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Rencontre avec Caroline Trottin : « Mon souhait, c'est de monter en ligue 2 avec Franconville ! »

Publié le : 10-11-2014

caroline trottinDepuis maintenant plus d'un an, Caroline Trottin a rejoint l'équipe de basket de Franconville. Les supporters ont rapidement adopté cette joueuse qui ne lâche rien sur le terrain et qui transmet à ses coéquipières sa rage de vaincre. J'ai eu envie de rencontrer cette battante qui aime la communication tout en restant… discrète.

Caroline, en préparant cette rencontre, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas de grande interview de ta part dans la presse malgré les éloges à ton encontre parsemés dans les résumés de matchs.
C'est vrai que je n'aime être mis sur le devant de la scène mais je n'ai jamais refusé d'interview.  Les articles publiés portaient sur ma famille qui vit "basket" : mon père a joué, entrainé et est très investi dans son club l'ALPCM  Nantes. Quant à ma mère, elle a joué en première division et même mon frère a pratiqué le basket avant de choisir une autre orientation professionnelle.
Mais pour revenir à ta remarque, c'est vrai que, même si je ne suis pas timide, je n'aime pas trop parler de moi.

Cela tombe mal car j'ai bien l'intention de te faire parler de ton parcours ! Tu es née à Bouguenais dans la banlieue nantaise. As-tu joué au basket dès que possible ?
Exactement. Compte tenu du contexte familial, cela m'a paru normal de faire du basket ! Jai joué à l'ALPCM Nantes jusqu'au moment où j'ai intégré le pôle espoir de Nantes, l'équivalent de celui qui se trouve à Eaubonne. Je suis donc parti très tôt de chez moi ce qui ne m'a pas posé de problème car CAROLINE TROTTINj'aime bien la vie de groupe. Et chaque week-end, je retrouvais mon club et la famille.
Après ces deux ans, je n'ai pas réussi à intégrer un centre de formation et je suis donc restée à l'ALPCM où j'ai découvert à 15 ans la Nationale 2 (équivalent de la NF1 actuelle) ! La saison a été galère mais j'ai beaucoup appris ! On n'a pas gagné beaucoup de match mais, après celui victorieux contre Mondeville, centre de formation d'un club pro, j'ai été contacté par leur coach pour venir faire des essais car je l'intéressais pour son .projet. D'habitude, on arrive en 1ère année de cadettes dans le centre de formation mais, pour ma part, je suis arrivée en 2e année cadettes ! C'est d'ailleurs là que j'ai rencontré Stéphanie (Dufour) !
Dans le centre de formation, on étudie dans un lycée normal, on finit un peu plus tôt les cours pour pouvoir s'entrainer avec l'équipe professionnelle ou avec notre équipe. C'était donc le niveau Nationale 2 et le niveau Cadettes. Parfois, on jouait deux matchs dans le week-end mais, quand on jouait en pro, on faisait souvent le banc.

Fans de Caroline TrottinC'est avec Mondeville que tu allée à Bercy !
C'est vrai que c'est un merveilleux souvenir basket, mon plus beau jusqu'à maintenant
C'était la finale de la coupe de France cadettes. Je me rappelle, mes copines de Nantes étaient venues me soutenir ! C'était sympa. (voir photo). Bercy c'est ma maison ! (elle rit !)

Après Mondeville, tu as passé 3 ans au Cercle Saint-Paul de Rezé avant de partir… aux Etats-Unis ?
Oui, je suis retournée en région nantaise où j'ai commencé mes études de communication.  De belles années basket où j'ai connu une montée en NF1 puis j'ai une nouvelle fois joué à Bercy pour la finale du trophée Coupe de France. Mais, cette fois, il y avait en face Laveyron, l'équipe d'une certaine Madou ! (Madou Mbengue était blessée pour cette finale)

Tu es partie ensuite aux Etats-Unis ? Pourquoi ce choix ?
J'ai obtenu mon Master 1 en communication et je devais améliorer mon niveau d'anglais car, de plus en plus souvent, les offres de stage mentionnent un niveau bilingue requis. Mon université me proposait une année de césure, c'est-à-dire que je ne validais pas de diplôme mais je bénéficiais d'un cadre universitaire pendant 4 mois et je devais trouver un stage pendant 4 autres mois; Alors, je me suis dit : pourquoi pas es Etats-Unis ? Et cela a marché !  Je suis partie dans le Nord de la Floride à Jacksonville, dans une université partenaire à la mienne. Puis par contact, j'ai eu la chance de faire CAROLINE TROTTIN @ Romain Chaibun stage dans le Sud de la Floride, à Fort Lauderdale, à côté de Miami dans une entreprise de développement produit. Maintenant, pour l'anglais c'est bon, je ne suis pas bilingue mais j'ai un niveau courant.

Et tu as donc mis le basket de côté pendant un an ?
Tu penses bien que j'ai tout fait pour jouer dans un club universitaire mais le milieu là-bas est assez fermé. Il y a énormément de démarches à effectuer, ne serait-ce pour s'entrainer et, comme il n'y pas de sécurité sociale, j'ai du passé de nombreux tests, de multiples visites médicales mais ils ont toujours trouvé quelque chose. Bref j'ai insisté mais en vain ! J'ai du mettre ce petit rêve de côté. Mais je jouais tout de même toutes les semaines sur les playgrounds. Je n'ai pas décroché mais pas de compétition ! Cela m'a énormément  manqué ! En effet, de puis que j'ai 6 ans, le samedi c'est basket ! Mais restons positifs, cela m'a permis de voir autre chose. Les Etats-Unis, cela reste une expérience inoubliable.

Et maintenant tu vas nous dire que tu as pris un vol direct Miami – Franconville !
Pas exactement mais presque ! Alors que j'étais encore en Floride, ma meilleure amie Steph m'a parlé du projet de Franconville, de la volonté du club de monter en ligue 2, son père Stéphane était président du club.
De mon côté, j'avais aussi un master 2 à terminer et je pensais déjà à ma future recherche d'emploi. Pour débuter dans la communication, tout le monde m'a dit : «  il faut passer par Paris. ». Alors pourquoi ne pas anticiper ma dernière année d'études en venant dans la région parisienne ? Bref, le choix de Franconville me permettait de combiner mes deux objectifs : professionnel et sportif.
Finalement, je suis très contente de mon année en alternance chez Air France pour la validation de mon Master, ce fut une super expérience. Malheureusement, côté basket, les objectifs n'ont caroline trottinpas été atteints et je ne peux pas l'oublier : on a visé la montée et  on a échoué. C'est un échec mais je ne regrette pas pour autant la saison. Il y a une super ambiance et j'ai une bonne qualité de vie à Franconville. J'habite à 5mn de la salle avec mes amies et coéquipières Elodie et Stéphanie et ici j'ai rencontré plein de gens très agréables. On n'est pas si loin de Paris même si je ne suis pas là pour la capitale. Bref j'aime le Val d'Oise que je ne visite guère par manque de temps.

Dans l'équipe de Franconville, tu joues à l'aile. As-tu toujours joué à ce poste ? et quels sont tes points forts ?

Non, au départ, j'étais meneuse car j'ai grandi tardivement. C'est ensuite, en arrivant en cadettes à Mondeville, que le coach m'a  décalée à l'aile et, je m'y sens bien.
Quant à mes points forts, c'est difficile à exprimer. Je dirais : la défense, le jeu de percussion. Et je suis une battante sur le terrain, je ne lâche jamais.

Dans la vie de tous les jours, as-tu des contraintes particulières en tant que sportive de haut niveau ?

Non pas vraiment. Mais c'est vrai qu'il faut une bonne hygiène de vie. Par exemple, le veille de match, je me couche plus tôt et le samedi est conditionné par le match. Je suis toujours un même rituel avec le repas de pâtes, la sieste, etc.  jusqu'à l'arrivée à la salle vers 18h30. Ensuite c'est focus sur le match !
Quand nous jouons à l'extérieur, les déplacements en minibus sont longs mais j'y suis habituée. Ce sont ces moments-là qui soudent une équipe. Dans la nôtre, l'ambiance est formidable car on s'entend tous très bien.
Mais je t'avoue que je préfère jouer à domicile. Ici, on a un noyau dur qui nous suit. C'est très agréable, on se sent toutes portées par le public. Il y a une petite force supplémentaire en nous.

Passage obligé de l'interview : peux-tu nous dire un mot sur ton coach ? Attention il va sûrement lire l'interview !
Pa de problème ! Avec David, cela se passe bien. Il met en place des choses et on essaie de les appliquer. Quand cela ne se passe pas bien, il n'est pas content et le fait savoir ! C'est le rôle de l'entraineur.

CAROLINE TROTTINEt toi, tu pourrais un jour entrainer une équipe ?
Oui ! Aujourd'hui ce n'est pas ma priorité mais je sais qu'un jour j'y viendrai. Il faut d'abord que je prenne plus de recul en tant que joueuse, que je m'éclate sur le terrain. Mais plus tard cela me plairait d'entrainer.

Pour finir, quel est ton rêve en tant que joueuse ?
C'est simple. Je souhaite monter en ligue 2 avec cette équipe de Franconville ! Les montées et les titres c'est ce qu'il y a de mieux. J'ai eu la chance de connaître déjà des montée avec Rezé et Mondeville  et c'est vraiment très fort.
Cette année, nous n'avons pas fait le meilleur départ mais le championnat est long. J'y crois, je suis une éternelle optimiste et je compte sur tous les lecteurs du Journal pour venir nous supporter !

Merci Caroline pour ta gentillesse et ton regard positif sur la vie !

caroline trottinDepuis maintenant plus d'un an, Caroline Trottin a rejoint l'équipe de basket de Franconville. Les supporters ont rapidement adopté cette joueuse qui ne lâche rien sur le terrain et qui transmet à ses coéquipières sa rage de vaincre. J'ai eu envie de rencontrer cette battante qui aime la communication tout en restant… discrète.

Caroline, en préparant cette rencontre, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas de grande interview de ta part dans la presse malgré les éloges à ton encontre parsemés dans les résumés de matchs.
C'est vrai que je n'aime être mis sur le devant de la scène mais je n'ai jamais refusé d'interview.  Les articles publiés portaient sur ma famille qui vit "basket" : mon père a joué, entrainé et est très investi dans son club l'ALPCM  Nantes. Quant à ma mère, elle a joué en première division et même mon frère a pratiqué le basket avant de choisir une autre orientation professionnelle.
Mais pour revenir à ta remarque, c'est vrai que, même si je ne suis pas timide, je n'aime pas trop parler de moi.

Cela tombe mal car j'ai bien l'intention de te faire parler de ton parcours ! Tu es née à Bouguenais dans la banlieue nantaise. As-tu joué au basket dès que possible ?
Exactement. Compte tenu du contexte familial, cela m'a paru normal de faire du basket ! Jai joué à l'ALPCM Nantes jusqu'au moment où j'ai intégré le pôle espoir de Nantes, l'équivalent de celui qui se trouve à Eaubonne. Je suis donc parti très tôt de chez moi ce qui ne m'a pas posé de problème car CAROLINE TROTTINj'aime bien la vie de groupe. Et chaque week-end, je retrouvais mon club et la famille.
Après ces deux ans, je n'ai pas réussi à intégrer un centre de formation et je suis donc restée à l'ALPCM où j'ai découvert à 15 ans la Nationale 2 (équivalent de la NF1 actuelle) ! La saison a été galère mais j'ai beaucoup appris ! On n'a pas gagné beaucoup de match mais, après celui victorieux contre Mondeville, centre de formation d'un club pro, j'ai été contacté par leur coach pour venir faire des essais car je l'intéressais pour son .projet. D'habitude, on arrive en 1ère année de cadettes dans le centre de formation mais, pour ma part, je suis arrivée en 2e année cadettes ! C'est d'ailleurs là que j'ai rencontré Stéphanie (Dufour) !
Dans le centre de formation, on étudie dans un lycée normal, on finit un peu plus tôt les cours pour pouvoir s'entrainer avec l'équipe professionnelle ou avec notre équipe. C'était donc le niveau Nationale 2 et le niveau Cadettes. Parfois, on jouait deux matchs dans le week-end mais, quand on jouait en pro, on faisait souvent le banc.

Fans de Caroline TrottinC'est avec Mondeville que tu allée à Bercy !
C'est vrai que c'est un merveilleux souvenir basket, mon plus beau jusqu'à maintenant
C'était la finale de la coupe de France cadettes. Je me rappelle, mes copines de Nantes étaient venues me soutenir ! C'était sympa. (voir photo). Bercy c'est ma maison ! (elle rit !)

Après Mondeville, tu as passé 3 ans au Cercle Saint-Paul de Rezé avant de partir… aux Etats-Unis ?
Oui, je suis retournée en région nantaise où j'ai commencé mes études de communication.  De belles années basket où j'ai connu une montée en NF1 puis j'ai une nouvelle fois joué à Bercy pour la finale du trophée Coupe de France. Mais, cette fois, il y avait en face Laveyron, l'équipe d'une certaine Madou ! (Madou Mbengue était blessée pour cette finale)

Tu es partie ensuite aux Etats-Unis ? Pourquoi ce choix ?
J'ai obtenu mon Master 1 en communication et je devais améliorer mon niveau d'anglais car, de plus en plus souvent, les offres de stage mentionnent un niveau bilingue requis. Mon université me proposait une année de césure, c'est-à-dire que je ne validais pas de diplôme mais je bénéficiais d'un cadre universitaire pendant 4 mois et je devais trouver un stage pendant 4 autres mois; Alors, je me suis dit : pourquoi pas es Etats-Unis ? Et cela a marché !  Je suis partie dans le Nord de la Floride à Jacksonville, dans une université partenaire à la mienne. Puis par contact, j'ai eu la chance de faire CAROLINE TROTTIN @ Romain Chaibun stage dans le Sud de la Floride, à Fort Lauderdale, à côté de Miami dans une entreprise de développement produit. Maintenant, pour l'anglais c'est bon, je ne suis pas bilingue mais j'ai un niveau courant.

Et tu as donc mis le basket de côté pendant un an ?
Tu penses bien que j'ai tout fait pour jouer dans un club universitaire mais le milieu là-bas est assez fermé. Il y a énormément de démarches à effectuer, ne serait-ce pour s'entrainer et, comme il n'y pas de sécurité sociale, j'ai du passé de nombreux tests, de multiples visites médicales mais ils ont toujours trouvé quelque chose. Bref j'ai insisté mais en vain ! J'ai du mettre ce petit rêve de côté. Mais je jouais tout de même toutes les semaines sur les playgrounds. Je n'ai pas décroché mais pas de compétition ! Cela m'a énormément  manqué ! En effet, de puis que j'ai 6 ans, le samedi c'est basket ! Mais restons positifs, cela m'a permis de voir autre chose. Les Etats-Unis, cela reste une expérience inoubliable.

Et maintenant tu vas nous dire que tu as pris un vol direct Miami – Franconville !
Pas exactement mais presque ! Alors que j'étais encore en Floride, ma meilleure amie Steph m'a parlé du projet de Franconville, de la volonté du club de monter en ligue 2, son père Stéphane était président du club.
De mon côté, j'avais aussi un master 2 à terminer et je pensais déjà à ma future recherche d'emploi. Pour débuter dans la communication, tout le monde m'a dit : «  il faut passer par Paris. ». Alors pourquoi ne pas anticiper ma dernière année d'études en venant dans la région parisienne ? Bref, le choix de Franconville me permettait de combiner mes deux objectifs : professionnel et sportif.
Finalement, je suis très contente de mon année en alternance chez Air France pour la validation de mon Master, ce fut une super expérience. Malheureusement, côté basket, les objectifs n'ont caroline trottinpas été atteints et je ne peux pas l'oublier : on a visé la montée et  on a échoué. C'est un échec mais je ne regrette pas pour autant la saison. Il y a une super ambiance et j'ai une bonne qualité de vie à Franconville. J'habite à 5mn de la salle avec mes amies et coéquipières Elodie et Stéphanie et ici j'ai rencontré plein de gens très agréables. On n'est pas si loin de Paris même si je ne suis pas là pour la capitale. Bref j'aime le Val d'Oise que je ne visite guère par manque de temps.

Dans l'équipe de Franconville, tu joues à l'aile. As-tu toujours joué à ce poste ? et quels sont tes points forts ?

Non, au départ, j'étais meneuse car j'ai grandi tardivement. C'est ensuite, en arrivant en cadettes à Mondeville, que le coach m'a  décalée à l'aile et, je m'y sens bien.
Quant à mes points forts, c'est difficile à exprimer. Je dirais : la défense, le jeu de percussion. Et je suis une battante sur le terrain, je ne lâche jamais.

Dans la vie de tous les jours, as-tu des contraintes particulières en tant que sportive de haut niveau ?

Non pas vraiment. Mais c'est vrai qu'il faut une bonne hygiène de vie. Par exemple, le veille de match, je me couche plus tôt et le samedi est conditionné par le match. Je suis toujours un même rituel avec le repas de pâtes, la sieste, etc.  jusqu'à l'arrivée à la salle vers 18h30. Ensuite c'est focus sur le match !
Quand nous jouons à l'extérieur, les déplacements en minibus sont longs mais j'y suis habituée. Ce sont ces moments-là qui soudent une équipe. Dans la nôtre, l'ambiance est formidable car on s'entend tous très bien.
Mais je t'avoue que je préfère jouer à domicile. Ici, on a un noyau dur qui nous suit. C'est très agréable, on se sent toutes portées par le public. Il y a une petite force supplémentaire en nous.

Passage obligé de l'interview : peux-tu nous dire un mot sur ton coach ? Attention il va sûrement lire l'interview !
Pa de problème ! Avec David, cela se passe bien. Il met en place des choses et on essaie de les appliquer. Quand cela ne se passe pas bien, il n'est pas content et le fait savoir ! C'est le rôle de l'entraineur.

CAROLINE TROTTINEt toi, tu pourrais un jour entrainer une équipe ?
Oui ! Aujourd'hui ce n'est pas ma priorité mais je sais qu'un jour j'y viendrai. Il faut d'abord que je prenne plus de recul en tant que joueuse, que je m'éclate sur le terrain. Mais plus tard cela me plairait d'entrainer.

Pour finir, quel est ton rêve en tant que joueuse ?
C'est simple. Je souhaite monter en ligue 2 avec cette équipe de Franconville ! Les montées et les titres c'est ce qu'il y a de mieux. J'ai eu la chance de connaître déjà des montée avec Rezé et Mondeville  et c'est vraiment très fort.
Cette année, nous n'avons pas fait le meilleur départ mais le championnat est long. J'y crois, je suis une éternelle optimiste et je compte sur tous les lecteurs du Journal pour venir nous supporter !

Merci Caroline pour ta gentillesse et ton regard positif sur la vie !

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