Un nouveau roman de Pierre Luneval, c'est toujours un événement pour tous les amoureux de littérature, de polar… et plus principalement pour les habitants de la Vallée de Montmorency où l'auteur réside et enseigne.
Après "La vénule" et "Mademoiselle rêve", il nous revient avec "Des canons et des roses", un roman noir qui nous raconte une histoire simple, sans fioritures.
Le célèbre écrivain Ian Manook, qui signe la préface du livre, a qualifié ce livre de « roman de province sur la culpabilité, la vengeance, le pardon, l'erreur, la rédemption » : cela nous invite assurément à sa lecture.
Dès les premières pages, le lecteur se retrouve plongé dans un huis clos où la tension monte progressivement entre les personnages. Les afficionados de Pierre Luneval seront heureux de retrouver le lieutenant Rachel Ackerman et le capitaine Esteban Diaz, duo gagnant de 'Prophéties meurtrières en Vexin", un des premiers livres de l'auteur. Face à Rachel se dressera Léo Cordel, un "ours" que notre enquêtrice devra apprivoiser pour résoudre son enquête… ou plutôt ses enquêtes devrais-je écrire ! Sans dévoiler l'intrigue, nous pouvons dire que Pierre Luneval l'a basée sur des faits anciens qui remontent petit à petit à la surface. L'auteur joue sur deux temporalités que le lecteur appréhende facilement et ainsi ce roman devient addictif.
Coté style, notre romancier est resté sobre : à l'instar des metteurs en scène des années trente comme Jean Renoir qui aimaient que l'on ne remarque pas leur mise en scène, Pierre Luneval a épuré son écriture afin que l'histoire racontée soit forte et que le lecteur s'attache rapidement aux personnages.
Mais n'ayez crainte, nous retrouvons aussi dans "Des canons et des roses" toute la science de la narration de Pierre Luneval qui sait distiller indices et rebondissements tout au long de l'intrigue.
Enfin, vous le savez peut-être, Pierre Luneval est aussi musicien. Et, dans ce roman, il a distillé des clins d'œil envers Chopin. Le compositeur Robert Schuman disait même : « Les œuvres de Frédéric Chopin sont des canons enfouis sous des fleurs » Cela ne vous fait pas penser à un titre de livre ? Bonne lecture !
Un nouveau roman de Pierre Luneval, c'est toujours un événement pour tous les amoureux de littérature, de polar… et plus principalement pour les habitants de la Vallée de Montmorency où l'auteur réside et enseigne.
Après "La vénule" et "Mademoiselle rêve", il nous revient avec "Des canons et des roses", un roman noir qui nous raconte une histoire simple, sans fioritures.
Le célèbre écrivain Ian Manook, qui signe la préface du livre, a qualifié ce livre de « roman de province sur la culpabilité, la vengeance, le pardon, l'erreur, la rédemption » : cela nous invite assurément à sa lecture.
Dès les premières pages, le lecteur se retrouve plongé dans un huis clos où la tension monte progressivement entre les personnages. Les afficionados de Pierre Luneval seront heureux de retrouver le lieutenant Rachel Ackerman et le capitaine Esteban Diaz, duo gagnant de 'Prophéties meurtrières en Vexin", un des premiers livres de l'auteur. Face à Rachel se dressera Léo Cordel, un "ours" que notre enquêtrice devra apprivoiser pour résoudre son enquête… ou plutôt ses enquêtes devrais-je écrire ! Sans dévoiler l'intrigue, nous pouvons dire que Pierre Luneval l'a basée sur des faits anciens qui remontent petit à petit à la surface. L'auteur joue sur deux temporalités que le lecteur appréhende facilement et ainsi ce roman devient addictif.
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