Mercredi 6 avril
Enghien
J’ai décidé d’aimer l’art contemporain... spécial Moscou
Présentation de la conférence :
« À force de répéter que Moscou manque d’un grand musée d’art moderne, comme Pompidou ou la Tate Modern, une bonne demi-douzaine de centres d’art contemporain ont été ouverts ces dernières années dans la capitale russe, un petit musée fédéral, deux musées de la ville de Moscou, plusieurs centres privés, sans compter la nouvelle galerie Tretiakov »*. À Paris, l’exposition Sots art, art politique en Russie de 1972 à nos jours (Maison Rouge, 2007) a déclenché un regain d’intérêt pour la scène “pop“ russe (Komar & Melamid, Koulik…). L’autre versant de l’underground moscovite est le Conceptualisme et Ilya Kabakov, l’un de ses principaux chefs de file. Ses installations opposent le triomphalisme du Réalisme socialiste à la réalité de la vie quotidienne. Mais où en est la Russie aujourd’hui ? « Aujourd’hui, en Russie, un jeune est soit pro-gouvernement et pro-Grande Russie, soit antimondialiste, soit on ne sait trop quoi. Je préfère être on ne sait trop quoi. Les antimondialistes sont très ennuyeux. Je préfère ne pas penser à la politique, mais plutôt à la vie, à la mort ou à l’art. D’autant que faire de la politique peut être dangereux. », déclare un jeune artiste russe*. Entre luxe et idéologies, alcoolisme et nationalisme, quelle place pour l’art ?
(extrait du site connaissancedel'art.com)
18h30– Centre des arts 12-16 rue de la Libération Enghien – entrée libre
Mercredi 6 avril
Enghien
J’ai décidé d’aimer l’art contemporain... spécial Moscou
Présentation de la conférence :
« À force de répéter que Moscou manque d’un grand musée d’art moderne, comme Pompidou ou la Tate Modern, une bonne demi-douzaine de centres d’art contemporain ont été ouverts ces dernières années dans la capitale russe, un petit musée fédéral, deux musées de la ville de Moscou, plusieurs centres privés, sans compter la nouvelle galerie Tretiakov »*. À Paris, l’exposition Sots art, art politique en Russie de 1972 à nos jours (Maison Rouge, 2007) a déclenché un regain d’intérêt pour la scène “pop“ russe (Komar & Melamid, Koulik…). L’autre versant de l’underground moscovite est le Conceptualisme et Ilya Kabakov, l’un de ses principaux chefs de file. Ses installations opposent le triomphalisme du Réalisme socialiste à la réalité de la vie quotidienne. Mais où en est la Russie aujourd’hui ? « Aujourd’hui, en Russie, un jeune est soit pro-gouvernement et pro-Grande Russie, soit antimondialiste, soit on ne sait trop quoi. Je préfère être on ne sait trop quoi. Les antimondialistes sont très ennuyeux. Je préfère ne pas penser à la politique, mais plutôt à la vie, à la mort ou à l’art. D’autant que faire de la politique peut être dangereux. », déclare un jeune artiste russe*. Entre luxe et idéologies, alcoolisme et nationalisme, quelle place pour l’art ?
(extrait du site connaissancedel'art.com)
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