Accueil > Culture > Cinéma > Avant-première à Montmorency : "Jalouse" de David et Stéphane Foenkinos avec Karin Viard
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Avant-première à Montmorency : "Jalouse" de David et Stéphane Foenkinos avec Karin Viard en présence de Stépahne Foenkinos.

Publié le : 26-10-2017

JALOUSE A MONTMORENCYStéphane Foenkinos vient à au cinéma l'Eden de Montmorency pour présenter en avant-première le film qu'il a co-réalisé avec son frère : "Jalouse".
Vous pourrez échanger à l'issue de la projection avec Stéphane Foenkinos : la rencontre s'annonce très intéressante !

L'histoire
Nathalie Pêcheux, professeure de lettres divorcée, passe quasiment du jour au lendemain de mère attentionnée à jalouse maladive. Si sa première cible est sa ravissante fille de 18 ans, Mathilde, danseuse classique, son champ d'action s'étend bientôt à ses amis, ses collègues, voire son voisinage... Entre comédie grinçante et suspense psychologique, la bascule inattendue d’une femme.
Un film de David Foenkinos et Stéphane Foenkinos avec Karin Viard, Anne Dorval, Thibault de Montalembert, Anaïs Demoustier, Dara Tombroff.

Lundi 30 octobre 2017 à 20h45 - Cinéma l'Eden 5 rue de Pontoise Montmorency.

 

JALOUSE DE DAVID ET STEPHANE FOENKINOSBonus : propos de David et Stéphane Foenkinos, réalisateurs du film.

Comment est née l’idée du film ?
Après "La délicatesse", nous avions le désir d’un autre portrait de femme. De la rencontre entre une actrice et un personnage que l’on suivrait au moment où elle est traversée par de nombreux doutes. Le titre "Femme au bord de la crise de nerfs" était quasiment notre tonalité initiale. Autour d’elle, elle ne percevrait que le bonheur et la réussite. Ce bonheur des autres qui « lui saute au visage » comme elle le déclare à son généraliste.
Tout au début, nous nous sommes surtout concentrés sur la relation mère-fille. Voir éclore la beauté et la grâce, la promesse et l’avenir, au moment où votre vie semble décliner, c’est difficile.
Progressivement nous avons décidé d’étendre le sujet à tout l’entourage de Nathalie. Son mal être devient général.

Qu’est-ce qui vous attirait dans ce sujet ?
C’est finalement assez tabou d’envier les autres, de ne pas les supporter parce que leur vie vous paraît meilleure, plus épanouie. Et c’est d’autant plus interdit quand il s’agit de vos propres enfants. Cet aspect sulfureux nous attirait fortement. Et, au-delà de l’aspect social ou psychologique, on y voyait aussi le potentiel comique. Rire en mettant une main devant les yeux et se dire : « non, c’est pas vrai, elle va pas faire ça ! » est aussi un plaisir d’auteur et de réalisateur.

Comment avez-vous construit le récit ?
On a imaginé le film en trois parties. La première est celle de l’apparition de la crise, avec des actes de plus en plus nuisibles, des réactions de plus en plus imprévisibles. Puis, un drame central, acte ultime et violent du dérèglement. Et dans un troisième temps, suivre Nathalie dans sa tentative de se recomposer. Surtout pas une rédemption, plutôt une acceptation.

… et le personnage de Nathalie, la mère jalouse ?
Nathalie fait preuve d’une inventivité redoutable quand il s’agit de rejeter les autres. La première scène avec les voisins en est un exemple. Pour nous, elle incarne « le mal avec le sourire ». Mais elle le fait sans préméditation. Elle le dit elle-même : « J’agis par impulsions et après je regrette. » Une des raisons majeures réside dans une souffrance véritable, qui la rend entière. Entière dans sa méchanceté, comme dans son envie d’être pardonnée.
Une chose est certaine, elle n’aime pas la demie mesure !
(extrait dossier de presse)

JALOUSE A MONTMORENCYStéphane Foenkinos vient à au cinéma l'Eden de Montmorency pour présenter en avant-première le film qu'il a co-réalisé avec son frère : "Jalouse".
Vous pourrez échanger à l'issue de la projection avec Stéphane Foenkinos : la rencontre s'annonce très intéressante !

L'histoire
Nathalie Pêcheux, professeure de lettres divorcée, passe quasiment du jour au lendemain de mère attentionnée à jalouse maladive. Si sa première cible est sa ravissante fille de 18 ans, Mathilde, danseuse classique, son champ d'action s'étend bientôt à ses amis, ses collègues, voire son voisinage... Entre comédie grinçante et suspense psychologique, la bascule inattendue d’une femme.
Un film de David Foenkinos et Stéphane Foenkinos avec Karin Viard, Anne Dorval, Thibault de Montalembert, Anaïs Demoustier, Dara Tombroff.

Lundi 30 octobre 2017 à 20h45 - Cinéma l'Eden 5 rue de Pontoise Montmorency.

 

JALOUSE DE DAVID ET STEPHANE FOENKINOSBonus : propos de David et Stéphane Foenkinos, réalisateurs du film.

Comment est née l’idée du film ?
Après "La délicatesse", nous avions le désir d’un autre portrait de femme. De la rencontre entre une actrice et un personnage que l’on suivrait au moment où elle est traversée par de nombreux doutes. Le titre "Femme au bord de la crise de nerfs" était quasiment notre tonalité initiale. Autour d’elle, elle ne percevrait que le bonheur et la réussite. Ce bonheur des autres qui « lui saute au visage » comme elle le déclare à son généraliste.
Tout au début, nous nous sommes surtout concentrés sur la relation mère-fille. Voir éclore la beauté et la grâce, la promesse et l’avenir, au moment où votre vie semble décliner, c’est difficile.
Progressivement nous avons décidé d’étendre le sujet à tout l’entourage de Nathalie. Son mal être devient général.

Qu’est-ce qui vous attirait dans ce sujet ?
C’est finalement assez tabou d’envier les autres, de ne pas les supporter parce que leur vie vous paraît meilleure, plus épanouie. Et c’est d’autant plus interdit quand il s’agit de vos propres enfants. Cet aspect sulfureux nous attirait fortement. Et, au-delà de l’aspect social ou psychologique, on y voyait aussi le potentiel comique. Rire en mettant une main devant les yeux et se dire : « non, c’est pas vrai, elle va pas faire ça ! » est aussi un plaisir d’auteur et de réalisateur.

Comment avez-vous construit le récit ?
On a imaginé le film en trois parties. La première est celle de l’apparition de la crise, avec des actes de plus en plus nuisibles, des réactions de plus en plus imprévisibles. Puis, un drame central, acte ultime et violent du dérèglement. Et dans un troisième temps, suivre Nathalie dans sa tentative de se recomposer. Surtout pas une rédemption, plutôt une acceptation.

… et le personnage de Nathalie, la mère jalouse ?
Nathalie fait preuve d’une inventivité redoutable quand il s’agit de rejeter les autres. La première scène avec les voisins en est un exemple. Pour nous, elle incarne « le mal avec le sourire ». Mais elle le fait sans préméditation. Elle le dit elle-même : « J’agis par impulsions et après je regrette. » Une des raisons majeures réside dans une souffrance véritable, qui la rend entière. Entière dans sa méchanceté, comme dans son envie d’être pardonnée.
Une chose est certaine, elle n’aime pas la demie mesure !
(extrait dossier de presse)

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