"Je suis mort. On m’a tué un jour de septembre 1957 d’une balle dans la tête" est la première phrase du roman. C’est paradoxal mais avec cette accroche le narrateur nous plonge dans le récit de sa vie. En effet, jeune homme, il intègre avec un ami la Phalange espagnole. Puis, ensemble, ils deviendront acteurs du mouvement de décolonisation de l’Afrique du Nord dans les années 50…
Auteur espagnol de plusieurs romans dont l’excellent "Théorie des cordes", José Carlos Somoza s’essaie au roman historique en revisitant une période trouble de l’Espagne avec ces hommes idéalistes qui vont se muer en hommes de guerres pour étancher leur soif de pouvoir.
Ce roman se lit comme un thriller dans lequel chausse-trappes et trahisons se jouent des hommes et de leurs destins et nous éclaire sur cette phase de la décolonisation en Afrique du Nord.
Editions Actes Sud
"Je suis mort. On m’a tué un jour de septembre 1957 d’une balle dans la tête" est la première phrase du roman. C’est paradoxal mais avec cette accroche le narrateur nous plonge dans le récit de sa vie. En effet, jeune homme, il intègre avec un ami la Phalange espagnole. Puis, ensemble, ils deviendront acteurs du mouvement de décolonisation de l’Afrique du Nord dans les années 50…
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