Samedi 2 avril 2016
Enghien-les-Bains
On ne présente plus Salvatore Adamo, cet artiste qui mêle émotions et poésie à chacune de ses apparitions.
Présentation du concert (extrait du communiqué de presse)
Cinquante ans de carrière, cinq cents chansons à son actif, Plus de cent millions de disques vendus dans le monde… Ce chanteur à la voix de velours que Jacques Brel qualifiait de “tendre jardinier de l’amour” a traversé les décennies en cultivant avec passion un verger poétique dont il a su rendre les fruits universels.
Après avoir récemment interprété Bécaud, Salvatore Adamo propose désormais à son public, en guise de célébration, le meilleur de son répertoire. Dans ce tour de chant aux perles éternelles (“Tombe la neige”, “Vous permettez Monsieur”, “Mes mains sur tes hanches”…), il passe de l’intimité à la fête avec l’aisance d’un gamin de Sicile devenu icône de la variété de qualité. Chacun de ses concerts est un moment à chérir.
Son dernier album "La Grande roue" remonte à 2012 et Salvatore Adamo nous explique le pourquoi de quelques unes de ses chansons (extrait de son site officiel) :
La grande roue
L’image du hamster vient d’un ouvrage de Bernard Werber, « Nos amis les humains ». La chanson évoque les contradictions de l’homme, son désir de se transcender, d’aller vers le spirituel, et tout ce qui fait qu’il va exactement à l’encontre, parfois vers la barbarie. Nous sommes obligés de constater qu’on peut encore s’entretuer au nom d’un Dieu. J’avais écrit une chanson sur ce thème, il y a une quinzaine d’années, qui disait « Dieu du ciel qui te prétend amour, pourquoi tant de haine en ton nom ? » On en est encore là.
Tous mes âges
On m’a offert un jour un bracelet hindou, constitué de fils de soie colorés. L’idée m’est venue d’associer ces couleurs différentes à chaque âge de la vie. Je me surprends parfois à rester adolescent devant certaines choses et à me sentir plus mûr que je ne l’aurai cru devant d’autres. Notre vécu nous enrichit, il faut se nourrir du passé pour aller plus loin. Je peux garder l’illusion d’avoir conservé une forme de jeunesse. Quand on est artiste, le public vous l’autorise et vous le réclame même.
Cher amour
Je la dédie à Bernard Giraudeau. Je l’avais d’abord écrite en anglais, « My dear love », et quand je l’ai traduite, je me suis aperçu que le titre français était aussi celui du magnifique roman de Giraudeau, « Cher amour ». Je n’ai pas vraiment connu Bernard, nous nous sommes croisés quelques fois, mais je sentais que nous avions des affinités, que nous aurions pu être amis.
Samedi 2 avril 2016 à 20h - Casino Barrière Enghien-les-Bains, 3 avenue de Ceinture, Enghien-les-Bains – Tarif : de 40 à 70 € - Renseignements et Réservations : 01 39 34 10 80
Samedi 2 avril 2016
Enghien-les-Bains
On ne présente plus Salvatore Adamo, cet artiste qui mêle émotions et poésie à chacune de ses apparitions.
Présentation du concert (extrait du communiqué de presse)
Cinquante ans de carrière, cinq cents chansons à son actif, Plus de cent millions de disques vendus dans le monde… Ce chanteur à la voix de velours que Jacques Brel qualifiait de “tendre jardinier de l’amour” a traversé les décennies en cultivant avec passion un verger poétique dont il a su rendre les fruits universels.
Après avoir récemment interprété Bécaud, Salvatore Adamo propose désormais à son public, en guise de célébration, le meilleur de son répertoire. Dans ce tour de chant aux perles éternelles (“Tombe la neige”, “Vous permettez Monsieur”, “Mes mains sur tes hanches”…), il passe de l’intimité à la fête avec l’aisance d’un gamin de Sicile devenu icône de la variété de qualité. Chacun de ses concerts est un moment à chérir.
Son dernier album "La Grande roue" remonte à 2012 et Salvatore Adamo nous explique le pourquoi de quelques unes de ses chansons (extrait de son site officiel) :
La grande roue
L’image du hamster vient d’un ouvrage de Bernard Werber, « Nos amis les humains ». La chanson évoque les contradictions de l’homme, son désir de se transcender, d’aller vers le spirituel, et tout ce qui fait qu’il va exactement à l’encontre, parfois vers la barbarie. Nous sommes obligés de constater qu’on peut encore s’entretuer au nom d’un Dieu. J’avais écrit une chanson sur ce thème, il y a une quinzaine d’années, qui disait « Dieu du ciel qui te prétend amour, pourquoi tant de haine en ton nom ? » On en est encore là.
Tous mes âges
On m’a offert un jour un bracelet hindou, constitué de fils de soie colorés. L’idée m’est venue d’associer ces couleurs différentes à chaque âge de la vie. Je me surprends parfois à rester adolescent devant certaines choses et à me sentir plus mûr que je ne l’aurai cru devant d’autres. Notre vécu nous enrichit, il faut se nourrir du passé pour aller plus loin. Je peux garder l’illusion d’avoir conservé une forme de jeunesse. Quand on est artiste, le public vous l’autorise et vous le réclame même.
Cher amour
Je la dédie à Bernard Giraudeau. Je l’avais d’abord écrite en anglais, « My dear love », et quand je l’ai traduite, je me suis aperçu que le titre français était aussi celui du magnifique roman de Giraudeau, « Cher amour ». Je n’ai pas vraiment connu Bernard, nous nous sommes croisés quelques fois, mais je sentais que nous avions des affinités, que nous aurions pu être amis.
Samedi 2 avril 2016 à 20h - Casino Barrière Enghien-les-Bains, 3 avenue de Ceinture, Enghien-les-Bains – Tarif : de 40 à 70 € - Renseignements et Réservations : 01 39 34 10 80
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