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Evénement à Eaubonne : les amoureux d'Allain Leprest chantent ce grand poète. A ne pas manquer !

Publié le : 02-01-2016

«CONCERT HOMMAGE A ALLAIN LEPREST Allain Leprest est l'un des plus foudroyants auteurs de chansons au ciel de la langue française » assurait Claude Nougaro et Jean d'Ormesson décrit le poète comme « le Rimbaud du XXe siècle ».
Disparu en 2011, Allain Leprest est resté méconnu du grand public. Pour remédier à cette situation, l'association Ulysse d'Eaubonne a décidé d'éditer un CD hommage  intitulé "Allain Leprest, donne-nous de tes nouvelles !" et de proposer un concert ce 16 janvier 2016.

Concernant le disque, il rassemble les amoureux d'Allain Leprest qui reprennent ses chansons. A noter aussi que le CD comporte un extrait d’une interview donnée par Allain Leprest au journaliste suisse Philippe Nicollet, et se conclut par la voix rocailleuse d’Allain Leprest chantant "Donne-moi de mes nouvelles" et
Evidemment, tous les interprètes et musiciens ont participé à ce disque à titre gracieux et les bénéfices de cet album seront reversés au Secours populaire français.

Grand bravo à l'association Ulysse, à son président Alain Mornac et à tous ceux qui se sont mobilisés pour que cet hommage prenne vie !
Voici les différentes chansons d'Allain Leprest reprises dans ce CD hommage :

- S.D.F ; voix et guitare : Frédérick Pocquet, harmonica : Gérard Cousin
- Le poing de mon pote ; voix et guitare : Frédérick Pocquet, harmonica : Gérard Cousin
- La retraite ; voix et piano : Pierre Luneval
- Le temps de finir la bouteille ; voix et piano : Pierre Luneval
- Je ne te salue pas ; voix : Antoine Blocier, clavier : Pierre Meige
- Sacré coco ; voix : André Jaouen
- La colère ; voix : Roger Martin
- Bilou ; voix : Roger Martin, guitare : Stéphane Richez
- Gens que j'aime ; voix : Alain Mornac, accordéon : Marc Perrone
- J’étais un gamin laid ; voix : Alain Mornac, piano : Régis Lefumat, violon : Bruno Dubois
- La dame du 10e ; voix : Christiane David, piano : Régis Lefumat, flûte : Emilie Duchesne
- Saint Max ; voix : Véronique Rodon, violoncelle : Emilie Duchesne
- C’est peut-être ; voix : Stéphane Richez, guitare : Martial Bort
- Jaja ; texte et voix : Abdel Hafed Benotman, musique : Gilles Perru (guitare, batterie) et Nicolas Brisset (contrebasse)

Samedi 16 janvier 2016 à 20h30 - Salle des Fêtes de la mairie d'Eaubonne 1 rue d'Enghien Eaubonne - Entrée : 5 €. Les bénéfices de la soirée et de la vente des CD seront versés au Secours Populaire Français.

 

Bonus : Valérie Lehoux dans Télérama.fr a rendu hommage de belle manière à Allain Leprest

Il chantait. Sur scène, à la manière d'un Brel ou d'un Ferré, l'homme semblait jouer sa vie dans chacun de ses mots. Il disait son enfance, à Mont-Saint Aignan, près de Rouen. Ses copains, qu'il côtoyait dans le bistrot d'Ivry qui lui servait de refuge, et dans lequel il avait souvent animé des ateliers ALLAIN LEPRESTd'écriture. Il chantait son zippo, dont la flamme dansante allumait ses Gitanes. Et il disait, avec une élégance jamais revancharde, ses coups de gueule de communiste, anar sur les bords, sans Dieu ni beaucoup de maîtres. Ses concerts avaient le velours des récitals intimistes, son interprétation avait la puissance des coups de poing. On n'en sortait jamais indemne.
En 1985, jeune homme, il avait été l'indiscutable révélation du Printemps de Bourges. Sept ans plus tard, il avait embrasé une chanson française alors bien morne avec Voce a Mano, un duo voix-accordéon avec Richard Galliano, disque sidérant d'audace et de talent qui lui avait valu le Grand Prix Charles Cros, celui de la Sacem, et la fidélité - plus jamais démentie - d'un public averti. Trois ans plus tard, Leprest remplissait l'Olympia. Il avait alors 40 ans, un physique de tombeur, une voix de rocaille et un charisme époustouflant. Il aurait pu jouer les vedettes, mais il préféra fuir tout ce qui ressemblait de près ou de loin au show-business. Il continua de publier des disques (au total, huit en studio), la plupart composés par son ami Romain Didier et toujours produits par des labels indépendants. Il écrivit pour d'autres (Francesca Solleville, Juliette Gréco...). Allain, l'artiste, vivait avec la simplicité des artisans. Son père avait été menuisier ; quand il parlait de lui et de l'habileté de ses mains, les larmes lui venaient aux yeux.
>> hommage complet de Valérie Lehoux dans Télérama.fr

«CONCERT HOMMAGE A ALLAIN LEPREST Allain Leprest est l'un des plus foudroyants auteurs de chansons au ciel de la langue française » assurait Claude Nougaro et Jean d'Ormesson décrit le poète comme « le Rimbaud du XXe siècle ».
Disparu en 2011, Allain Leprest est resté méconnu du grand public. Pour remédier à cette situation, l'association Ulysse d'Eaubonne a décidé d'éditer un CD hommage  intitulé "Allain Leprest, donne-nous de tes nouvelles !" et de proposer un concert ce 16 janvier 2016.

Concernant le disque, il rassemble les amoureux d'Allain Leprest qui reprennent ses chansons. A noter aussi que le CD comporte un extrait d’une interview donnée par Allain Leprest au journaliste suisse Philippe Nicollet, et se conclut par la voix rocailleuse d’Allain Leprest chantant "Donne-moi de mes nouvelles" et
Evidemment, tous les interprètes et musiciens ont participé à ce disque à titre gracieux et les bénéfices de cet album seront reversés au Secours populaire français.

Grand bravo à l'association Ulysse, à son président Alain Mornac et à tous ceux qui se sont mobilisés pour que cet hommage prenne vie !
Voici les différentes chansons d'Allain Leprest reprises dans ce CD hommage :

- S.D.F ; voix et guitare : Frédérick Pocquet, harmonica : Gérard Cousin
- Le poing de mon pote ; voix et guitare : Frédérick Pocquet, harmonica : Gérard Cousin
- La retraite ; voix et piano : Pierre Luneval
- Le temps de finir la bouteille ; voix et piano : Pierre Luneval
- Je ne te salue pas ; voix : Antoine Blocier, clavier : Pierre Meige
- Sacré coco ; voix : André Jaouen
- La colère ; voix : Roger Martin
- Bilou ; voix : Roger Martin, guitare : Stéphane Richez
- Gens que j'aime ; voix : Alain Mornac, accordéon : Marc Perrone
- J’étais un gamin laid ; voix : Alain Mornac, piano : Régis Lefumat, violon : Bruno Dubois
- La dame du 10e ; voix : Christiane David, piano : Régis Lefumat, flûte : Emilie Duchesne
- Saint Max ; voix : Véronique Rodon, violoncelle : Emilie Duchesne
- C’est peut-être ; voix : Stéphane Richez, guitare : Martial Bort
- Jaja ; texte et voix : Abdel Hafed Benotman, musique : Gilles Perru (guitare, batterie) et Nicolas Brisset (contrebasse)

Samedi 16 janvier 2016 à 20h30 - Salle des Fêtes de la mairie d'Eaubonne 1 rue d'Enghien Eaubonne - Entrée : 5 €. Les bénéfices de la soirée et de la vente des CD seront versés au Secours Populaire Français.

 

Bonus : Valérie Lehoux dans Télérama.fr a rendu hommage de belle manière à Allain Leprest

Il chantait. Sur scène, à la manière d'un Brel ou d'un Ferré, l'homme semblait jouer sa vie dans chacun de ses mots. Il disait son enfance, à Mont-Saint Aignan, près de Rouen. Ses copains, qu'il côtoyait dans le bistrot d'Ivry qui lui servait de refuge, et dans lequel il avait souvent animé des ateliers ALLAIN LEPRESTd'écriture. Il chantait son zippo, dont la flamme dansante allumait ses Gitanes. Et il disait, avec une élégance jamais revancharde, ses coups de gueule de communiste, anar sur les bords, sans Dieu ni beaucoup de maîtres. Ses concerts avaient le velours des récitals intimistes, son interprétation avait la puissance des coups de poing. On n'en sortait jamais indemne.
En 1985, jeune homme, il avait été l'indiscutable révélation du Printemps de Bourges. Sept ans plus tard, il avait embrasé une chanson française alors bien morne avec Voce a Mano, un duo voix-accordéon avec Richard Galliano, disque sidérant d'audace et de talent qui lui avait valu le Grand Prix Charles Cros, celui de la Sacem, et la fidélité - plus jamais démentie - d'un public averti. Trois ans plus tard, Leprest remplissait l'Olympia. Il avait alors 40 ans, un physique de tombeur, une voix de rocaille et un charisme époustouflant. Il aurait pu jouer les vedettes, mais il préféra fuir tout ce qui ressemblait de près ou de loin au show-business. Il continua de publier des disques (au total, huit en studio), la plupart composés par son ami Romain Didier et toujours produits par des labels indépendants. Il écrivit pour d'autres (Francesca Solleville, Juliette Gréco...). Allain, l'artiste, vivait avec la simplicité des artisans. Son père avait été menuisier ; quand il parlait de lui et de l'habileté de ses mains, les larmes lui venaient aux yeux.
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