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Ciné-rencontre avec l'artiste peintre Apolonia Sokol autour du documentaire qui lui est consacré : "Apolonia Apolonia"

Dimanche 31 mars 2024
Saint-Gratien

FILM Apolonia Apolonia« C’est la première fois que l’équipe des Toiles reçoit une grande peintre, il s’agit donc d’une rencontre vraiment exceptionnelle. » nous annonce Séverine Rocaboy. En effet, la responsable du cinéma de Saint-Gratien est heureuse d'accueillir Apolonia Sokol autour du documentaire multiprimé de Léa Glob qui lui est consacré : "Apolonia Apolonia".
A n'en pas douter, les cinéphiles et les amateurs d'art seront au rendez-vous pour cette projection-événement qui précédera une rencontre passionnante avec l'artiste peintre.

L’histoire :
Lorsque la réalisatrice danoise Lea Glob commence à filmer la peintre Apolonia Sokol, il ne devait s’agir que d’un exercice d’école de cinéma. Le portrait filmé s’est finalement tourné sur treize années pour se muer en une épopée intime et sinueuse, celle d’une jeune femme artiste, depuis sa vie de bohème au cœur du théâtre du Lavoir Moderne que dirigent ses parents, jusqu’à son ascension dans le milieu de l’art contemporain, en passant par ses études aux Beaux-Arts de Paris. Mais en miroir d’Apolonia, ce sont aussi les destins d’Oksana Shachko, l’une des fondatrices des Femen, et de la réalisatrice, qui se dessinent. Une sororité à trois faces, à l’épreuve du monde d’aujourd’hui.


Dimanche 31 mars 2024 à 15h45 – Cinéma "Les Toiles" place François Truffaut Saint-Gratien – Réservation en ligne ou prévente à la caisse du cinéma.

FILM Apolonia ApoloniaBonus : genèse du film (propos de la réalisatrice Léa Glob)
Comment avez-vous rencontré Apolonia pour la première fois ?
Ce film est le fruit du hasard. Au départ, c’était un projet d'école de cinéma. Lorsque j'étudiais la réalisation documentaire à l'école de cinéma au Danemark, nous devions réaliser un premier film, comme exercice. Il devait durer 20 minutes environ et nous avions des contraintes imposées à respecter. Pour ce projet, je cherchais une jeune femme artiste comme personnage. J'ai contacté plusieurs personnes, dont Malou Leth Reymann, qui est aujourd'hui réalisatrice. À l'époque, elle était une jeune actrice. Je l'ai vue dans des films et je l'ai trouvée merveilleuse. Elle n’a pas souhaité participer au projet, mais elle m'a donné le numéro d'Apolonia. Ma première rencontre avec Apolonia s’est faite sur Skype. J'avais l'impression d'être dans un film. Je l’observais bouger dans le cadre de l’écran et pendant que nous discutions, des personnes entraient et sortaient du champ. J'ai vu trois ou quatre histoires différentes se dérouler au cours de notre conversation. Mais, pendant tout ce temps, Apolonia n'a pas cessé de captiver mon attention. J'ai su à cet instant qu'elle serait le personnage de mon film. J’ai tout de suite pris conscience que certaines personnes créent le film par leur présence. Nous nous sommes ensuite rencontrées physiquement.

FILM Apolonia Apolonia Apolonia était retournée vivre dans le théâtre de son père à Paris pour s'occuper de ses jeunes frères. Elle m'a dit qu'elle était née et avait grandi dans ce théâtre. Je me suis rendu sur place sans aucune notion de français, avec quelques économies d'étudiante et une caméra DV PD100. Apolonia m'avait donné son numéro et son adresse sur un morceau de papier. Elle m'avait dit : "Quand tu seras là, mets-toi devant la fenêtre et appelle-moi". Une fois arrivée devant le théâtre à Paris, je me suis tenue face au bâtiment et je l'ai appelée : "Apolonia, Apolonia !". Nous en avons fait le titre du film. Elle a commencé à me faire visiter les lieux. Mon intuition de documentariste m’a décidé de tout filmer, tout de suite. Ce que vous voyez dans le film correspond à notre première rencontre. Après la réalisation de ce premier projet scolaire avec elle, je n'ai pas pu m'en défaire. Je ne pouvais pas l'oublier. Quand j'ai quitté l'école de cinéma, j'ai reçu une bourse et j'ai pu me rendre à Paris pour travailler sur Olmo et la Mouette dont les protagonistes Olivia et Serge vivaient à Paris. J'ai alors appelé Apolonia et je lui ai dit que je voulais faire un autre film avec elle, et que cette fois, ce serait un portrait d'elle. (extrait dossier de presse)


Dimanche 31 mars 2024
Saint-Gratien

FILM Apolonia Apolonia« C’est la première fois que l’équipe des Toiles reçoit une grande peintre, il s’agit donc d’une rencontre vraiment exceptionnelle. » nous annonce Séverine Rocaboy. En effet, la responsable du cinéma de Saint-Gratien est heureuse d'accueillir Apolonia Sokol autour du documentaire multiprimé de Léa Glob qui lui est consacré : "Apolonia Apolonia".
A n'en pas douter, les cinéphiles et les amateurs d'art seront au rendez-vous pour cette projection-événement qui précédera une rencontre passionnante avec l'artiste peintre.

L’histoire :
Lorsque la réalisatrice danoise Lea Glob commence à filmer la peintre Apolonia Sokol, il ne devait s’agir que d’un exercice d’école de cinéma. Le portrait filmé s’est finalement tourné sur treize années pour se muer en une épopée intime et sinueuse, celle d’une jeune femme artiste, depuis sa vie de bohème au cœur du théâtre du Lavoir Moderne que dirigent ses parents, jusqu’à son ascension dans le milieu de l’art contemporain, en passant par ses études aux Beaux-Arts de Paris. Mais en miroir d’Apolonia, ce sont aussi les destins d’Oksana Shachko, l’une des fondatrices des Femen, et de la réalisatrice, qui se dessinent. Une sororité à trois faces, à l’épreuve du monde d’aujourd’hui.


Dimanche 31 mars 2024 à 15h45 – Cinéma "Les Toiles" place François Truffaut Saint-Gratien – Réservation en ligne ou prévente à la caisse du cinéma.

FILM Apolonia ApoloniaBonus : genèse du film (propos de la réalisatrice Léa Glob)
Comment avez-vous rencontré Apolonia pour la première fois ?
Ce film est le fruit du hasard. Au départ, c’était un projet d'école de cinéma. Lorsque j'étudiais la réalisation documentaire à l'école de cinéma au Danemark, nous devions réaliser un premier film, comme exercice. Il devait durer 20 minutes environ et nous avions des contraintes imposées à respecter. Pour ce projet, je cherchais une jeune femme artiste comme personnage. J'ai contacté plusieurs personnes, dont Malou Leth Reymann, qui est aujourd'hui réalisatrice. À l'époque, elle était une jeune actrice. Je l'ai vue dans des films et je l'ai trouvée merveilleuse. Elle n’a pas souhaité participer au projet, mais elle m'a donné le numéro d'Apolonia. Ma première rencontre avec Apolonia s’est faite sur Skype. J'avais l'impression d'être dans un film. Je l’observais bouger dans le cadre de l’écran et pendant que nous discutions, des personnes entraient et sortaient du champ. J'ai vu trois ou quatre histoires différentes se dérouler au cours de notre conversation. Mais, pendant tout ce temps, Apolonia n'a pas cessé de captiver mon attention. J'ai su à cet instant qu'elle serait le personnage de mon film. J’ai tout de suite pris conscience que certaines personnes créent le film par leur présence. Nous nous sommes ensuite rencontrées physiquement.

FILM Apolonia Apolonia Apolonia était retournée vivre dans le théâtre de son père à Paris pour s'occuper de ses jeunes frères. Elle m'a dit qu'elle était née et avait grandi dans ce théâtre. Je me suis rendu sur place sans aucune notion de français, avec quelques économies d'étudiante et une caméra DV PD100. Apolonia m'avait donné son numéro et son adresse sur un morceau de papier. Elle m'avait dit : "Quand tu seras là, mets-toi devant la fenêtre et appelle-moi". Une fois arrivée devant le théâtre à Paris, je me suis tenue face au bâtiment et je l'ai appelée : "Apolonia, Apolonia !". Nous en avons fait le titre du film. Elle a commencé à me faire visiter les lieux. Mon intuition de documentariste m’a décidé de tout filmer, tout de suite. Ce que vous voyez dans le film correspond à notre première rencontre. Après la réalisation de ce premier projet scolaire avec elle, je n'ai pas pu m'en défaire. Je ne pouvais pas l'oublier. Quand j'ai quitté l'école de cinéma, j'ai reçu une bourse et j'ai pu me rendre à Paris pour travailler sur Olmo et la Mouette dont les protagonistes Olivia et Serge vivaient à Paris. J'ai alors appelé Apolonia et je lui ai dit que je voulais faire un autre film avec elle, et que cette fois, ce serait un portrait d'elle. (extrait dossier de presse)


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