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Festival "La musique fait son cinéma" avec Jean-Claude Petit en invité d'honneur.

musique fait son cinéma : JEAN CLAUDE PETITAprès Antoine Duhamel, Georges Delerue, Francis Lai, Gabriel Yared et Bruno Coulais, c'est le célèbre compositeur Jean-Claude Petit qui est à l'honneur de ce festival "La musique fait son cinéma" ! Un événement à Soisy où de nombreuses animations sont programmées :

Mardi 2 juin 2015
19 h : Projection du documentaire d’Erik Dollinger : "Symphonie pour le hussard"
« J'ai cherché avec mon écriture musicale à rendre l'effet de l'écriture de Jean Giono » affirme Jean-Claude Petit en 1995, face aux images de son second film avec Jean-Paul Rappeneau, "Le Hussard sur le toit". Ce documentaire est une rencontre avec un compositeur d'exception mais, plus encore, il nous offre l'opportunité de suivre pas à pas, huit mois durant, la création d'une musique de film, de l'éclosion au bouquet final.
20h45 : Rencontre avec Jean-Claude Petit et ses invités
Stéphane Lerouge, spécialiste des musiques de film et concepteur de la collection discographique " Écoutez le cinéma !" chez Universal Jazz, animera une rencontre avec Jean-Claude Petit et ses invités : Claude Zidi et Alexandre Jardin. Jean-Claude Petit a en effet composé la musique du film "Deux", réalisé par Claude Zidi et il a mis en musique "Le Zèbre", adapté par Jean Poiret du roman d’Alexandre Jardin, puis a écrit la partition originale du "Prof", mis en scène par Alexandre Jardin.
Mardi 2 juin 2015 à partir de 19h – Orangerie du Val Ombreux derrière l’Eglise Saint-Germain de Soisy-sous-Montmorency - Gratuit mais réservation obligatoire au 01 34 05 20 47.


Vendredi 5 juin 2015
Concert exceptionnel de Jean-Claude Petit accompagné de l'orchestre Colonne.
Jean-Claude Petit ponctuera ce concert en abordant, au fil des musiques, les liens tissés avec les films pour lesquelles elles ont été composées.
Au programme : Cyrano de Bergerac (Jean-Paul Rappeneau), Le Hussard sur le toit (Jean-Paul Rappeneau), Jean de Florette (Claude Berri), Manon des sources (Claude Berri), Mayrig (Henri Verneuil), Deux (Claude Zidi), Beaumarchais l'insolent (Edouard Molinaro), Danse avec lui (Valerie Guignabodet), Le Zèbre (Jean Poiret), Désiré (Bernard Murat), Lady Chatterley (Ken Russell).
Vendredi 5 juin 2015 à 20h45 – Eglise Saint-Germain rue Carnot Soisy-sous-Montmorency – Gratuit mais réservation obligatoire au 01 34 05 20 47.

CYRANO DE BERGERACSamedi 6 juin 2015
Projection du film "Cyrano de Bergerac" de Jean-Paul Rappeneau
Pour ce film, Jean-Claude Petit a reçu le César de la meilleure musique originale, le BAFTA (récompense anglaise) de la meilleure musique de film.
Retrouvons les aventures du célèbre et turbulent cadet de Gascogne, amoureux de sa cousine, Roxane, vues par le réalisateur de "La Vie de château" et le scénariste Jean-Claude Carrière Ce dernier expliquait lors de la sortie du film : «  Il s'agissait de faire un film. Nous ne pouvions nous contenter d'une simple mise en images de la pièce. Nous voulions donner à cette histoire que nous aimions la dynamique et la tension d'un film. Le vrai pari du film, c'est que les personnages y parlent en vers. »
Un film de Jean-Paul Rappeneau avec Gérard Depardieu (César 1991 pour ce film), Anne Brochet, Vincent Pérez, Jacques Weber...
Samedi 6 juin 2015 à 18h – Cinéma Les Toiles place François Truffaut Saint-Gratien - Entrée libre.

Des interventions pédagogiques auront aussi lieu dans les villes de Soisy et Saint-Gratien.
Avec l'intervention d'Elizabeth Anscutter, Gréco Casadesus, Benoît Basirico et Bruno Douchet.


Zoom sur Jean-Claude Petit
Stéphane Lerouge nous présente brillamment Jean-Claude Petit :

« Composer pour le cinéma, c’est le moyen de vivre de la musique, d’avoir des contacts humains enrichissants, de s’exprimer dans des langages qui ne peuvent être explorés ailleurs. Qui aujourd’hui, sinon le cinéma, peut m’offrir la possibilité de composer un jour une musique d’inspiration Renaissance et, le lendemain, une partition frontalement contemporaine ? On se glisse dans un costume, à la manière d'un comédien. » Voilà les mots qu'utilise Jean-Claude Petit pour résumer sa relation incandescente avec le cinéma.
JEAN-CLAUDE PETIT (photo Jérôme Witz)Avec Gabriel Yared, il incarne une nouvelle génération de compositeurs pour l’image, apparue au tournant des années quatre-vingt. Pourtant, quand il aborde son premier long métrage en 1982 (avec Vive la sociale ! de Gérard Mordillat), il a déjà (quasiment) vingt ans de métier au compteur. "A quarante ans, plaisante-t-il, j’étais un jeune compositeur de cinéma et un vieux professionnel de la musique."

Né en 1943, Petit suit des études classiques au Conservatoire de Paris (harmonie, fugue, contrepoint), avec une passion parallèle pour le jazz, qui l’amène à jouer en club avec des pointures comme Stan Getz, Dexter Gordon ou Kenny Clarke. Pour gagner sa vie, au début des années soixante, il accepte d’accompagner des chanteurs yé-yé, puis d’écrire leurs arrangements. Auréolé d’une réputation flatteuse, Petit devient l’arrangeur vedette du tout show-biz. Le son typique de la variété française des années soixante-dix, c’est d’abord le sien. Pendant quinze ans, il habille orchestralement les albums de Mort Shuman, Michel Sardou, Gilbert Bécaud et, surtout, Claude François et Julien Clerc. Il enregistre plusieurs albums de variété instrumentale, écrit une poignée de tubes marquants ("Il a neigé sur yesterday" pour Marie Laforêt), dirige l’orchestre des émissions de Michel Drucker (Stars et Champs-Elysées, dont il compose également les indicatifs avec Jean-Pierre Bourtayre). A l’approche de la quarantaine, Petit prend le risque d’un choix de carrière radical : du jour au lendemain, il tourne le dos à la chanson au profit du cinéma.

Son premier grand coup d’éclat cinématographique, c’est évidemment le diptyque de Marcel Pagnol mis en images par Claude Berri, "Jean de Florette" et "Manon des Sources", en 1986. En s’appuyant sur les sept premières notes de l’ouverture de "La Force du destin", l’opéra de Verdi, Petit développe une vaste partition, où émergent l’harmonica soliste de Toots Thielemans et quelques clins d’œil au folklore provençal. « "Jean de Florette" n’est pas un simple drame méridional, précise le compositeur. C’est une tragédie que la musique doit tirer vers une forme d’universalité. » Le succès international des deux films sert de carte de visite à Petit, tout en conditionnant son image. En l’occurrence, celle d’un compositeur d’inspiration classique ou néo-classique, particulièrement doué pour réinventer le passé. Image confortée par son éclatante collaboration avec Jean-Paul Rappeneau sur "Cyrano de Bergerac" dont la spectaculaire partition, en équilibre entre musique baroque, romantique et d’aujourd’hui, lui vaut une cascade de récompenses : César, British Award, Victoire de la Musique… Dès lors, on ne compte plus les films d’époque sur lesquels apparaît la signature de Jean-Claude Petit, aussi bien en France qu’en Angleterre : "Le Retour des mousquetaires" (Richard Lester), "Lady Chatterley" (Ken Russell), "Le Hussard sur le toit" (deuxième opus Rappeneau / Petit), "Beaumarchais l'insolent" (Edouard Molinaro), "Les Misérables" (version télévisée de Josée Dayan)… Avec "Mayrig", Petit sera aussi le dernier compositeur d’Henri Verneuil : le souffle du doudouk, flûte arménienne au timbre unique, se fond aux ultimes images du vétéran, comme pour mieux le ramener à ses véritables racines. Cette étiquette "compositeur de productions historiques, à dimension patrimoniale", à la fois assumée et jugée réductrice par l’intéressé, camoufle d’autres versants de sa personnalité, sans doute plus secrets, sinon plus personnels. Ecoutez par exemple la partition du "Zèbre" dont l'humour triste éclaire d'un élégant désespoir les images de Jean Poiret. On en retrouve des traces chez des auteurs-cinéastes du nouveau monde (Alexandre Jardin, Eric Assous), venus à Jean-Claude Petit précisément pour retrouver cette ligne mélancomique.

A l’aube du XXIème siècle, Jean-Claude Petit est rattrapé par les années soixante-dix : le romancier Yann Moix lui confie la musique de "Podium". Le compositeur replonge alors dans sa période variété, avec pour mission de réenregistrer à l’identique ses arrangements pour Claude François. D'autres (nouvelles) collaborations sont à venir : Florence Moncorgé-Gabin avec "Le Passager de l'été", Valérie Guignabodet avec "Danse avec lui" et, en avril 2015, Jérôme Le Gris avec "Premiers crus", interprété par Gérard Lanvin et Jalil Lespert.
« Voilà trente ans que j'écris pour le cinéma et je ne suis pas blasé par l'exercice, affirme-t-il, dans un sourire. Car pour moi, la musique de film est définitivement la forme d’expression idéale pour faire la synthèse entre mes différentes cultures. »
L'actualité de ce printemps est l'occasion pour le festival "La Musique fait son cinéma" de rendre un hommage mérité à Jean-Claude Petit, comme une promenade libre et sentimentale dans son parcours, sur un fil entre passé et présent, entre la réflexion (la rencontre de l'Orangerie) et le spectacle (le concert de l'église Saint-Germain). Jean-Claude Petit, invité d'honneur de La Musique fait son cinéma. Plus qu’un simple hommage, un rendez-vous magique avec la mémoire musicale du cinéma. (extrait dossier presse)

musique fait son cinéma : JEAN CLAUDE PETITAprès Antoine Duhamel, Georges Delerue, Francis Lai, Gabriel Yared et Bruno Coulais, c'est le célèbre compositeur Jean-Claude Petit qui est à l'honneur de ce festival "La musique fait son cinéma" ! Un événement à Soisy où de nombreuses animations sont programmées :

Mardi 2 juin 2015
19 h : Projection du documentaire d’Erik Dollinger : "Symphonie pour le hussard"
« J'ai cherché avec mon écriture musicale à rendre l'effet de l'écriture de Jean Giono » affirme Jean-Claude Petit en 1995, face aux images de son second film avec Jean-Paul Rappeneau, "Le Hussard sur le toit". Ce documentaire est une rencontre avec un compositeur d'exception mais, plus encore, il nous offre l'opportunité de suivre pas à pas, huit mois durant, la création d'une musique de film, de l'éclosion au bouquet final.
20h45 : Rencontre avec Jean-Claude Petit et ses invités
Stéphane Lerouge, spécialiste des musiques de film et concepteur de la collection discographique " Écoutez le cinéma !" chez Universal Jazz, animera une rencontre avec Jean-Claude Petit et ses invités : Claude Zidi et Alexandre Jardin. Jean-Claude Petit a en effet composé la musique du film "Deux", réalisé par Claude Zidi et il a mis en musique "Le Zèbre", adapté par Jean Poiret du roman d’Alexandre Jardin, puis a écrit la partition originale du "Prof", mis en scène par Alexandre Jardin.
Mardi 2 juin 2015 à partir de 19h – Orangerie du Val Ombreux derrière l’Eglise Saint-Germain de Soisy-sous-Montmorency - Gratuit mais réservation obligatoire au 01 34 05 20 47.


Vendredi 5 juin 2015
Concert exceptionnel de Jean-Claude Petit accompagné de l'orchestre Colonne.
Jean-Claude Petit ponctuera ce concert en abordant, au fil des musiques, les liens tissés avec les films pour lesquelles elles ont été composées.
Au programme : Cyrano de Bergerac (Jean-Paul Rappeneau), Le Hussard sur le toit (Jean-Paul Rappeneau), Jean de Florette (Claude Berri), Manon des sources (Claude Berri), Mayrig (Henri Verneuil), Deux (Claude Zidi), Beaumarchais l'insolent (Edouard Molinaro), Danse avec lui (Valerie Guignabodet), Le Zèbre (Jean Poiret), Désiré (Bernard Murat), Lady Chatterley (Ken Russell).
Vendredi 5 juin 2015 à 20h45 – Eglise Saint-Germain rue Carnot Soisy-sous-Montmorency – Gratuit mais réservation obligatoire au 01 34 05 20 47.

CYRANO DE BERGERACSamedi 6 juin 2015
Projection du film "Cyrano de Bergerac" de Jean-Paul Rappeneau
Pour ce film, Jean-Claude Petit a reçu le César de la meilleure musique originale, le BAFTA (récompense anglaise) de la meilleure musique de film.
Retrouvons les aventures du célèbre et turbulent cadet de Gascogne, amoureux de sa cousine, Roxane, vues par le réalisateur de "La Vie de château" et le scénariste Jean-Claude Carrière Ce dernier expliquait lors de la sortie du film : «  Il s'agissait de faire un film. Nous ne pouvions nous contenter d'une simple mise en images de la pièce. Nous voulions donner à cette histoire que nous aimions la dynamique et la tension d'un film. Le vrai pari du film, c'est que les personnages y parlent en vers. »
Un film de Jean-Paul Rappeneau avec Gérard Depardieu (César 1991 pour ce film), Anne Brochet, Vincent Pérez, Jacques Weber...
Samedi 6 juin 2015 à 18h – Cinéma Les Toiles place François Truffaut Saint-Gratien - Entrée libre.

Des interventions pédagogiques auront aussi lieu dans les villes de Soisy et Saint-Gratien.
Avec l'intervention d'Elizabeth Anscutter, Gréco Casadesus, Benoît Basirico et Bruno Douchet.


Zoom sur Jean-Claude Petit
Stéphane Lerouge nous présente brillamment Jean-Claude Petit :

« Composer pour le cinéma, c’est le moyen de vivre de la musique, d’avoir des contacts humains enrichissants, de s’exprimer dans des langages qui ne peuvent être explorés ailleurs. Qui aujourd’hui, sinon le cinéma, peut m’offrir la possibilité de composer un jour une musique d’inspiration Renaissance et, le lendemain, une partition frontalement contemporaine ? On se glisse dans un costume, à la manière d'un comédien. » Voilà les mots qu'utilise Jean-Claude Petit pour résumer sa relation incandescente avec le cinéma.
JEAN-CLAUDE PETIT (photo Jérôme Witz)Avec Gabriel Yared, il incarne une nouvelle génération de compositeurs pour l’image, apparue au tournant des années quatre-vingt. Pourtant, quand il aborde son premier long métrage en 1982 (avec Vive la sociale ! de Gérard Mordillat), il a déjà (quasiment) vingt ans de métier au compteur. "A quarante ans, plaisante-t-il, j’étais un jeune compositeur de cinéma et un vieux professionnel de la musique."

Né en 1943, Petit suit des études classiques au Conservatoire de Paris (harmonie, fugue, contrepoint), avec une passion parallèle pour le jazz, qui l’amène à jouer en club avec des pointures comme Stan Getz, Dexter Gordon ou Kenny Clarke. Pour gagner sa vie, au début des années soixante, il accepte d’accompagner des chanteurs yé-yé, puis d’écrire leurs arrangements. Auréolé d’une réputation flatteuse, Petit devient l’arrangeur vedette du tout show-biz. Le son typique de la variété française des années soixante-dix, c’est d’abord le sien. Pendant quinze ans, il habille orchestralement les albums de Mort Shuman, Michel Sardou, Gilbert Bécaud et, surtout, Claude François et Julien Clerc. Il enregistre plusieurs albums de variété instrumentale, écrit une poignée de tubes marquants ("Il a neigé sur yesterday" pour Marie Laforêt), dirige l’orchestre des émissions de Michel Drucker (Stars et Champs-Elysées, dont il compose également les indicatifs avec Jean-Pierre Bourtayre). A l’approche de la quarantaine, Petit prend le risque d’un choix de carrière radical : du jour au lendemain, il tourne le dos à la chanson au profit du cinéma.

Son premier grand coup d’éclat cinématographique, c’est évidemment le diptyque de Marcel Pagnol mis en images par Claude Berri, "Jean de Florette" et "Manon des Sources", en 1986. En s’appuyant sur les sept premières notes de l’ouverture de "La Force du destin", l’opéra de Verdi, Petit développe une vaste partition, où émergent l’harmonica soliste de Toots Thielemans et quelques clins d’œil au folklore provençal. « "Jean de Florette" n’est pas un simple drame méridional, précise le compositeur. C’est une tragédie que la musique doit tirer vers une forme d’universalité. » Le succès international des deux films sert de carte de visite à Petit, tout en conditionnant son image. En l’occurrence, celle d’un compositeur d’inspiration classique ou néo-classique, particulièrement doué pour réinventer le passé. Image confortée par son éclatante collaboration avec Jean-Paul Rappeneau sur "Cyrano de Bergerac" dont la spectaculaire partition, en équilibre entre musique baroque, romantique et d’aujourd’hui, lui vaut une cascade de récompenses : César, British Award, Victoire de la Musique… Dès lors, on ne compte plus les films d’époque sur lesquels apparaît la signature de Jean-Claude Petit, aussi bien en France qu’en Angleterre : "Le Retour des mousquetaires" (Richard Lester), "Lady Chatterley" (Ken Russell), "Le Hussard sur le toit" (deuxième opus Rappeneau / Petit), "Beaumarchais l'insolent" (Edouard Molinaro), "Les Misérables" (version télévisée de Josée Dayan)… Avec "Mayrig", Petit sera aussi le dernier compositeur d’Henri Verneuil : le souffle du doudouk, flûte arménienne au timbre unique, se fond aux ultimes images du vétéran, comme pour mieux le ramener à ses véritables racines. Cette étiquette "compositeur de productions historiques, à dimension patrimoniale", à la fois assumée et jugée réductrice par l’intéressé, camoufle d’autres versants de sa personnalité, sans doute plus secrets, sinon plus personnels. Ecoutez par exemple la partition du "Zèbre" dont l'humour triste éclaire d'un élégant désespoir les images de Jean Poiret. On en retrouve des traces chez des auteurs-cinéastes du nouveau monde (Alexandre Jardin, Eric Assous), venus à Jean-Claude Petit précisément pour retrouver cette ligne mélancomique.

A l’aube du XXIème siècle, Jean-Claude Petit est rattrapé par les années soixante-dix : le romancier Yann Moix lui confie la musique de "Podium". Le compositeur replonge alors dans sa période variété, avec pour mission de réenregistrer à l’identique ses arrangements pour Claude François. D'autres (nouvelles) collaborations sont à venir : Florence Moncorgé-Gabin avec "Le Passager de l'été", Valérie Guignabodet avec "Danse avec lui" et, en avril 2015, Jérôme Le Gris avec "Premiers crus", interprété par Gérard Lanvin et Jalil Lespert.
« Voilà trente ans que j'écris pour le cinéma et je ne suis pas blasé par l'exercice, affirme-t-il, dans un sourire. Car pour moi, la musique de film est définitivement la forme d’expression idéale pour faire la synthèse entre mes différentes cultures. »
L'actualité de ce printemps est l'occasion pour le festival "La Musique fait son cinéma" de rendre un hommage mérité à Jean-Claude Petit, comme une promenade libre et sentimentale dans son parcours, sur un fil entre passé et présent, entre la réflexion (la rencontre de l'Orangerie) et le spectacle (le concert de l'église Saint-Germain). Jean-Claude Petit, invité d'honneur de La Musique fait son cinéma. Plus qu’un simple hommage, un rendez-vous magique avec la mémoire musicale du cinéma. (extrait dossier presse)

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