Attention âmes sensibles ! Le Journal de François vous présente un film professionnel de 11 minutes, réalisé en 16 mm, par Pascal Perol et assisté de Gérard Tellier. Il est consacré à la fête de Saint-Leu-la-Forêt de 1979 et plus précisément à une tradition populaire aux origines moyenâgeuses : la décapitation de l'oie en étant masqué !
Ce film intitulé "La tête à l'oye" a été présenté à l'époque dans quelques festivals de courts métrages : « Il faut dire que la noyade et l'agonie de l'oie que l'on a filmées au début du film étaient inconnues du public. Cela a normalement choqué les spectateurs. » nous confie Gérard Tellier, assistant du réalisateur. « J'avais 25 ans lorsque j'ai participé à ce film. Depuis mon enfance, j'avais toujours connu ce rendez-vous annuel à Saint-Leu avec la fête foraine et cette tradition qui datait de l'Antiquité, l'oie étant sacrifiée à l'époque selon des rites particuliers. Au départ, le film n'a pas été tourné dans une ambition militante mais je suis heureux d'avoir contribué à l'évolution des consciences. En effet, dans la foulée de la présentation du film, cette pratique a été heureusement abandonnée. »
Ce film est donc à regarder comme le témoignage d'une époque. Il y a plus de quarante ans à Saint-Leu-la-Forêt...
Attention âmes sensibles ! Le Journal de François vous présente un film professionnel de 11 minutes, réalisé en 16 mm, par Pascal Perol et assisté de Gérard Tellier. Il est consacré à la fête de Saint-Leu-la-Forêt de 1979 et plus précisément à une tradition populaire aux origines moyenâgeuses : la décapitation de l'oie en étant masqué !
Ce film intitulé "La tête à l'oye" a été présenté à l'époque dans quelques festivals de courts métrages : « Il faut dire que la noyade et l'agonie de l'oie que l'on a filmées au début du film étaient inconnues du public. Cela a normalement choqué les spectateurs. » nous confie Gérard Tellier, assistant du réalisateur. « J'avais 25 ans lorsque j'ai participé à ce film. Depuis mon enfance, j'avais toujours connu ce rendez-vous annuel à Saint-Leu avec la fête foraine et cette tradition qui datait de l'Antiquité, l'oie étant sacrifiée à l'époque selon des rites particuliers. Au départ, le film n'a pas été tourné dans une ambition militante mais je suis heureux d'avoir contribué à l'évolution des consciences. En effet, dans la foulée de la présentation du film, cette pratique a été heureusement abandonnée. »
Ce film est donc à regarder comme le témoignage d'une époque. Il y a plus de quarante ans à Saint-Leu-la-Forêt...
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