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Mercredi cinéma : "La couleur de la victoire" de Stephen Hopkins avec Stephen James.

Publié le : 27-07-2016

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien (ugc),  Franconville - Montmorency - Taverny. Pas de séance programmée à Ermont et Eaubonne. 
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône.
Le cinéma "Les Toiles" de Saint-Gratien est en travux de rénovation.

 

LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen HopkinsZoom nouveauté : "La couleur de la victoire" de Stephen Hopkins

L'histoire
Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux Olympiques. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les États-Unis ne sont pas encore certains de participer aux Jeux de 1936, organisés en Allemagne nazie.
Le débat est vif entre le président du Comité Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la détermination de Jesse à se lancer dans la compétition est intacte…
Un film de Stephen Hopkins avec Stephen James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Shanice Banton, Carice Van Houten, Jeremy Irons, William Hurt…

>> Bande annonce

 

Bonus : zoom sur ce film sur Jesse Owens

LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen HopkinsJesse Owens est une légende planétaire. Même aujourd’hui, où la notoriété est devenue éphémère, la victoire du quadruple médaillé d’or aux Jeux Olympiques de Berlin de 1936 continue à marquer les esprits. Son exploit a suscité un véritable espoir dans le monde. 80 ans plus tard, Owens reste l’un des rares athlètes olympiques dont le nom et l’image font partie intégrante de notre patrimoine culturel.
Après avoir produit le court métrage primé "Tribute ti Jesse Owens and Carl Lewis", Luc Dayan souhaitait développer un film autour d’Owens et des circonstances qui avaient conduit et entouré sa présence aux JO de Berlin en 1936. Le producteur Jean-Charles Lévy s’engage bientôt dans l’aventure à ses côtés, puis c’est au tour du réalisateur Stephen Hopkins et d’une équipe de techniciens venus de tous les pays. Un phénomène révélateur de l’importance qu’a Jesse Owens aux yeux du monde entier.
Réalisé avec le soutien de la Jesse Owens Foundation et de la famille d’Owens, d’un groupe d’investisseurs et d’amis passionnés de sport tels que Solly Azar, Jean Eichenlaub, Christophe Charlier, Morgan Menahem, "La couleur de la victoire" est le premier long métrage consacré à l’athlète. «Nous avons LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen Hopkinscommencé par rencontrer les filles de Jesse Owens et sa femme Ruth Solomon, raconte Lévy. On voulait leur faire comprendre l’orientation qu’on souhaitait donner au projet et leur dire qu’on avait besoin de leur totale coopération. Elles ont été à nos côtés depuis la phase de développement jusqu’à l’aboutissement du film.»
Les scénaristes Joe Shrapnel et Anna Waterhouse ont choisi de s’attacher aux périodes les plus riches de la vie du coureur : l’histoire commence ainsi à l’époque où Jesse, à l’âge de 19 ans, entre à Ohio State University et s’achève avec ses victoires triomphales sur la scène internationale, deux ans plus tard.
« Raconter son histoire, de sa naissance à sa mort, ne nous intéressait pas, indique Anna Waterhouse, et on s’est dit qu’on pouvait suggérer beaucoup d’événements du reste de sa vie à travers cette période brève et intense de son parcours. »
Le réalisateur précise : « Je ne pense pas qu’on puisse évoquer toute la vie de Jesse Owens dans un film de deux heures. En se concentrant sur l’époque 1934-36, on comprend l’évolution de ce coureur de talent qui devient champion du monde. La période où il accomplit ses exploits comportait un intérêt dramaturgique majeur : ils n’auraient pas pu se produire plus tôt ou plus tard en raison de certains progrès techniques et de la montée du fascisme en Europe. »
LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen HopkinsLes scénaristes ont également cherché à dépasser le cadre habituel d’un film de sport, en inscrivant l’intrigue dans un contexte social et politique. « Pour que le spectateur comprenne vraiment la dimension exceptionnelle des exploits du protagoniste, il a fallu qu’on contextualise le film sur un plan historique, explique Shrapnel. Les gens ne savent pas forcément que les Jeux ont bien failli ne jamais avoir lieu, ou en tout cas sans la participation des États-Unis. Quoi qu’il en soit, les J.O. de Berlin sont les derniers qui se sont produits avant la fin de la guerre. Le monde était alors en pleine mutation. »
(extrait dossier de presse)

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien (ugc),  Franconville - Montmorency - Taverny. Pas de séance programmée à Ermont et Eaubonne. 
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône.
Le cinéma "Les Toiles" de Saint-Gratien est en travux de rénovation.

 

LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen HopkinsZoom nouveauté : "La couleur de la victoire" de Stephen Hopkins

L'histoire
Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux Olympiques. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les États-Unis ne sont pas encore certains de participer aux Jeux de 1936, organisés en Allemagne nazie.
Le débat est vif entre le président du Comité Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la détermination de Jesse à se lancer dans la compétition est intacte…
Un film de Stephen Hopkins avec Stephen James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Shanice Banton, Carice Van Houten, Jeremy Irons, William Hurt…

>> Bande annonce

 

Bonus : zoom sur ce film sur Jesse Owens

LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen HopkinsJesse Owens est une légende planétaire. Même aujourd’hui, où la notoriété est devenue éphémère, la victoire du quadruple médaillé d’or aux Jeux Olympiques de Berlin de 1936 continue à marquer les esprits. Son exploit a suscité un véritable espoir dans le monde. 80 ans plus tard, Owens reste l’un des rares athlètes olympiques dont le nom et l’image font partie intégrante de notre patrimoine culturel.
Après avoir produit le court métrage primé "Tribute ti Jesse Owens and Carl Lewis", Luc Dayan souhaitait développer un film autour d’Owens et des circonstances qui avaient conduit et entouré sa présence aux JO de Berlin en 1936. Le producteur Jean-Charles Lévy s’engage bientôt dans l’aventure à ses côtés, puis c’est au tour du réalisateur Stephen Hopkins et d’une équipe de techniciens venus de tous les pays. Un phénomène révélateur de l’importance qu’a Jesse Owens aux yeux du monde entier.
Réalisé avec le soutien de la Jesse Owens Foundation et de la famille d’Owens, d’un groupe d’investisseurs et d’amis passionnés de sport tels que Solly Azar, Jean Eichenlaub, Christophe Charlier, Morgan Menahem, "La couleur de la victoire" est le premier long métrage consacré à l’athlète. «Nous avons LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen Hopkinscommencé par rencontrer les filles de Jesse Owens et sa femme Ruth Solomon, raconte Lévy. On voulait leur faire comprendre l’orientation qu’on souhaitait donner au projet et leur dire qu’on avait besoin de leur totale coopération. Elles ont été à nos côtés depuis la phase de développement jusqu’à l’aboutissement du film.»
Les scénaristes Joe Shrapnel et Anna Waterhouse ont choisi de s’attacher aux périodes les plus riches de la vie du coureur : l’histoire commence ainsi à l’époque où Jesse, à l’âge de 19 ans, entre à Ohio State University et s’achève avec ses victoires triomphales sur la scène internationale, deux ans plus tard.
« Raconter son histoire, de sa naissance à sa mort, ne nous intéressait pas, indique Anna Waterhouse, et on s’est dit qu’on pouvait suggérer beaucoup d’événements du reste de sa vie à travers cette période brève et intense de son parcours. »
Le réalisateur précise : « Je ne pense pas qu’on puisse évoquer toute la vie de Jesse Owens dans un film de deux heures. En se concentrant sur l’époque 1934-36, on comprend l’évolution de ce coureur de talent qui devient champion du monde. La période où il accomplit ses exploits comportait un intérêt dramaturgique majeur : ils n’auraient pas pu se produire plus tôt ou plus tard en raison de certains progrès techniques et de la montée du fascisme en Europe. »
LA COULEUR DE LA VICTOIRE de Stephen HopkinsLes scénaristes ont également cherché à dépasser le cadre habituel d’un film de sport, en inscrivant l’intrigue dans un contexte social et politique. « Pour que le spectateur comprenne vraiment la dimension exceptionnelle des exploits du protagoniste, il a fallu qu’on contextualise le film sur un plan historique, explique Shrapnel. Les gens ne savent pas forcément que les Jeux ont bien failli ne jamais avoir lieu, ou en tout cas sans la participation des États-Unis. Quoi qu’il en soit, les J.O. de Berlin sont les derniers qui se sont produits avant la fin de la guerre. Le monde était alors en pleine mutation. »
(extrait dossier de presse)

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