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Mercredi cinéma : "American pastoral" de et avec Ewan McGregor et avec Jennifer Connely, Dakota Fanning.

Publié le : 28-12-2016

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien (ugc) - Enghien (centre des arts),  Franconville - Montmorency - Taverny et les séances à Ermont (mardi-mercredi) et à Eaubonne (mercredi) 
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône.
Le cinéma "Les Toiles" de Saint-Gratien : réouverture le 11 janvier 2017)

 

AMERICAN PASTORAL de Ewan McGregorSortie de la semaine : "American pastoral" de et avec Ewan McGregor

L'histoire adaptée du roman de Philip Roth, couronné par le prix Pulitzer.
L’Amérique des années 60. Autrefois champion de sport de son lycée, Seymour Levov, dit « le Suédois », est devenu un riche homme d’affaires marié à Dawn, ancienne reine de beauté. Mais les bouleversements sociopolitiques de l’époque font bientôt irruption dans la vie bourgeoise, en apparence idyllique, de Seymour. Lorsque sa fille adorée, Merry, disparaît après avoir été accusée d’acte terroriste, il part à sa recherche pour que sa famille soit de nouveau unie.
Profondément ébranlé par ce qu’il découvre, il doit affronter le chaos qui secoue la société américaine et jette les bases d’un nouveau monde.
La vie de famille ne sera plus jamais la même…
Un film de et avec Ewan McGregor et avec Jennifer Connely, Dakota Fanning, David Strathairn…

>> Bande annonce du film

 

Bonus : Ewan McGregor, de l'acteur au metteur en scène

DAMERICAN PASTORAL de Ewan McGregoreux fois cité au Golden Globe, Ewan McGregor, à l’affiche de "Trainspotting", "Velvet Goldmine", "Moulin rouge", "Ghost writer" ou "Des saumons dans le désert", avait été engagé pour camper le rôle principal d’"American pastoral" bien avant d’envisager d’en signer la mise en scène.
Finalement, c’est sa passion pour le scénario qui l’a encouragé à sauter le pas et à réaliser ici son premier long métrage. « J’ai été très ému par le script et totalement emballé par le personnage du Suédois et par l’étude de ses rapports avec sa fille, déclare-t-il. Il croit vraiment pouvoir mener une existence d’honnête homme. Il est un pur produit de l’Amérique de l’après-guerre et il campe à merveille l’idée que le Rêve américain était autrefois accessible. D’une certaine façon, le Suédois incarne le Rêve américain tandis que sa fille Merry incarne les idéaux des années 60. »
McGregor était conscient qu’il s’agissait d’une occasion unique : « Cela faisait très longtemps que je voulais passer à la réalisation, mais je ne souhaitais pas le faire sans projet précis, affirme-t-il. Il fallait que je ressente une véritable urgence à raconter une histoire. »

Notes de production sur le film

AMERICAN PASTORAL de Ewan McGregorDans l’Amérique de l’après-guerre, débordant d’optimisme et d’innocence, le champion de sport du lycée, Seymour Levov, dit « le Suédois », épouse la charmante Miss New Jersey et hérite de la florissante fabrique de gants de son père : qu’il s’agisse de sa vie professionnelle ou familiale, Seymour nage en plein bonheur, entre sa femme, sa fille adorée Merry et leur magnifique propriété du quartier très chic d’Old Rimrock, dans le New Jersey. En apparence, le « Suédois » est un pilier de sa communauté et un exemple pour sa génération, admiré pour ses qualités d’homme d’affaires indépendant, de patron philanthrope et de père de famille dévoué. Autant dire qu’il a profondément foi dans toutes les promesses du Rêve américain.
Dans le contexte troublé des années 60 nourri par la guerre du Vietnam, Merry, jeune fille de 16 ans indignée, se radicalise de plus en plus. Un jour, elle est soupçonnée d’avoir fomenté un acte terroriste d’une extrême violence dans la petite ville paradisiaque de Levov, bouleversant son père et remettant en question sa vision du monde.
Résolu à affronter la vérité en face et à comprendre ce qui est arrivé à ses proches, le Suédois s’engage dans un périple non seulement pour retrouver la trace de Merry – désormais fugitive en cavale – mais aussi pour ressouder les liens de sa famille et apaiser ses souffrances.
"American pastoral" s’inspire du roman éponyme de Philip Roth qui retrace les changements profonds ayant marqué l’Amérique depuis un demi-siècle. Le film s’attache surtout à la recherche du Suédois pour sa fille et aux thématiques majeures que sont l’incertitude, les destins contrariés, la famille et la perte d’un être cher. Au total, il aura fallu près de treize ans pour porter le livre à l’écran.
LAMERICAN PASTORAL de Ewan McGregore producteur Gary Lucchesi, de Lakeshore Entertainment, évoque ce qui l’a poussé à ne jamais renoncer : « J’ai toujours voulu produire une histoire autour des rapports entre un père et sa fille. J’ai lu le scénario, j’ai pleuré et j’ai compris qu’il fallait que je fasse aboutir ce projet d’une manière ou d’une autre. C’était l’histoire d’un homme qui aime sa fille de manière inconditionnelle, envers et contre tout. J’aime les drames humains auxquels on peut s’identifier et les récits qu’on peut imaginer dans sa tête. C’est vraiment ce qui me passionne dans mon métier. De temps en temps, on a la chance de tomber sur un projet qui vous fait rêver, et on met tout en œuvre pour qu’il voie le jour. »
Le producteur Tom Rosenberg a été tout aussi ému par cette chronique d’une famille américaine – en apparence – parfaite, dont le père est un homme intègre, mais dont les valeurs sont en train de vaciller dangereusement. « Le Suédois passe toute sa vie à tenter de récupérer Merry et il n’abandonne jamais, dit-il. Rien ne semble pouvoir l’arrêter. »
La production elle-même a dû faire preuve de ténacité : « Ce film a été très difficile à monter, mais il en valait la peine », ajoute-t-il.
(extrait dossier de presse)

Programme de la semaine des cinémas de la Vallée de Montmorency :
Enghien (ugc) - Enghien (centre des arts),  Franconville - Montmorency - Taverny et les séances à Ermont (mardi-mercredi) et à Eaubonne (mercredi) 
Autres cinémas proches : Epinay-sur-Seine - Saint-Ouen l'Aumône.
Le cinéma "Les Toiles" de Saint-Gratien : réouverture le 11 janvier 2017)

 

AMERICAN PASTORAL de Ewan McGregorSortie de la semaine : "American pastoral" de et avec Ewan McGregor

L'histoire adaptée du roman de Philip Roth, couronné par le prix Pulitzer.
L’Amérique des années 60. Autrefois champion de sport de son lycée, Seymour Levov, dit « le Suédois », est devenu un riche homme d’affaires marié à Dawn, ancienne reine de beauté. Mais les bouleversements sociopolitiques de l’époque font bientôt irruption dans la vie bourgeoise, en apparence idyllique, de Seymour. Lorsque sa fille adorée, Merry, disparaît après avoir été accusée d’acte terroriste, il part à sa recherche pour que sa famille soit de nouveau unie.
Profondément ébranlé par ce qu’il découvre, il doit affronter le chaos qui secoue la société américaine et jette les bases d’un nouveau monde.
La vie de famille ne sera plus jamais la même…
Un film de et avec Ewan McGregor et avec Jennifer Connely, Dakota Fanning, David Strathairn…

>> Bande annonce du film

 

Bonus : Ewan McGregor, de l'acteur au metteur en scène

DAMERICAN PASTORAL de Ewan McGregoreux fois cité au Golden Globe, Ewan McGregor, à l’affiche de "Trainspotting", "Velvet Goldmine", "Moulin rouge", "Ghost writer" ou "Des saumons dans le désert", avait été engagé pour camper le rôle principal d’"American pastoral" bien avant d’envisager d’en signer la mise en scène.
Finalement, c’est sa passion pour le scénario qui l’a encouragé à sauter le pas et à réaliser ici son premier long métrage. « J’ai été très ému par le script et totalement emballé par le personnage du Suédois et par l’étude de ses rapports avec sa fille, déclare-t-il. Il croit vraiment pouvoir mener une existence d’honnête homme. Il est un pur produit de l’Amérique de l’après-guerre et il campe à merveille l’idée que le Rêve américain était autrefois accessible. D’une certaine façon, le Suédois incarne le Rêve américain tandis que sa fille Merry incarne les idéaux des années 60. »
McGregor était conscient qu’il s’agissait d’une occasion unique : « Cela faisait très longtemps que je voulais passer à la réalisation, mais je ne souhaitais pas le faire sans projet précis, affirme-t-il. Il fallait que je ressente une véritable urgence à raconter une histoire. »

Notes de production sur le film

AMERICAN PASTORAL de Ewan McGregorDans l’Amérique de l’après-guerre, débordant d’optimisme et d’innocence, le champion de sport du lycée, Seymour Levov, dit « le Suédois », épouse la charmante Miss New Jersey et hérite de la florissante fabrique de gants de son père : qu’il s’agisse de sa vie professionnelle ou familiale, Seymour nage en plein bonheur, entre sa femme, sa fille adorée Merry et leur magnifique propriété du quartier très chic d’Old Rimrock, dans le New Jersey. En apparence, le « Suédois » est un pilier de sa communauté et un exemple pour sa génération, admiré pour ses qualités d’homme d’affaires indépendant, de patron philanthrope et de père de famille dévoué. Autant dire qu’il a profondément foi dans toutes les promesses du Rêve américain.
Dans le contexte troublé des années 60 nourri par la guerre du Vietnam, Merry, jeune fille de 16 ans indignée, se radicalise de plus en plus. Un jour, elle est soupçonnée d’avoir fomenté un acte terroriste d’une extrême violence dans la petite ville paradisiaque de Levov, bouleversant son père et remettant en question sa vision du monde.
Résolu à affronter la vérité en face et à comprendre ce qui est arrivé à ses proches, le Suédois s’engage dans un périple non seulement pour retrouver la trace de Merry – désormais fugitive en cavale – mais aussi pour ressouder les liens de sa famille et apaiser ses souffrances.
"American pastoral" s’inspire du roman éponyme de Philip Roth qui retrace les changements profonds ayant marqué l’Amérique depuis un demi-siècle. Le film s’attache surtout à la recherche du Suédois pour sa fille et aux thématiques majeures que sont l’incertitude, les destins contrariés, la famille et la perte d’un être cher. Au total, il aura fallu près de treize ans pour porter le livre à l’écran.
LAMERICAN PASTORAL de Ewan McGregore producteur Gary Lucchesi, de Lakeshore Entertainment, évoque ce qui l’a poussé à ne jamais renoncer : « J’ai toujours voulu produire une histoire autour des rapports entre un père et sa fille. J’ai lu le scénario, j’ai pleuré et j’ai compris qu’il fallait que je fasse aboutir ce projet d’une manière ou d’une autre. C’était l’histoire d’un homme qui aime sa fille de manière inconditionnelle, envers et contre tout. J’aime les drames humains auxquels on peut s’identifier et les récits qu’on peut imaginer dans sa tête. C’est vraiment ce qui me passionne dans mon métier. De temps en temps, on a la chance de tomber sur un projet qui vous fait rêver, et on met tout en œuvre pour qu’il voie le jour. »
Le producteur Tom Rosenberg a été tout aussi ému par cette chronique d’une famille américaine – en apparence – parfaite, dont le père est un homme intègre, mais dont les valeurs sont en train de vaciller dangereusement. « Le Suédois passe toute sa vie à tenter de récupérer Merry et il n’abandonne jamais, dit-il. Rien ne semble pouvoir l’arrêter. »
La production elle-même a dû faire preuve de ténacité : « Ce film a été très difficile à monter, mais il en valait la peine », ajoute-t-il.
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