Samedi 18 avril 2015
Saint-Leu-la-Forêt
Les associations "Saint-Leu Terre d'Empire" et "Amitiés roumaines Saint-Leu" nous proposent une conférence consacrée aux relations entre Napoléon III et la Roumanie. Elle sera animée par Abel Douay, historien spécialiste de l’épopée napoléonienne et du second empire.
Guy Barat, président de l'association nous présente cette rencontre :
« Faire connaissance avec la Roumanie, c’est découvrir que l’union des deux Principautés Danubiennes, Valachie et Moldavie, ne se fit, à grand peine, que dans la seconde moitié du XIXème siècle, dans un processus où la France fut profondément impliquée.
Après la campagne de Crimée, Napoléon III avait en tête son principe des nationalités, tandis que l’Angleterre voulait surtout empêcher l’écroulement de la Turquie qui aurait ouvert la Méditerranée à la Russie. L’union se fit donc par la conjonction de la volonté politique des puissances et de la montée d’un sentiment national des élites.
C’est ensuite le prince Carol de Hohenzollern, soutenu par Napoléon III, qui sera à la tête du pays à partir de 1866, avant de régner à partir de 1878 sur une Roumanie déclarée indépendante au congrès de Berlin. »
Abel Douay est l’auteur de nombreux livres en collaboration avec Gérard Hertault, notamment "Napoléon III et la Roumanie" (Editions Nouveau Monde 2009)
Samedi 18 avril 2015 à 17h - Espace Clairefontaine 23 avenue de la Gare Saint-Leu-la-Forêt - entrée libre.
Samedi 18 avril 2015
Saint-Leu-la-Forêt
Les associations "Saint-Leu Terre d'Empire" et "Amitiés roumaines Saint-Leu" nous proposent une conférence consacrée aux relations entre Napoléon III et la Roumanie. Elle sera animée par Abel Douay, historien spécialiste de l’épopée napoléonienne et du second empire.
Guy Barat, président de l'association nous présente cette rencontre :
« Faire connaissance avec la Roumanie, c’est découvrir que l’union des deux Principautés Danubiennes, Valachie et Moldavie, ne se fit, à grand peine, que dans la seconde moitié du XIXème siècle, dans un processus où la France fut profondément impliquée.
Après la campagne de Crimée, Napoléon III avait en tête son principe des nationalités, tandis que l’Angleterre voulait surtout empêcher l’écroulement de la Turquie qui aurait ouvert la Méditerranée à la Russie. L’union se fit donc par la conjonction de la volonté politique des puissances et de la montée d’un sentiment national des élites.
C’est ensuite le prince Carol de Hohenzollern, soutenu par Napoléon III, qui sera à la tête du pays à partir de 1866, avant de régner à partir de 1878 sur une Roumanie déclarée indépendante au congrès de Berlin. »
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Samedi 18 avril 2015 à 17h - Espace Clairefontaine 23 avenue de la Gare Saint-Leu-la-Forêt - entrée libre.
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