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Soutenons Mathilde et Sonia dans leur démarche solidaire à Madagascar !

Publié le : 09-06-2014

SINIA CHENGEL et MATHILDE LIGNEAUElles ont 18 et 19 ans et veulent être utiles. L'une passe en ce mois de juin son bac ES, l'autre termine sa première année d'études Info-Com. Ensuite, elles décollent cet été direction Madagascar pour une mission au sein de l'ONG "Bel Avenir". Partons donc vite à la rencontre de Mathilde Ligneau et Sonia Chenguel, ces deux amies de Montmorency et Bouffémont : elles nous expliquent leur démarche solidaire et lancent un appel pour les soutenir!

 

Mathilde et Sonia, quel fut le déclic pour votre projet à Madagascar ?
Mathilde : L'année dernière, au Point Information Jeunesse de Montmorency, nous nous sommes renseignées  sur les missions solidaires à l'étranger. Ce qui nous était proposé nous intéressait mais ne correspondait pas totalement à ce qu'on recherchait. On ne voulait pas faire des vacances solidaires. On souhaite "plonger dedans" ! On ne va pas là-bas pour regarder mais pour aider.

Comment avez-vous choisi finalement l'ONG Bel Avenir ?
Sonia : On souhaitait s'insérer dans une ONG car c'est prendre part à un vrai projet qu idure dans le temps. L'ONG continue son travail quand nous serons reparties. On voulait partir avec des gens qui sont en contact avec les habitants.
Nous nous sommes donc intéressées aux ONG reconnues comme "Médecins Sans Frontières" mais nous étions bien conscientes de ce que l'on pouvait apporter : du dynamisme, de l'envie mais pas de compétences médicales. De plus, notre jeune âge (18 et 19 ans) posait problème.

ONG BEL AVENIRZoom sur l'ONG Bel Avenir

L'association réalise du développement durable dans le sud de Madagascar depuis 2003.
L’équipe de l’ONG Bel Avenir est composée d’environ 150 salariés malgaches qui travaillent au quotidien ainsi qu’une dizaine de volontaires internationaux permanents.
Ce programme de développement durable s’articule principalement autour de trois axes :
- Un volet Educatif
- Un volet Développement Communautaire
- Un volet Sanitaire
- Un volet Environnemental.

En savoir plus >> site internet de Bel Avenir

Mathilde : Nous avons ensuite découvert l'ONG "Bel Avenir" grâce à l'association "Sapeur Pompiers Solidarité Partage 95". En effet, depuis de nombreuses années, des pompiers d'Enghien, Argenteuil, Villiers-le-Bel partent dix jours à Madagascar pour apporter du matériel et former de nouvelles équipes de pompiers.  Ils ont ainsi noué de nombreux contacts et nous ont encouragées à nous rapprocher  de cette structure. Grand merci à eux !

Sonia : Nous avons donc choisi l'ONG "Le Bel Avenir" qui propose un programme de volontariat qui correspondait à ce que nous recherchions. Quand ils étaient jeunes, les responsables de l'association étaient dans le même cas, ils ne parvenaient pas à trouver de mission en raison de leur âge.
Pour nous, c'est une première approche du milieu humanitaire, en étant quand même encadrées. Nous ne partons pas non plus à l'aventure, au bout du monde, l'ONG nous aide pour les démarches, pour l'arrivée à Madagascar. Ce sont principalement des jeunes espagnols, suisses et français qui viennent aider l'association.

Savez-vous ce que vous allez faire précisément à Madagascar ?
Mathilde : Nous interviendrons sur plusieurs pôles : prévention hygiène, soutien scolaire, animations  auprès d'enfants qui sont rassemblés la journée dans des instituts,  Le soir, ces derniers retrouvent leur famille.
Quand on arrivera sur place, on nous montrera les différents pôles, et ensuite, selon nos compétences et envies, on sera dispatché sur les différents pôles.

D'où vient cette envie de partir au bout du monde pour "aider" ?

(Elles réfléchissent… et Mathilde se lance)
Mathilde : Je dirais que cela vient de nos familles. Nous baignons dedans ! Mes deux parents travaillent dans le secteur social, dans des associations. Nous avons été élevées  dans des valeurs de solidarité. Cela ne les a pas étonnés quand on leur a annoncé notre projet !

CARTE DE MADAGASCARSonia : C'est vrai que nous avons souvent aidé différentes associations en donnant ponctuellement des coups de main.

Mathilde : Mais il ne faut pas se mentir, c'est compliqué : nôtre âge, nos compétences sans parler des aspects financiers. En effet, les billets pour Madagascar sont très chers. 
On s'y est mis dès septembre pour préparer cette mission, réaliser les dossiers de bourse, obtenir des rendez-vous Cela prend du temps quand on est étudiantes. Certaines institutions comme nos villes respectives Bouffémont et Montmorency, ou le Rotary Club d'Enghien-Montmorency nous ont encouragées, d'autres financeurs ont été plus critiques et cela démoralise un peu. Mais nous nous sommes accrochées à notre objectif !

Enfin, parlons finances ! Avez-vous bouclé votre budget et comment peut-on vous aider ?
Sonia : Nous avons le soutien des villes de Bouffémont et Montmorency et du Rotary Club d'Enghien-Montmorency. Nous recherchons d'autres soutiens financiers; pour boucler notre budget de 4200 euros (2100 euros chacune) qui comprend le vol, l'hébergement, les vaccins, etc.

Mathilde : Si des personnes peuvent nous aider (même de manière modeste), nous en serions très heureuses.
Pendant notre mission, nous alimenterons notre blog et nous envisageons une exposition à notre retour pour faire partager ce que nous aurons vécu.
Enfin, si nous pouvons aider d'autres jeunes qui seraient intéressés par une mission solidaire, nous serons ravies de pouvoir les conseillerr.

L'appel est lancé et le Journal de François s'associe à leur démarche.  Je relaierai fréquemment les actions solidaires de nos deux généreuses aventurières.

Pour soutenir Mathilde et Sonia, n'hésitez pas à les contacter par mail !
Contact >> mail de Mathilde et Sonia - blog internet "De Paris à madagascar"

Et grand merci à Sonia et Mathilde  pour leur gentillesse et leur disponibilité.

SINIA CHENGEL et MATHILDE LIGNEAUElles ont 18 et 19 ans et veulent être utiles. L'une passe en ce mois de juin son bac ES, l'autre termine sa première année d'études Info-Com. Ensuite, elles décollent cet été direction Madagascar pour une mission au sein de l'ONG "Bel Avenir". Partons donc vite à la rencontre de Mathilde Ligneau et Sonia Chenguel, ces deux amies de Montmorency et Bouffémont : elles nous expliquent leur démarche solidaire et lancent un appel pour les soutenir!

 

Mathilde et Sonia, quel fut le déclic pour votre projet à Madagascar ?
Mathilde : L'année dernière, au Point Information Jeunesse de Montmorency, nous nous sommes renseignées  sur les missions solidaires à l'étranger. Ce qui nous était proposé nous intéressait mais ne correspondait pas totalement à ce qu'on recherchait. On ne voulait pas faire des vacances solidaires. On souhaite "plonger dedans" ! On ne va pas là-bas pour regarder mais pour aider.

Comment avez-vous choisi finalement l'ONG Bel Avenir ?
Sonia : On souhaitait s'insérer dans une ONG car c'est prendre part à un vrai projet qu idure dans le temps. L'ONG continue son travail quand nous serons reparties. On voulait partir avec des gens qui sont en contact avec les habitants.
Nous nous sommes donc intéressées aux ONG reconnues comme "Médecins Sans Frontières" mais nous étions bien conscientes de ce que l'on pouvait apporter : du dynamisme, de l'envie mais pas de compétences médicales. De plus, notre jeune âge (18 et 19 ans) posait problème.

ONG BEL AVENIRZoom sur l'ONG Bel Avenir

L'association réalise du développement durable dans le sud de Madagascar depuis 2003.
L’équipe de l’ONG Bel Avenir est composée d’environ 150 salariés malgaches qui travaillent au quotidien ainsi qu’une dizaine de volontaires internationaux permanents.
Ce programme de développement durable s’articule principalement autour de trois axes :
- Un volet Educatif
- Un volet Développement Communautaire
- Un volet Sanitaire
- Un volet Environnemental.

En savoir plus >> site internet de Bel Avenir

Mathilde : Nous avons ensuite découvert l'ONG "Bel Avenir" grâce à l'association "Sapeur Pompiers Solidarité Partage 95". En effet, depuis de nombreuses années, des pompiers d'Enghien, Argenteuil, Villiers-le-Bel partent dix jours à Madagascar pour apporter du matériel et former de nouvelles équipes de pompiers.  Ils ont ainsi noué de nombreux contacts et nous ont encouragées à nous rapprocher  de cette structure. Grand merci à eux !

Sonia : Nous avons donc choisi l'ONG "Le Bel Avenir" qui propose un programme de volontariat qui correspondait à ce que nous recherchions. Quand ils étaient jeunes, les responsables de l'association étaient dans le même cas, ils ne parvenaient pas à trouver de mission en raison de leur âge.
Pour nous, c'est une première approche du milieu humanitaire, en étant quand même encadrées. Nous ne partons pas non plus à l'aventure, au bout du monde, l'ONG nous aide pour les démarches, pour l'arrivée à Madagascar. Ce sont principalement des jeunes espagnols, suisses et français qui viennent aider l'association.

Savez-vous ce que vous allez faire précisément à Madagascar ?
Mathilde : Nous interviendrons sur plusieurs pôles : prévention hygiène, soutien scolaire, animations  auprès d'enfants qui sont rassemblés la journée dans des instituts,  Le soir, ces derniers retrouvent leur famille.
Quand on arrivera sur place, on nous montrera les différents pôles, et ensuite, selon nos compétences et envies, on sera dispatché sur les différents pôles.

D'où vient cette envie de partir au bout du monde pour "aider" ?

(Elles réfléchissent… et Mathilde se lance)
Mathilde : Je dirais que cela vient de nos familles. Nous baignons dedans ! Mes deux parents travaillent dans le secteur social, dans des associations. Nous avons été élevées  dans des valeurs de solidarité. Cela ne les a pas étonnés quand on leur a annoncé notre projet !

CARTE DE MADAGASCARSonia : C'est vrai que nous avons souvent aidé différentes associations en donnant ponctuellement des coups de main.

Mathilde : Mais il ne faut pas se mentir, c'est compliqué : nôtre âge, nos compétences sans parler des aspects financiers. En effet, les billets pour Madagascar sont très chers. 
On s'y est mis dès septembre pour préparer cette mission, réaliser les dossiers de bourse, obtenir des rendez-vous Cela prend du temps quand on est étudiantes. Certaines institutions comme nos villes respectives Bouffémont et Montmorency, ou le Rotary Club d'Enghien-Montmorency nous ont encouragées, d'autres financeurs ont été plus critiques et cela démoralise un peu. Mais nous nous sommes accrochées à notre objectif !

Enfin, parlons finances ! Avez-vous bouclé votre budget et comment peut-on vous aider ?
Sonia : Nous avons le soutien des villes de Bouffémont et Montmorency et du Rotary Club d'Enghien-Montmorency. Nous recherchons d'autres soutiens financiers; pour boucler notre budget de 4200 euros (2100 euros chacune) qui comprend le vol, l'hébergement, les vaccins, etc.

Mathilde : Si des personnes peuvent nous aider (même de manière modeste), nous en serions très heureuses.
Pendant notre mission, nous alimenterons notre blog et nous envisageons une exposition à notre retour pour faire partager ce que nous aurons vécu.
Enfin, si nous pouvons aider d'autres jeunes qui seraient intéressés par une mission solidaire, nous serons ravies de pouvoir les conseillerr.

L'appel est lancé et le Journal de François s'associe à leur démarche.  Je relaierai fréquemment les actions solidaires de nos deux généreuses aventurières.

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