100 artistes exposent au salon d’art contemporain arami d'Ermont ! A découvrir.

Les amateurs d'Art contemporain ont rendez-vous à Ermont pour la nouvelle édition du salon arami proposée par l'association ermontoise "Les Amis des Arts".
Cette année, vous pourrez découvrir 400 œuvres réalisées par une centaine d'artistes sélectionnés « pour leur personnalité, leur talent et la singularité de leurs recherches artistiques, s’exprimant en toute liberté, dans les tendances les plus variées, du figuratif à l’abstraction, de la performance à l’installation. » nous promettent les organisateurs du Salon.
Cette année, le thème retenu est "La déchirure" : cela a entrainé un élan créateur qui va rejaillir sur l'esprit de cette nouvelle édition.
Enfin, trois artistes sont mis à l'honneur lors de cette exposition : la créatrice d'images numériques Isabelle Cochereau, la sculptrice Pascale Proffit et la plasticienne Muriel Baumgartner.
A n'en pas douter, les 900 m2 de la salle Yvonne Printemps du théâtre Pierre Fresnay vont attirer un large public qui aime découvrir des œuvres originales et innovantes.

Du samedi 24 novembre au dimanche 2 décembre 2018 de 14h30 à 18h30 - Théâtre Pierre Fresnay 3 rue Saint Flaive Ermont – Entrée libre.

Zoom sur les artistes invités d'honneur (extrait communiqué de presse)

Isabelle Cochereau compose des images numériques en s’adossant à l’histoire de la peinture, à ses révolutions sensibles et formelles et ouvre une voie. Le numérique devient un outil de citation, de métissage et de transformation pour donner à voir la profondeur de nos psychés. (Corinne Bonnet – Paris)

Pascale Proffit sculpteur. « J’ai toujours été attirée par tout ce qui est vie. Et cette curiosité instinctive m’a librement entraînée dans de drôles d’histoires, où homme, animal, et végétal se fondent et se confondent, sous la bienveillance attentive de la lune et du soleil.Là, toute éternité et fragilité se rencontrent. Passagère, mes voyages sont intérieurs, et, mis en scène en volume. Situations parfois ubuesques, émouvantes et comiques. L’émotion est à fleur de peau. »

Muriel Baumgartner, plasticienne et graveur, dessine, grave, brode, intervient avec des matériaux étrangers aux techniques de la gravure, et depuis 2003 s’est appropriée le fil. Elle développe des séries, des prises de notes graphiques qui s’élaborent entre l’anecdote et la narration, jusqu’à épuisement du sujet. Depuis 1990, elle mène et expose un travail de recherches plastiques autour des notions d’identité et d’empreintes : processus graphique qui se construit au quotidien où, à partir de sa propre histoire, se dégage une écriture singulière. Son travail est à la fois biologique et biographique. (oksébô)