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Spectacle : "Je hais les gosses" d'après des chansons d'Allain Leprest

 

Samedi 17 janvier 2014
Ermont

Dès que l'enfant paraît, j'me casse
J'peux pas sentir les pue-la-pisse
J'leur mords les joues quand j'les embrasse
Et quand ils pleurent j'leur pince les cuisses
C'est mon truc, c'est mon sacerdo-o-ce
Je hais les gosses.
Allain Leprest

JE HAIS LES GOSSES !Quel plaisir de retrouver les chansons d'Allain Leprest, provocatrices mais tellement truculentes, mises en scène par Juliette et interprétées par le groupe "Entre 2 Caisses".
C'et un spectacle-hommage décalé et plein d’humour à partager en famille !

Présentation du spectacle (extrait communiqué de presse)
Nous sommes entre 1954 et 2011, au « musée des gens d’avant », au temps où il y avait encore des voitures et de la pollution, au temps où les poètes passaient encore pour des rigolos… Un drôle de monde aux drôles de mœurs. Les quatre chanteurs et musiciens affûtent leurs cordes vocales et reprennent leurs instruments pour une expérience inédite : reprendre des chansons d’Allain Leprest pour un public dès 8 ans !

Retrouvons aussi les propos de Juliette au sujet de ce spectacle qu'elle met en scène :
« Mettre en scène "Je hais les gosses", des chansons d'Allain Leprest interprétées par "Entre 2 caisses", et de derrière les fagots, voilà une aimable proposition…
Allain Leprest a certes écrit pour les enfants (Pantin Pantine) mais l'idée excitante est ici de faire entendre aux petits gniards, des chansons qu'il a écrites… pour tout le monde !
Et tout le monde y trouvera son compte : pas besoin d'insister sur l'universelle qualité de l'œuvre d'Allain. Mais pour le coup, nous serons un peu au théâtre, aussi !
Le "pitch" ? Dans un futur lointain, quatre guides (en)chanteurs font visiter une banlieue typique du début du 21ème siècle. Et vous verrez, c'est touchant comme du Tati (Jacques, pas la boutique!). Là-dessus, je viens comme une fleur, pour faire poser les pieds au bon endroit, raccourcir ou rallonger les déplacements et les commentaires, éviter les applaudissements intempestifs, mettre du bleu là où on aurait plutôt vu du rouge, bref, faire la mise en scène !
Et je me dis qu'avec ces quatre brigands de la chanson qui ne sont pas à une provocation près, on n'a pas fini de s'amuser ! Et d'amuser la marmaille, leurs parents, et la galerie ! Tout en prenant le temps de poser une oreille et son âme au long des beaux vers de Monsieur Leprest. »

Et qu'en pensent Bruno, Dominique, Gilles, Jean-Michel du groupe "Entre 2 Caisses" ?
« Nous affûtons nos cordes vocales. Nous reprenons nos instruments pour une expérience inédite (pour nous !) : un public élargi aux enfants, et des chansons d’un seul auteur. Et quel auteur ! Allain Leprest, excusez du peu !
L’idée nous plaît. Nous n’aurions pas voulu créer un spectacle consacré à Leprest pour les seuls adultes. Il y en a eu. Il y en aura d’autres.
Mais un spectacle Leprest autorisé aux moins de 12 ans, tout public sans carré blanc, pour les anciens enfants, pour les mioches et les attardés du bulbe ? Voilà un défi passionnant !

CAllain Leprestoncernant Allain Leprest, nous avons fait sa connaissance à nos débuts, en 1997. Sur le conseil de Romain Didier, nous avions intégré "A l’assaut de l’Île" à notre répertoire. Nous avons croisé Allain dans les coulisses d’un théâtre à Bourg en Bresse. Petit à petit, une relation s’est nouée. Nous chantions quelques-unes des œuvres de l’auteur. En 2003 il nous a écrit "La veuve du soldat inconnu".
En 2006, il est venu passer quelques jours avec nous, dans notre province, pour une session d’écriture intense. Intenses devinrent ses migraines. Nous l’avons remis dans le train juste à temps. Deux jours plus tard on l’opérait du cerveau. Depuis, il se disait en dette de chansons avec nous. Nous avions pris rendez-vous pour une nouvelle session, en octobre 2011.
S’il dit « haïr les gosses » c’est sans doute qu’il les aime beaucoup. D’emblée le titre s’impose.
Né en 1954, il a chanté ses premières années dans un monde pour une part disparu. Il a aussi chanté le monde d’aujourd’hui, que les enfants de 2012 connaissent trop bien : le racisme, les
SDF… Parions que l’auditoire de son œuvre mérite de s’élargir aux plus jeunes. Pourquoi en seraient-ils privés ? Intéressera-t-il les enfants autant que les adultes? Il faut examiner, trier. Il n’est pas difficile de trouver parmi ses quelque quatre-cents chansons la matière d’un spectacle à partager entre le grand-père et la petite dernière.
Le propos consiste à confronter les différents regards de Leprest, les mettre en friction, en étincelles, faire la lumière et mettre le feu : naïf, son regard d’enfant sur un monde incompréhensible, croit encore que les adultes le comprennent.
Nostalgique d’un monde révolu, son regard d’adulte, aigu et impitoyable, dissèque la société des humains. Un autre plus décalé, cherche le salut dans l’absurde.
Pessimiste, optimiste ou empathique, il enveloppe souvent l’enfance d’aujourd’hui.
Nous avons délicatement posé le projet sur les épaules de Juliette pour la mise en scène.»
(réalisé à l'aide du dossier de presse)

Mise en scène : Juliette
Accordéon chromatique, clarinettes, chant : Dominique Bouchery
Contrebasse, chant : Bruno Martins
Guitare, chant : Jean-Michel Mouron
Guitare, accordéon diatonique, dulcimer à marteaux, chant : Gilles Raymond

Samedi 17 janvier 2015 à 16h - Théâtre Pierre-Fresnay 3 rue Saint-Flaive Prolongée Ermont – Tarif : 12 €, réduit : 10 €, carte : 8,5 €, moins de 14 ans : 6 € - Réservations au 01 34 44 03 80

 

Samedi 17 janvier 2014
Ermont

Dès que l'enfant paraît, j'me casse
J'peux pas sentir les pue-la-pisse
J'leur mords les joues quand j'les embrasse
Et quand ils pleurent j'leur pince les cuisses
C'est mon truc, c'est mon sacerdo-o-ce
Je hais les gosses.
Allain Leprest

JE HAIS LES GOSSES !Quel plaisir de retrouver les chansons d'Allain Leprest, provocatrices mais tellement truculentes, mises en scène par Juliette et interprétées par le groupe "Entre 2 Caisses".
C'et un spectacle-hommage décalé et plein d’humour à partager en famille !

Présentation du spectacle (extrait communiqué de presse)
Nous sommes entre 1954 et 2011, au « musée des gens d’avant », au temps où il y avait encore des voitures et de la pollution, au temps où les poètes passaient encore pour des rigolos… Un drôle de monde aux drôles de mœurs. Les quatre chanteurs et musiciens affûtent leurs cordes vocales et reprennent leurs instruments pour une expérience inédite : reprendre des chansons d’Allain Leprest pour un public dès 8 ans !

Retrouvons aussi les propos de Juliette au sujet de ce spectacle qu'elle met en scène :
« Mettre en scène "Je hais les gosses", des chansons d'Allain Leprest interprétées par "Entre 2 caisses", et de derrière les fagots, voilà une aimable proposition…
Allain Leprest a certes écrit pour les enfants (Pantin Pantine) mais l'idée excitante est ici de faire entendre aux petits gniards, des chansons qu'il a écrites… pour tout le monde !
Et tout le monde y trouvera son compte : pas besoin d'insister sur l'universelle qualité de l'œuvre d'Allain. Mais pour le coup, nous serons un peu au théâtre, aussi !
Le "pitch" ? Dans un futur lointain, quatre guides (en)chanteurs font visiter une banlieue typique du début du 21ème siècle. Et vous verrez, c'est touchant comme du Tati (Jacques, pas la boutique!). Là-dessus, je viens comme une fleur, pour faire poser les pieds au bon endroit, raccourcir ou rallonger les déplacements et les commentaires, éviter les applaudissements intempestifs, mettre du bleu là où on aurait plutôt vu du rouge, bref, faire la mise en scène !
Et je me dis qu'avec ces quatre brigands de la chanson qui ne sont pas à une provocation près, on n'a pas fini de s'amuser ! Et d'amuser la marmaille, leurs parents, et la galerie ! Tout en prenant le temps de poser une oreille et son âme au long des beaux vers de Monsieur Leprest. »

Et qu'en pensent Bruno, Dominique, Gilles, Jean-Michel du groupe "Entre 2 Caisses" ?
« Nous affûtons nos cordes vocales. Nous reprenons nos instruments pour une expérience inédite (pour nous !) : un public élargi aux enfants, et des chansons d’un seul auteur. Et quel auteur ! Allain Leprest, excusez du peu !
L’idée nous plaît. Nous n’aurions pas voulu créer un spectacle consacré à Leprest pour les seuls adultes. Il y en a eu. Il y en aura d’autres.
Mais un spectacle Leprest autorisé aux moins de 12 ans, tout public sans carré blanc, pour les anciens enfants, pour les mioches et les attardés du bulbe ? Voilà un défi passionnant !

CAllain Leprestoncernant Allain Leprest, nous avons fait sa connaissance à nos débuts, en 1997. Sur le conseil de Romain Didier, nous avions intégré "A l’assaut de l’Île" à notre répertoire. Nous avons croisé Allain dans les coulisses d’un théâtre à Bourg en Bresse. Petit à petit, une relation s’est nouée. Nous chantions quelques-unes des œuvres de l’auteur. En 2003 il nous a écrit "La veuve du soldat inconnu".
En 2006, il est venu passer quelques jours avec nous, dans notre province, pour une session d’écriture intense. Intenses devinrent ses migraines. Nous l’avons remis dans le train juste à temps. Deux jours plus tard on l’opérait du cerveau. Depuis, il se disait en dette de chansons avec nous. Nous avions pris rendez-vous pour une nouvelle session, en octobre 2011.
S’il dit « haïr les gosses » c’est sans doute qu’il les aime beaucoup. D’emblée le titre s’impose.
Né en 1954, il a chanté ses premières années dans un monde pour une part disparu. Il a aussi chanté le monde d’aujourd’hui, que les enfants de 2012 connaissent trop bien : le racisme, les
SDF… Parions que l’auditoire de son œuvre mérite de s’élargir aux plus jeunes. Pourquoi en seraient-ils privés ? Intéressera-t-il les enfants autant que les adultes? Il faut examiner, trier. Il n’est pas difficile de trouver parmi ses quelque quatre-cents chansons la matière d’un spectacle à partager entre le grand-père et la petite dernière.
Le propos consiste à confronter les différents regards de Leprest, les mettre en friction, en étincelles, faire la lumière et mettre le feu : naïf, son regard d’enfant sur un monde incompréhensible, croit encore que les adultes le comprennent.
Nostalgique d’un monde révolu, son regard d’adulte, aigu et impitoyable, dissèque la société des humains. Un autre plus décalé, cherche le salut dans l’absurde.
Pessimiste, optimiste ou empathique, il enveloppe souvent l’enfance d’aujourd’hui.
Nous avons délicatement posé le projet sur les épaules de Juliette pour la mise en scène.»
(réalisé à l'aide du dossier de presse)

Mise en scène : Juliette
Accordéon chromatique, clarinettes, chant : Dominique Bouchery
Contrebasse, chant : Bruno Martins
Guitare, chant : Jean-Michel Mouron
Guitare, accordéon diatonique, dulcimer à marteaux, chant : Gilles Raymond

Samedi 17 janvier 2015 à 16h - Théâtre Pierre-Fresnay 3 rue Saint-Flaive Prolongée Ermont – Tarif : 12 €, réduit : 10 €, carte : 8,5 €, moins de 14 ans : 6 € - Réservations au 01 34 44 03 80

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