Accueil > Agenda Expo > Expositions : "La musique s’écoute aussi avec les yeux" de Yanis Baybaud et "Gestes suspendus" d'Abdallah Akar.
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Expositions : "La musique s’écoute aussi avec les yeux" avec les photographies de Yanis Baybaud et "Gestes suspendus" avec le peintre calligraphe Abdallah Akar.

Du 16 au 27 janvier 2018
Saint-Leu-la-Forêt

Autour du festival de "l'Hiver Musical de Saint-Leu-la-Forêt", deux expositions nous sont proposées avec les photographies de Yanis Baybaud et le peintre calligraphe Abdallah Akar.

Présentation des artistes exposés (extrait communiqué de presse)

Photo de Yanis Baybaud"La musique s’écoute aussi avec les yeux"
Yanis Baybaud est un photographe autodidacte saint-loupien, passionné et partageur.
Il aime avant tout la photographie pour les rencontres qu’elle occasionne et pour la saisie de l’INSTANT. Ses sujets de prédilection : le portrait, les concert/spectacles, la nature.

Oeuvre de Abdallah Akar"Gestes suspendus"
Abdallah Akar, peintre calligraphe val d’oisien, enseigne la calligraphie à l’Institut du Monde Arabe
Né en 1952 dans l’extrême sud de la Tunisie, Abdallah Akar arrive à Paris à la fin des années 60. Il rencontre le maître Ghani Alani, et se forme à ses côtés. Depuis maintenant plus de trente ans, Akar travaille l’art de la calligraphie et l’enseigne à l’Institut du Monde Arabe depuis 1993. Il expose en France et à l’étranger et publie de nombreux ouvrages dont "Les poèmes suspendus" (éd. Alternatives) et "Les Sept Dormants", ouvrage collectif chez Actes Sud, dont il a calligraphié tous les textes en arabe.
Peintre-calligraphe, issu du désert, Abdallah Akar invite au voyage intérieur.
Puisant son inspiration dans la poésie arabe et occidentale, Il privilégie le recours à une palette lumineuse en mêlant savamment écriture et couleurs et utilise des matières aussi différentes que le tissu, le bois ou le fer.
Les Mouallaqats, ou poèmes suspendus, sont au cœur de sa recherche : tentures monumentales inspirées des grandes odes préislamiques, elles étaient de véritables archives (diwân) pour les peuples arabes. Elles sont ici hissées par l’artiste comme « tissus impérissables, vêtements animés de Dieu ».
L’alliance du matériau contemporain et du style koufique, l’un des plus anciens de la calligraphie arabe, permet de capter la lumière par des jeux de transparence, révélant ainsi la puissance poétique des textes.

Du 16 au 27 janvier 2018 - Médiathèque Georges Pompidou 6 avenue des Diablots Saint-Leu-la-Forêt – Entrée libre aux horaires d'ouverture de la médiathèque.

Du 16 au 27 janvier 2018
Saint-Leu-la-Forêt

Autour du festival de "l'Hiver Musical de Saint-Leu-la-Forêt", deux expositions nous sont proposées avec les photographies de Yanis Baybaud et le peintre calligraphe Abdallah Akar.

Présentation des artistes exposés (extrait communiqué de presse)

Photo de Yanis Baybaud"La musique s’écoute aussi avec les yeux"
Yanis Baybaud est un photographe autodidacte saint-loupien, passionné et partageur.
Il aime avant tout la photographie pour les rencontres qu’elle occasionne et pour la saisie de l’INSTANT. Ses sujets de prédilection : le portrait, les concert/spectacles, la nature.

Oeuvre de Abdallah Akar"Gestes suspendus"
Abdallah Akar, peintre calligraphe val d’oisien, enseigne la calligraphie à l’Institut du Monde Arabe
Né en 1952 dans l’extrême sud de la Tunisie, Abdallah Akar arrive à Paris à la fin des années 60. Il rencontre le maître Ghani Alani, et se forme à ses côtés. Depuis maintenant plus de trente ans, Akar travaille l’art de la calligraphie et l’enseigne à l’Institut du Monde Arabe depuis 1993. Il expose en France et à l’étranger et publie de nombreux ouvrages dont "Les poèmes suspendus" (éd. Alternatives) et "Les Sept Dormants", ouvrage collectif chez Actes Sud, dont il a calligraphié tous les textes en arabe.
Peintre-calligraphe, issu du désert, Abdallah Akar invite au voyage intérieur.
Puisant son inspiration dans la poésie arabe et occidentale, Il privilégie le recours à une palette lumineuse en mêlant savamment écriture et couleurs et utilise des matières aussi différentes que le tissu, le bois ou le fer.
Les Mouallaqats, ou poèmes suspendus, sont au cœur de sa recherche : tentures monumentales inspirées des grandes odes préislamiques, elles étaient de véritables archives (diwân) pour les peuples arabes. Elles sont ici hissées par l’artiste comme « tissus impérissables, vêtements animés de Dieu ».
L’alliance du matériau contemporain et du style koufique, l’un des plus anciens de la calligraphie arabe, permet de capter la lumière par des jeux de transparence, révélant ainsi la puissance poétique des textes.

Du 16 au 27 janvier 2018 - Médiathèque Georges Pompidou 6 avenue des Diablots Saint-Leu-la-Forêt – Entrée libre aux horaires d'ouverture de la médiathèque.

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