L'Office National des Forêts (ONF) a diffusé pendant le mois d'août un communiqué de presse très important concernant la Forêt de Montmorency. Passé un peu inaperçu, il m'a semblé important de le remettre "à la une" car il concerne notre cher "poumon vert" de la Vallée de Montmorency.
En pleine période estivale, l'ONF nous a informés via un communiqué de presse que des châtaigniers de la forêt de Montmorency étaient atteints de la maladie de l'encre et nous a asséné ensuite le verdict fatidique : « Il n’y a pas de traitement pour lutter contre cette maladie. »
Avouons-le : cette maladie de l'encre n'est pas très connue. Alors, avant de voir les actions décidées pour la forêt de Montmorency, l'ONF nous décrit l'origine et les caractéristiques de ce pathogène : « La maladie de l’encre attaque le système racinaire des châtaigniers.
Elle a fait des dégâts considérables dans la châtaigneraie française entre la fin du XIXème siècle et la première moitié du XXème siècle.
Puis elle est restée "silencieuse" pour réapparaître dans les années 1990-2000 dans les régions soumises au climat atlantique.
On constate un développement de cette maladie en Île-de-France, notamment dû aux hivers doux et aux printemps pluvieux, favorables à la prolifération de ce pathogène qui se propage plus facilement dans l’eau.
Cette maladie concerne toute la châtaigneraie du Nord-Ouest de la France.
Les arbres touchés se caractérisent par des feuilles jaunâtres et petites, un dessèchement des rameaux, des fructifications de petite taille puis un dépérissement général. Et Il n’y a pas de traitement pour lutter contre cette maladie. »
Revenons à notre Forêt de Montmorency : suite à une cartographie établie à partir de photos aériennes infra rouges, l'ONF a recensé 200 ha concernés où l'évolution du dépérissement des châtaigniers est rapide. Et, comme il n'existe pas de traitement, ces arbres malades doivent être malheureusement coupés. Evidemment, des plantations d’essences mieux adaptées au sol et tolérantes au pathogène sont d'ores et déjà programmées et les jeunes plants seront protégés individuellement des dents du gibier.
Nous suivrons avec attention l'évolution de cette opération très importante pour la sauvegarde de notre chère Forêt de Montmorency.
L'Office National des Forêts (ONF) a diffusé pendant le mois d'août un communiqué de presse très important concernant la Forêt de Montmorency. Passé un peu inaperçu, il m'a semblé important de le remettre "à la une" car il concerne notre cher "poumon vert" de la Vallée de Montmorency.
En pleine période estivale, l'ONF nous a informés via un communiqué de presse que des châtaigniers de la forêt de Montmorency étaient atteints de la maladie de l'encre et nous a asséné ensuite le verdict fatidique : « Il n’y a pas de traitement pour lutter contre cette maladie. »
Avouons-le : cette maladie de l'encre n'est pas très connue. Alors, avant de voir les actions décidées pour la forêt de Montmorency, l'ONF nous décrit l'origine et les caractéristiques de ce pathogène : « La maladie de l’encre attaque le système racinaire des châtaigniers.
Elle a fait des dégâts considérables dans la châtaigneraie française entre la fin du XIXème siècle et la première moitié du XXème siècle.
Puis elle est restée "silencieuse" pour réapparaître dans les années 1990-2000 dans les régions soumises au climat atlantique.
On constate un développement de cette maladie en Île-de-France, notamment dû aux hivers doux et aux printemps pluvieux, favorables à la prolifération de ce pathogène qui se propage plus facilement dans l’eau.
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Les arbres touchés se caractérisent par des feuilles jaunâtres et petites, un dessèchement des rameaux, des fructifications de petite taille puis un dépérissement général. Et Il n’y a pas de traitement pour lutter contre cette maladie. »
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