celle d’un homme dont l’instinct singulier de survie a été bénéfique à la vie de tant d’autres – a pris une tournure inattendue. Craig Borten continuait ses recherches tout en écrivant. Lorsqu’il estima qu’il avait réussi à raconter l’histoire de Ron sous forme de scénario, il donna son travail à lire à une amie proche, la productrice Robbie Brenner.
Robbie Brenner, productrice : « J’ai tout de suite adoré. Ron a vécu une aventure incroyable. Par sa personnalité, son éducation et ses origines, Ron avait cette faculté de remettre les choses en question et de se battre quels que soient les obstacles ou la gravité des problèmes. Lorsqu’il contracta le Sida, il réussit à regarder sa vie sous un autre angle, il réussit à s’adapter et de là, à DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc Valléeaider les autres. Cependant, il n’a jamais eu l’ambition de réussir quoi que ce soit. Il essayait juste de survivre.
Le scénario me rappelait celui de films que j’aime et qui m’ont marquée. J’ai dit à Craig que je voulais produire ce film. »
Cela se passait en 1997, alors que Robbie Brenner était productrice exécutive pour un studio américain. Le projet atteignit l’étape du développement mais n’alla pas plus loin. Craig Borten récupéra ses droits, continua de faire lire son scénario, reçu des propositions, et le ré-écrivit en ajoutant les éléments de ses plus récentes recherches.
En 2000, Craig Borten s’associa à la scénariste Melisa Wallack pour retravailler le scénario. Ensemble ils aiguisèrent l’histoire en écartant les trop nombreuses informations et opinions pour se concentrer sur le récit de la quête d’un homme…
(extrait dossier de presse)

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