Paul Morse, historien d'Eaubonne et auteur du livre "Le Petit-Château d'Eaubonne de Ledoux et son parc", nous dévoile, tout au long de l'année, des secrets, des anecdotes qui composent l'histoire de la ville. Ses fameuses "Enigmes eaubonnaises" nous permettent aussi de découvrir des personnalités… exceptionnelles. A déguster sans modération !
Germaine Aymos, c’est son nom, née à Paris en 1886, monte sur la scène des « Folies-Pigalle » à l’âge de 20 ans dans un costume qui voilait à peine ses charmes...et fut poursuivie pour attentat à la pudeur.
Contre toute attente, elle est acquittée au motif que sa danse était « artistique » et non pornographique. Un jeune journaliste, Georges Normandy, assistait au procès et prend sa défense dans la presse de l’époque. Il en fait même un livre intitulé "Le Nu au Théâtre". A force de la fréquenter dans les salles du Palais de Justice mais aussi dans les cabarets où elle se produisait, il en tombe éperdument amoureux, et la demande en mariage. Ils se marient en 1919, et après un bref passage par Asnières-sur-Seine, ce couple s’installe à Eaubonne.
Germaine laisse tomber la danse pour devenir journaliste à son tour. Elle écrit dans la revue "Esprit" dont Georges est le directeur, sous le pseudonyme de Yves Normandy.
Retrouvons le récit complet du la vie de cette danseuse nue devenue journaliste.
Vous pouvez aussi retrouver les précédentes énigmes eaubonnaises de Paul Morse >> enigmes eaubonnaises.
Paul Morse, historien d'Eaubonne et auteur du livre "Le Petit-Château d'Eaubonne de Ledoux et son parc", nous dévoile, tout au long de l'année, des secrets, des anecdotes qui composent l'histoire de la ville. Ses fameuses "Enigmes eaubonnaises" nous permettent aussi de découvrir des personnalités… exceptionnelles. A déguster sans modération !
Germaine Aymos, c’est son nom, née à Paris en 1886, monte sur la scène des « Folies-Pigalle » à l’âge de 20 ans dans un costume qui voilait à peine ses charmes...et fut poursuivie pour attentat à la pudeur.
Contre toute attente, elle est acquittée au motif que sa danse était « artistique » et non pornographique. Un jeune journaliste, Georges Normandy, assistait au procès et prend sa défense dans la presse de l’époque. Il en fait même un livre intitulé "Le Nu au Théâtre". A force de la fréquenter dans les salles du Palais de Justice mais aussi dans les cabarets où elle se produisait, il en tombe éperdument amoureux, et la demande en mariage. Ils se marient en 1919, et après un bref passage par Asnières-sur-Seine, ce couple s’installe à Eaubonne.
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