Dimanche 8 mars 2015
Montmagny
Présentation du spectacle
D’Yvette Guilbert à Barbara : un siècle de chansons sur le thème des femmes.
Il faut attendre la fin des années 50 pour découvrir des femmes auteurs-compositeurs, telles que Barbara et Anne Sylvestre pour les plus connues.
Chansons d’hier ou d’aujourd’hui, écrites par des hommes ou des femmes, d’Yvette Guilbert, la grande diseuse 1900, jusqu’aux années 60 avec Barbara, notre ballade en chansons traversera le XXe siècle avec des sujets intemporels, et un thème d’inspiration éternel : « Les Femmes ». (extrait site internet de l'artiste)
Roger Pouly accompagnera Marie-Hélène Féry au piano.
Dimanche 8 mars 2015 à 16h30 - Auditorium Bernstein de l'école des musiques Pôle Pergame 6 rue de Montmorency Montmagny - entrée libre et participation au chapeau
Zoom sur Marie-Hélène Fery (extrait du site internet de l'artiste)
Née en Moselle, dans l’Est de la France. D’un père et d’une mère qui avaient l’âge d’être ses grands-parents, elle est bercée aux sons des mélodies et des mots des chansons qui rythmaient la vie familiale, où quatre générations se côtoyaient.
Très vite, la petite fille rêve de chant et s’exerce dans la chorale du village. Dans la famille, on y chante des chansons traditionnelles, les refrains du début du XXe siècle, Fréhel, Mistinguett … et aussi Brel, à qui, chacun porte une véritable vénération, et puis, Georges Brassens, Léo Ferré….
A 9 ans, elle découvre Barbara, qui ne fait pourtant pas partie du panthéon familial, et très vite, elle s’approprie son répertoire. Ses frères et sœurs ainés qui pratiquent le théâtre, l’entrainent aux répétitions. A 5 ans, elle connait son premier émoi théâtral, sur les planches de la petite salle locale. C’est dans ce contexte, que tout naturellement s’inscrit son désir de faire un métier du chant et du jeu : chanter en racontant des histoires.
Elle monte à Paris, fait de nombreux métiers, des Etudes de Psychologie, obtient son diplôme, et prend des cours de Chant et de Théâtre. Elle fréquente plusieurs années les Ateliers Chansons de Paris avec Christian Dente, le Théâtre Ecole de Montreuil, puis Daniel Mesguish, le temps d’une création, et des cours avec Pierre Debauche. En reliant Chant et Jeu, elle décide de faire des spectacles qui ont pour thème les répertoires de la chanson, et de mettre sa voix au service de l’histoire de la chanson et de sa propre histoire.
Fortement imprégnée des refrains entendus dans l’enfance, elle est vite attirée par la chanson réaliste et fantaisiste de la première moitié du XXe siècle, textes crus et truculents que chantaient les grandes diseuses, Yvette Guilbert, Damia, Fréhel, Marie Dubas, et qui permettent une grande théâtralité. « Le Paris des Années 20 », créé en 1992.
C’est l’article d’Anne-Marie Paquotte dans Télérama, « La Môme Féry », paru le 18 Août 1992, qui lui permet de se faire connaître, en qualité de chanteuse-interprète. D’autres journaux et médias suivront. Ce spectacle sera chanté plusieurs mois à Paris. Elle rencontre Roger Pouly, pianiste de Charles Trénet , puis Sergio Tomassi, accompagnateur de Barbara et Juliette Gréco, et Jacques Ferchit, accompagnateur de Charles Trénet également. Trois musiciens exceptionnels, porteurs de la mémoire en chansons du XXe siècle.
Le chemin est tracé, elle poursuit ce voyage au fil de la mémoire et de l’amour des textes et du répertoire, refrains du patrimoine et de notre mémoire collective.
Dans la tradition des diseuses, elle aime « les chansons qui racontent des histoires », d’hier ou d’aujourd’hui, comme une petite pièce de théâtre. Chanteuse, conteuse, diseuse, dans ses spectacles, elle nous raconte aussi de petites histoires en relation avec les chansons interprétées, et leur origine.
Depuis 20 ans, elle explore, redécouvre et partage les morceaux d’anthologie des répertoires du XXe siècle. Sur scène, elle joue de son charme instinctif pour s’assurer la complicité du public. Sa verve gouailleuse fait mouche autant que sa sensibilité dans les ambiances les plus sombres et son jeu caractérise, sans forcer le trait, les personnages qui peuplent ces univers contrastés.
Dimanche 8 mars 2015
Montmagny
Présentation du spectacle
D’Yvette Guilbert à Barbara : un siècle de chansons sur le thème des femmes.
Il faut attendre la fin des années 50 pour découvrir des femmes auteurs-compositeurs, telles que Barbara et Anne Sylvestre pour les plus connues.
Chansons d’hier ou d’aujourd’hui, écrites par des hommes ou des femmes, d’Yvette Guilbert, la grande diseuse 1900, jusqu’aux années 60 avec Barbara, notre ballade en chansons traversera le XXe siècle avec des sujets intemporels, et un thème d’inspiration éternel : « Les Femmes ». (extrait site internet de l'artiste)
Roger Pouly accompagnera Marie-Hélène Féry au piano.
Dimanche 8 mars 2015 à 16h30 - Auditorium Bernstein de l'école des musiques Pôle Pergame 6 rue de Montmorency Montmagny - entrée libre et participation au chapeau
Zoom sur Marie-Hélène Fery (extrait du site internet de l'artiste)
Née en Moselle, dans l’Est de la France. D’un père et d’une mère qui avaient l’âge d’être ses grands-parents, elle est bercée aux sons des mélodies et des mots des chansons qui rythmaient la vie familiale, où quatre générations se côtoyaient.
Très vite, la petite fille rêve de chant et s’exerce dans la chorale du village. Dans la famille, on y chante des chansons traditionnelles, les refrains du début du XXe siècle, Fréhel, Mistinguett … et aussi Brel, à qui, chacun porte une véritable vénération, et puis, Georges Brassens, Léo Ferré….
A 9 ans, elle découvre Barbara, qui ne fait pourtant pas partie du panthéon familial, et très vite, elle s’approprie son répertoire. Ses frères et sœurs ainés qui pratiquent le théâtre, l’entrainent aux répétitions. A 5 ans, elle connait son premier émoi théâtral, sur les planches de la petite salle locale. C’est dans ce contexte, que tout naturellement s’inscrit son désir de faire un métier du chant et du jeu : chanter en racontant des histoires.
Elle monte à Paris, fait de nombreux métiers, des Etudes de Psychologie, obtient son diplôme, et prend des cours de Chant et de Théâtre. Elle fréquente plusieurs années les Ateliers Chansons de Paris avec Christian Dente, le Théâtre Ecole de Montreuil, puis Daniel Mesguish, le temps d’une création, et des cours avec Pierre Debauche. En reliant Chant et Jeu, elle décide de faire des spectacles qui ont pour thème les répertoires de la chanson, et de mettre sa voix au service de l’histoire de la chanson et de sa propre histoire.
Fortement imprégnée des refrains entendus dans l’enfance, elle est vite attirée par la chanson réaliste et fantaisiste de la première moitié du XXe siècle, textes crus et truculents que chantaient les grandes diseuses, Yvette Guilbert, Damia, Fréhel, Marie Dubas, et qui permettent une grande théâtralité. « Le Paris des Années 20 », créé en 1992.
C’est l’article d’Anne-Marie Paquotte dans Télérama, « La Môme Féry », paru le 18 Août 1992, qui lui permet de se faire connaître, en qualité de chanteuse-interprète. D’autres journaux et médias suivront. Ce spectacle sera chanté plusieurs mois à Paris. Elle rencontre Roger Pouly, pianiste de Charles Trénet , puis Sergio Tomassi, accompagnateur de Barbara et Juliette Gréco, et Jacques Ferchit, accompagnateur de Charles Trénet également. Trois musiciens exceptionnels, porteurs de la mémoire en chansons du XXe siècle.
Le chemin est tracé, elle poursuit ce voyage au fil de la mémoire et de l’amour des textes et du répertoire, refrains du patrimoine et de notre mémoire collective.
Dans la tradition des diseuses, elle aime « les chansons qui racontent des histoires », d’hier ou d’aujourd’hui, comme une petite pièce de théâtre. Chanteuse, conteuse, diseuse, dans ses spectacles, elle nous raconte aussi de petites histoires en relation avec les chansons interprétées, et leur origine.
Depuis 20 ans, elle explore, redécouvre et partage les morceaux d’anthologie des répertoires du XXe siècle. Sur scène, elle joue de son charme instinctif pour s’assurer la complicité du public. Sa verve gouailleuse fait mouche autant que sa sensibilité dans les ambiances les plus sombres et son jeu caractérise, sans forcer le trait, les personnages qui peuplent ces univers contrastés.
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