En janvier 2003 la famille de l’auteur reçoit une carte postale anonyme du palais Garnier avec écrit au dos quatre prénoms : Ephraim, Emma, Noémie, Jacques. Ces quatre personnes sont les oncles et les tantes de la mère de l’auteur, morts en déportation en 1942.
Bouleversés, les destinataires rangent ce courrier dans le fond d’un tiroir.
Bien des années plus tard, à la faveur d’un incident, l’auteur décide d’enquêter pour tenter à la fois de retrouver qui est la personne qui a pu envoyer cette missive et de tenter de retracer la vie des membres de sa famille qui ont fui la Russie en 1919.
Après "Gabriële", co-écrit avec sa sœur, Anne Berest nous évoque une nouvelle fois son histoire maternelle et nous livre avec émotion le récit funeste du destin de ses aïeux.
Ce témoignage poignant revient sur la question « qu’est-ce qu’être juif ? », et près de cent ans après, cette interrogation reste malheureusement toujours d’actualité…
Editions Grasset
Ce témoignange poignant a touché Sophie, libraire de l'Espace Pierre Lecut à Ermont.
"La carte postale" d'Anne Berest
En janvier 2003 la famille de l’auteur reçoit une carte postale anonyme du palais Garnier avec écrit au dos quatre prénoms : Ephraim, Emma, Noémie, Jacques. Ces quatre personnes sont les oncles et les tantes de la mère de l’auteur, morts en déportation en 1942.
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