Accueil > Histoire locale > Rencontres de François > Aude et Estelle : « Le 4L Trophy, c'est sûr que cela fait grandir !"
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Aude et Estelle : « Le 4L Trophy, c'est sûr que cela fait grandir ! ». Interview bilan de nos deux aventurières !

Publié le : 18-03-2019

Aude et Estelle au Maroc !

Depuis la fin de l'année dernière, nous avons suivi les aventures de Aude et Estelle, notre duo d'aventurières qui a participé au 4L Trophy, le raid solidaire et humanitaire. Après avoir franchi la ligne d'arrivé et fait la fête à Marrakech, elles sont maintenant de retour. Notre Ermontoise et notre Sannoisienne reviennent une dernière fois sur cette expérience qui les « a fait grandir » : jamais elles n'oublieront les rires les jeux en compagnie des Enfants du désert !

4L d'Aude et Estelle« Le raid 4L Trophy nous manque déjà ! » avez-vous posté sur les réseaux sociaux. Le quotidien de la "vie normale" est difficile après une telle aventure et un retour quelque peu mouvementé ?
Aude : Effectivement je dirais que nous subissons un choc de culture (la vie parisienne n'a rien à voir avec la façon de vivre en plein désert), de température (nous avons dû renfiler les manteaux, les journées ici ressemblent un petit peu à nos fraîches nuits), de langage et d'ambiance. Passer d'une aventure à 2300 personnes quotidiennement à une vie solitaire est assez brutal comme transition. Nous avions notre petite routine lors du raid et c'est vrai que l'on s'y attache vite. Les magnifiques levés de soleil sur les dunes, le pliage de la tente, le petit déjeuner marocain, les playlists du raid, la sociabilité et la convivialité avec toutes les personnes qui nous entouraient... et puis lorsque l'on est amoureux de la nature, c'est sûr que l'on est vite nostalgique des paysages somptueux du Moyen Atlas et du Sahara.
Estelle : Mais il est aussi agréable de ne pas vivre dans la peur de tomber en panne à tout moment !

Revenons sur votre aventure. Les lecteurs vous remercient d'avoir partagé votre parcours et vos émotions. Quel sentiment en retirez-vous ?
Estelle : On en retire un grand sentiment de fierté et nous sommes heureuses que nos aventures aient pu intéresser les lecteurs. Nous espérons également que cela ait pu sensibiliser des personnes sur le sujet de l'accès à l’éducation qui n’est pas égal pour tous. Et si cela donnait envie aux gens de s’investir pour une cause ou un projet humanitaire ?
Aude : Nous avons aussi un sentiment d'accomplissement avec le fait d'avoir réalisé un rêve. Nous avons souvent tendance à dire "J'aurais vraiment aimé le faire", cette fois, nous l'avons fait ! Je pense que nous sommes toutes les deux assez fières de nous, car cela parait simplement être une aventure entre jeunes, mais il s'agit surtout de sortir de sa zone de confort. La préparation du raid représente de nombreuses heures de travail, de la persévérance, de l'ambition. Le raid requiert également des compétences techniques que nous n'avions pas avant de le vivre (bien que n'avons pas la prétention d'affirmer que nous sommes incollables en mécanique !). Et puis l'aventure pousse également nos limites (fatigue, confort précaire...). Le fait d'avoir été suivi par autant de monde nous apporte également beaucoup d'émotions, c'est à nous de remercier nos lecteurs !

Avec les enfants du désert au MarocVotre rencontre avec les enfants du désert du Maroc semble être un moment particulier dans votre périple. Pouvez-vous nous raconter ce que vous avez éprouvé ?
Aude : Oui effectivement, c’était un moment particulier, je dirais même privilégié. Nous avons éprouvé beaucoup de reconnaissance et d’admiration. Ces enfants parcourent souvent des kilomètres à pied, ou à vélo pour ceux qui ont la chance d’en avoir un, pour pouvoir aller à l’école. Je me souviens que plus jeune je prenais le bus pour 1 km de trajet pour rejoindre le collège. C’est là que je me dis que nous n’avons pas les mêmes facilités.
Pour en revenir à la rencontre, nous avons surtout échangé des sourires étant donné qu’il y avait la barrière de la langue, cependant, ils savaient que nous étions ici pour leur ramener du matériel et l’on pouvait sentir leur reconnaissance. Les enfants nous faisaient des câlins, voulaient prendre des photos avec nous, souhaitaient faire partie de notre équipe pour les jeux… de quoi marquer nos esprits. C’était drôle de voir qu’ils avaient les mêmes jeux que nous en plein désert : football, tire à la corde, 1 2 3 soleil revisité en grimpant une dune au lieu de rejoindre un arbre ou un mur, corde à sauter, coloriage…
Estelle : Comme le dis Aude, cette rencontre avec les enfants du Maroc demeurera pour ma part l’un des plus beaux moments de notre raid. Nous avons été frappées par la réalité, ces enfants qui ne vont pas tous à l’école, qui doivent parcourir des kilomètres à vélo ou à pied. Mais ils sont très heureux et ont partagé avec nous cette joie de vivre. Un cache-cache dans le désert, des sourires, des rires. C’est l’image qui restera !

Le 4L Trophy, c'est aussi une aventure qui réunit une jeunesse enthousiaste et solidaire ! Il semble que les galères rencontrées par tous les équipages décuplent la solidarité entre vous. Cela a-t-il fait évoluer votre manière d'être ou de percevoir les choses ?
Aude : Je n’ai jamais connu ou été témoin d’une aussi grande solidarité. C’est sûr que cela fait grandir. « Seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin » cette phrase illustre bien la solidarité entre Trophystes. Une 4L arrêtée sur le bas-côté ne restait jamais longtemps seule. Un équipage avait même pour but de dépanner le plus de monde possible, je crois qu’ils ont dépassé les 50 dépannages durant le raid. Et lorsque l’on est seul sur la bande d’arrêt d’urgence, que l’on n’est pas des as de la mécanique, ça réchauffe le cœur de voir des personnes s’arrêter pour aider. Et puis la roue tourne, de notre côté nous avons également donné un alternateur à un équipage qui avait cassé le sien durant l’étape en autonomie et avons dépanné un autre équipage en panne d’essence sur l’autoroute. Dorénavant, c’est certain que nous ne fermerons pas les yeux sur les problèmes de chacun, amis ou inconnus. Lorsque l’on peut aider, alors il faut le faire, et ensemble nous irons plus loin.
Estelle : Je pense que le 4L Trophy n’a fait que développer notre envie d’aider les autres et… nos muscles à force de pousser des voitures ensablées ! Et nous n'hésiterons pas à aider les autres après le raid, comme beaucoup d’anciens l’ont fait avec nous quand nous avions des questions. Cela nous donne aussi envie de nous engager au quotidien dans une cause.

Mécaniciens toujours disponibles !Un petit mot sur l'organisation du 4L Trophy qui semble dévouée et efficace afin que tout le monde franchisse la ligne d'arrivée ?
Estelle : De notre côté, tout s'est bien passé au niveau de l'organisation. Nous pouvions suivre le travail des mécaniciens toujours disponibles, travaillant d'arrache-pied jour et nuit pour que tous les équipages puissent continuer le raid. Coup de chapeau aussi aux équipes médicales qui interviennent même pour une écharde dans le doigt. Sinon pas de morsure de serpent, heureusement !
Aude : Les seules personnes qui n’ont pas franchi la ligne d’arrivée sont celle qui malheureusement ont eu de gros accidents et ont dû être rapatriées en France : deux équipages lors de la traversée de l’Espagne.

Quel conseil donneriez-vous aux jeunes qui souhaiteraient se lancer dans une telle aventure ?
Estelle : il faut faire confiance aux "anciens" trophystes, en rejoignant le groupe Facebook "groupe officiel entraide 4L Trophy", car la solidarité commence bien avant le raid. Sur ce groupe on peut poser n’importe quelle question (mécanique, sponsor, budget, actions…), il y aura toujours quelqu’un pour apporter une réponse constructive.
Aude : Ensuite il faut faire très attention lors de l’achat de la voiture pour ne pas avoir de mauvaise surprise. Les vérifications techniques pour la participation au raid sont assez strictes, cela serait bête de se voir refuser le départ au dernier moment. Pour éviter ce genre de désagrément, tout est très bien expliqué dans les dossiers de l’organisation. Il y a de nombreuses pages à lire, mais si tout est suivi à la lettre, vous êtes assurés n'avoir pas de problème.
Enfin, il ne faut pas hésiter à s’y prendre facilement un an à huit mois avant le départ. Le temps passe vite et la préparation est longue.
Une fois au raid, prendre le temps de vivre l’instant car l’aventure passe vite, très vite.
Estelle : Oui, il faut préparer tout en amont afin de profiter au maximum du raid sans être embêté par des imprévus qui peuvent gâcher cette belle aventure.

4L d'Aude et EstellePour terminer, que va devenir votre chère 4L ? Est-elle prête pour être au départ d'un nouveau raid avec un autre duo d'aventurières ?
Estelle : Notre Bibi ! Malgré la sonde de température elle est prête pour de nouvelles aventures ! Beaucoup de mécaniciens nous ont certifié qu'elle était en excellent état, ce que l'on a pu constater par nous-même pendant le raid. En espérant qu'elle fasse le bonheur de futurs participants ou d'un collectionneur.
Aude : En effet, nous allons réparer la sonde de température défaillante et puis mettre en vente celle qui nous aura été fidèle tout au long de cette belle aventure. La voiture est en excellent état. Elle pourra compléter la panoplie d’un grand collectionneur ou repartir sur les pistes du Maroc sans aucun souci et sans demander une grande préparation. Si la voiture est reprise par un Trophyste, nous lui donnerons également tous les équipements obligatoires et pièces de rechanges pouvant servir pour le raid. Dans tous les cas, nous sommes surs que Bibi, comme nous l’appelons, fera le grand bonheur de ses futurs propriétaires. De notre côté, nous garderons de merveilleux souvenirs en tête.

Très grand merci à Aude et Estelle pour le partage de leur aventure et petit détail pour terminer : nos deux aventurières ont tenu à compenser leurs émissions de carbone (6000 km de route) auprès de la Fondation GoodPlanet. Bravo pour cette solidarité envers la planète !

Fête à Marrakech

 

Aude et Estelle au Maroc !

Depuis la fin de l'année dernière, nous avons suivi les aventures de Aude et Estelle, notre duo d'aventurières qui a participé au 4L Trophy, le raid solidaire et humanitaire. Après avoir franchi la ligne d'arrivé et fait la fête à Marrakech, elles sont maintenant de retour. Notre Ermontoise et notre Sannoisienne reviennent une dernière fois sur cette expérience qui les « a fait grandir » : jamais elles n'oublieront les rires les jeux en compagnie des Enfants du désert !

4L d'Aude et Estelle« Le raid 4L Trophy nous manque déjà ! » avez-vous posté sur les réseaux sociaux. Le quotidien de la "vie normale" est difficile après une telle aventure et un retour quelque peu mouvementé ?
Aude : Effectivement je dirais que nous subissons un choc de culture (la vie parisienne n'a rien à voir avec la façon de vivre en plein désert), de température (nous avons dû renfiler les manteaux, les journées ici ressemblent un petit peu à nos fraîches nuits), de langage et d'ambiance. Passer d'une aventure à 2300 personnes quotidiennement à une vie solitaire est assez brutal comme transition. Nous avions notre petite routine lors du raid et c'est vrai que l'on s'y attache vite. Les magnifiques levés de soleil sur les dunes, le pliage de la tente, le petit déjeuner marocain, les playlists du raid, la sociabilité et la convivialité avec toutes les personnes qui nous entouraient... et puis lorsque l'on est amoureux de la nature, c'est sûr que l'on est vite nostalgique des paysages somptueux du Moyen Atlas et du Sahara.
Estelle : Mais il est aussi agréable de ne pas vivre dans la peur de tomber en panne à tout moment !

Revenons sur votre aventure. Les lecteurs vous remercient d'avoir partagé votre parcours et vos émotions. Quel sentiment en retirez-vous ?
Estelle : On en retire un grand sentiment de fierté et nous sommes heureuses que nos aventures aient pu intéresser les lecteurs. Nous espérons également que cela ait pu sensibiliser des personnes sur le sujet de l'accès à l’éducation qui n’est pas égal pour tous. Et si cela donnait envie aux gens de s’investir pour une cause ou un projet humanitaire ?
Aude : Nous avons aussi un sentiment d'accomplissement avec le fait d'avoir réalisé un rêve. Nous avons souvent tendance à dire "J'aurais vraiment aimé le faire", cette fois, nous l'avons fait ! Je pense que nous sommes toutes les deux assez fières de nous, car cela parait simplement être une aventure entre jeunes, mais il s'agit surtout de sortir de sa zone de confort. La préparation du raid représente de nombreuses heures de travail, de la persévérance, de l'ambition. Le raid requiert également des compétences techniques que nous n'avions pas avant de le vivre (bien que n'avons pas la prétention d'affirmer que nous sommes incollables en mécanique !). Et puis l'aventure pousse également nos limites (fatigue, confort précaire...). Le fait d'avoir été suivi par autant de monde nous apporte également beaucoup d'émotions, c'est à nous de remercier nos lecteurs !

Avec les enfants du désert au MarocVotre rencontre avec les enfants du désert du Maroc semble être un moment particulier dans votre périple. Pouvez-vous nous raconter ce que vous avez éprouvé ?
Aude : Oui effectivement, c’était un moment particulier, je dirais même privilégié. Nous avons éprouvé beaucoup de reconnaissance et d’admiration. Ces enfants parcourent souvent des kilomètres à pied, ou à vélo pour ceux qui ont la chance d’en avoir un, pour pouvoir aller à l’école. Je me souviens que plus jeune je prenais le bus pour 1 km de trajet pour rejoindre le collège. C’est là que je me dis que nous n’avons pas les mêmes facilités.
Pour en revenir à la rencontre, nous avons surtout échangé des sourires étant donné qu’il y avait la barrière de la langue, cependant, ils savaient que nous étions ici pour leur ramener du matériel et l’on pouvait sentir leur reconnaissance. Les enfants nous faisaient des câlins, voulaient prendre des photos avec nous, souhaitaient faire partie de notre équipe pour les jeux… de quoi marquer nos esprits. C’était drôle de voir qu’ils avaient les mêmes jeux que nous en plein désert : football, tire à la corde, 1 2 3 soleil revisité en grimpant une dune au lieu de rejoindre un arbre ou un mur, corde à sauter, coloriage…
Estelle : Comme le dis Aude, cette rencontre avec les enfants du Maroc demeurera pour ma part l’un des plus beaux moments de notre raid. Nous avons été frappées par la réalité, ces enfants qui ne vont pas tous à l’école, qui doivent parcourir des kilomètres à vélo ou à pied. Mais ils sont très heureux et ont partagé avec nous cette joie de vivre. Un cache-cache dans le désert, des sourires, des rires. C’est l’image qui restera !

Le 4L Trophy, c'est aussi une aventure qui réunit une jeunesse enthousiaste et solidaire ! Il semble que les galères rencontrées par tous les équipages décuplent la solidarité entre vous. Cela a-t-il fait évoluer votre manière d'être ou de percevoir les choses ?
Aude : Je n’ai jamais connu ou été témoin d’une aussi grande solidarité. C’est sûr que cela fait grandir. « Seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin » cette phrase illustre bien la solidarité entre Trophystes. Une 4L arrêtée sur le bas-côté ne restait jamais longtemps seule. Un équipage avait même pour but de dépanner le plus de monde possible, je crois qu’ils ont dépassé les 50 dépannages durant le raid. Et lorsque l’on est seul sur la bande d’arrêt d’urgence, que l’on n’est pas des as de la mécanique, ça réchauffe le cœur de voir des personnes s’arrêter pour aider. Et puis la roue tourne, de notre côté nous avons également donné un alternateur à un équipage qui avait cassé le sien durant l’étape en autonomie et avons dépanné un autre équipage en panne d’essence sur l’autoroute. Dorénavant, c’est certain que nous ne fermerons pas les yeux sur les problèmes de chacun, amis ou inconnus. Lorsque l’on peut aider, alors il faut le faire, et ensemble nous irons plus loin.
Estelle : Je pense que le 4L Trophy n’a fait que développer notre envie d’aider les autres et… nos muscles à force de pousser des voitures ensablées ! Et nous n'hésiterons pas à aider les autres après le raid, comme beaucoup d’anciens l’ont fait avec nous quand nous avions des questions. Cela nous donne aussi envie de nous engager au quotidien dans une cause.

Mécaniciens toujours disponibles !Un petit mot sur l'organisation du 4L Trophy qui semble dévouée et efficace afin que tout le monde franchisse la ligne d'arrivée ?
Estelle : De notre côté, tout s'est bien passé au niveau de l'organisation. Nous pouvions suivre le travail des mécaniciens toujours disponibles, travaillant d'arrache-pied jour et nuit pour que tous les équipages puissent continuer le raid. Coup de chapeau aussi aux équipes médicales qui interviennent même pour une écharde dans le doigt. Sinon pas de morsure de serpent, heureusement !
Aude : Les seules personnes qui n’ont pas franchi la ligne d’arrivée sont celle qui malheureusement ont eu de gros accidents et ont dû être rapatriées en France : deux équipages lors de la traversée de l’Espagne.

Quel conseil donneriez-vous aux jeunes qui souhaiteraient se lancer dans une telle aventure ?
Estelle : il faut faire confiance aux "anciens" trophystes, en rejoignant le groupe Facebook "groupe officiel entraide 4L Trophy", car la solidarité commence bien avant le raid. Sur ce groupe on peut poser n’importe quelle question (mécanique, sponsor, budget, actions…), il y aura toujours quelqu’un pour apporter une réponse constructive.
Aude : Ensuite il faut faire très attention lors de l’achat de la voiture pour ne pas avoir de mauvaise surprise. Les vérifications techniques pour la participation au raid sont assez strictes, cela serait bête de se voir refuser le départ au dernier moment. Pour éviter ce genre de désagrément, tout est très bien expliqué dans les dossiers de l’organisation. Il y a de nombreuses pages à lire, mais si tout est suivi à la lettre, vous êtes assurés n'avoir pas de problème.
Enfin, il ne faut pas hésiter à s’y prendre facilement un an à huit mois avant le départ. Le temps passe vite et la préparation est longue.
Une fois au raid, prendre le temps de vivre l’instant car l’aventure passe vite, très vite.
Estelle : Oui, il faut préparer tout en amont afin de profiter au maximum du raid sans être embêté par des imprévus qui peuvent gâcher cette belle aventure.

4L d'Aude et EstellePour terminer, que va devenir votre chère 4L ? Est-elle prête pour être au départ d'un nouveau raid avec un autre duo d'aventurières ?
Estelle : Notre Bibi ! Malgré la sonde de température elle est prête pour de nouvelles aventures ! Beaucoup de mécaniciens nous ont certifié qu'elle était en excellent état, ce que l'on a pu constater par nous-même pendant le raid. En espérant qu'elle fasse le bonheur de futurs participants ou d'un collectionneur.
Aude : En effet, nous allons réparer la sonde de température défaillante et puis mettre en vente celle qui nous aura été fidèle tout au long de cette belle aventure. La voiture est en excellent état. Elle pourra compléter la panoplie d’un grand collectionneur ou repartir sur les pistes du Maroc sans aucun souci et sans demander une grande préparation. Si la voiture est reprise par un Trophyste, nous lui donnerons également tous les équipements obligatoires et pièces de rechanges pouvant servir pour le raid. Dans tous les cas, nous sommes surs que Bibi, comme nous l’appelons, fera le grand bonheur de ses futurs propriétaires. De notre côté, nous garderons de merveilleux souvenirs en tête.

Très grand merci à Aude et Estelle pour le partage de leur aventure et petit détail pour terminer : nos deux aventurières ont tenu à compenser leurs émissions de carbone (6000 km de route) auprès de la Fondation GoodPlanet. Bravo pour cette solidarité envers la planète !

Fête à Marrakech

 

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1 commentaire(s)

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Christine - Il y a 6 ans
Merci au Journal de François pour ses très beaux articles qui nous ont permis de suivre cette belle aventure.
Et pas de doute, quand il se passe quelque chose dans la Vallée de Montmorency, on peut compter sur François pour relayer l'info ! ;)
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