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Ciné-club d'Enghien : "La soif du mal" d'Orson Welles

Publié le : 06-02-2011

Nouveau rendez-vous pour tous les cinéphiles de la Vallée de Montmorency avec Jean Douchet, historien du cinéma : le ciné-club d'Enghien nous propose "La soif du mal" d'Orson Welles ! Très belle programmation.

Synopsis
L'explosion d'une bombe dans le secteur américain de Los Robles, petite ville frontalière entre les États-Unis et le Mexique fait craindre des complications entre les deux pays. Le policier mexicain, Mike Vargas, alors en voyage de noces, décide de s'investir dans l'enquête et découvre les méthodes peu recommandables de son homologue, Hank Quinlan. Vargas et sa femme se retrouvent pris au piège entre une police locale corrompue et les gangs locaux…


Bonus : extrait d'un article de Carole Wrona du site critikat.com

Film maudit, un de plus, dans la carrière d’Orson Welles, "La Soif du Mal" est un génial bréviaire des techniques de montage et de prises de vues. De Charlton Heston à Marlene Dietrich, les grandes stars de l’époque n’auraient pas raté cette touche du Mal, nous non plus !

Boudé pendant dix ans par les studios, après l’échec de "La Dame de Shanghai", Orson Welles est contacté par Universal pour jouer l’acteur dans un film, "Le Signe du Mal". À court d’argent, il accepte. Et c’est Charlton Heston, pressenti pour le rôle du flic intègre, qui convainc les studios de donner les rênes de ce polar au réalisateur de Citizen Kane. Ce dernier réécrit le scénario et change la couleur des personnages : le policier loyal, Vargas, devient mexicain et sa femme, américaine. Il situe l’action dans une ville-frontière, Los Robles (en réalité Venice, en Californie), entre le Mexique et les États-Unis. Il grime tous ses comédiens, y compris lui-même (fausse barbe naissante, poches sous les yeux, énorme ventre). Mais Universal n’accepte pas le montage final et retire le film des mains de Welles. Sorti en 1958, "Touch of Evil" est remonté pour passer en salles, il fait alors 98 minutes. Orson Welles écrit donc un mémoire de 58 pages pour demander des changements. Il faudra attendre plus de 15 ans pour qu’un groupe d’aficionados suive point par point ce texte passionné et rende à " Soif du Mal" ses intentions d’origine. Reste alors cet éclat incroyable qui du son à l’image fait de ce film un incontournable de l’Histoire du cinéma.

En savoir plus >> lire la suite de l'article de Carole Wrona sur critikat.com

Mercredi 16 février à 19h30 – Centre des arts 12-16 rue de la Libération Enghien-les-Bains – Tarif : 5 € (tarif réduit : 2,3 €)

Nouveau rendez-vous pour tous les cinéphiles de la Vallée de Montmorency avec Jean Douchet, historien du cinéma : le ciné-club d'Enghien nous propose "La soif du mal" d'Orson Welles ! Très belle programmation.

Synopsis
L'explosion d'une bombe dans le secteur américain de Los Robles, petite ville frontalière entre les États-Unis et le Mexique fait craindre des complications entre les deux pays. Le policier mexicain, Mike Vargas, alors en voyage de noces, décide de s'investir dans l'enquête et découvre les méthodes peu recommandables de son homologue, Hank Quinlan. Vargas et sa femme se retrouvent pris au piège entre une police locale corrompue et les gangs locaux…


Bonus : extrait d'un article de Carole Wrona du site critikat.com

Film maudit, un de plus, dans la carrière d’Orson Welles, "La Soif du Mal" est un génial bréviaire des techniques de montage et de prises de vues. De Charlton Heston à Marlene Dietrich, les grandes stars de l’époque n’auraient pas raté cette touche du Mal, nous non plus !

Boudé pendant dix ans par les studios, après l’échec de "La Dame de Shanghai", Orson Welles est contacté par Universal pour jouer l’acteur dans un film, "Le Signe du Mal". À court d’argent, il accepte. Et c’est Charlton Heston, pressenti pour le rôle du flic intègre, qui convainc les studios de donner les rênes de ce polar au réalisateur de Citizen Kane. Ce dernier réécrit le scénario et change la couleur des personnages : le policier loyal, Vargas, devient mexicain et sa femme, américaine. Il situe l’action dans une ville-frontière, Los Robles (en réalité Venice, en Californie), entre le Mexique et les États-Unis. Il grime tous ses comédiens, y compris lui-même (fausse barbe naissante, poches sous les yeux, énorme ventre). Mais Universal n’accepte pas le montage final et retire le film des mains de Welles. Sorti en 1958, "Touch of Evil" est remonté pour passer en salles, il fait alors 98 minutes. Orson Welles écrit donc un mémoire de 58 pages pour demander des changements. Il faudra attendre plus de 15 ans pour qu’un groupe d’aficionados suive point par point ce texte passionné et rende à " Soif du Mal" ses intentions d’origine. Reste alors cet éclat incroyable qui du son à l’image fait de ce film un incontournable de l’Histoire du cinéma.

En savoir plus >> lire la suite de l'article de Carole Wrona sur critikat.com

Mercredi 16 février à 19h30 – Centre des arts 12-16 rue de la Libération Enghien-les-Bains – Tarif : 5 € (tarif réduit : 2,3 €)

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