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Bruno Podalydès vient présenter son nouveau film "Comme un avion" à Saint-Gratien !

Publié le : 07-06-2015

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsUn événement à ne pas manquer ! Bruno Podalydès vient à Saint-Gratien pour présenter son nouveau film "Comme un avion". Grand merci à l'équipe du cinéma "Les Toiles" pour cette invitation envers ce réalisateur attachant.
En effet, depuis "Versailles Rive Gauche" jusqu'à "Adieu Berthe" en passant par "Liberté Oléron" et "Le mystère de la chambre jaune", Bruno Podalydès construit une œuvre cohérente avec une troupe d'acteurs fidèles. Parmi eux, notons celle de son frère Denis Podlydès. La rencontre s'annonce passionnante.

Vendredi 12 juin 2015 à 20h30 – Cinéma Les Toiles place François Truffaut Saint-Gratien - Prévente à la caisse du cinéma dès le mercredi 10 juin. N'hésitez pas à appeler le cinéma (01 34 28 27 96) pour savoir s'il reste des places disponibles.

 

Zoom sur "Comme un avion" de Bruno Podalydès

L'histoire
Michel, la cinquantaine, est infographiste. Passionné par l'aéropostale, il se rêve en Jean Mermoz quand il prend son scooter. Et pourtant, lui‐même n’a jamais piloté d’avion…
Un jour, Michel tombe en arrêt devant des photos de kayak : on dirait le fuselage d’un avion. C'est le coup de foudre. En cachette de sa femme, il achète un kayak à monter soi‐même et tout le matériel qui va avec. Michel pagaie des heures sur son toit, rêve de grandes traversées en solitaire mais ne se décide pas à le mettre à l'eau. Rachel découvre tout son attirail et le pousse alors à larguer les amarres.
Michel part enfin sur une jolie rivière inconnue. Il fait une première escale et découvre une guinguette installée le long de la rive. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de la patronne Laetitia, de la jeune serveuse Mila, et de leurs clients ‐ dont la principale occupation est de bricoler sous les arbres et boire de l’absinthe.
Michel sympathise avec tout ce petit monde, installe sa tente pour une nuit près de la buvette et, le lendemain, a finalement beaucoup de mal à quitter les lieux…
Un film de Bruno Podalydès, Agnès Jaoui, Sandrine Kiberlain, Vimala Pons, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz, Jean-Noël Brouté

 

Bonus : propos de Sandrine Kiberlain, actrice du film.

CCOMME UN AVION de Bruno Podalydès’est la première fois que vous tournez avec Bruno Podalydès.
Nous sommes nés au même moment  ‐  lui avec "Versailles rive gauche" et moi avec "Comment font les gens ?" de Pascale Bailly ‐, et j’ai le sentiment que nos chemins n’ont cessé, depuis, d’évoluer en parallèle. Nous avons tous les deux travaillé avec Alain Resnais, par exemple. Cela a-t-il joué dans le fait qu’il me propose son film ? Bruno a tout de même choisi trois actrices qui ont tourné avec lui ! Pour avoir apprécié son travail sur "Vous n’avez encore rien vu" et aimer son cinéma, je pressentais que cela collerait entre nous.

Vous a-t-il tout de suite offert le rôle de Rachel ?
Michel et elle forment un couple un peu idéal : même s’ils s’autorisent des parenthèses, ils sont ensemble, complices ; ils se font confiance. On sent qu’ils aiment partager leur vie. Le film est bourré de moments savoureux, comme cette scène où Rachel accompagne Michel dans cette toute petite voiture  surchargée de matériel. D’une certaine façon, elle le met au pied du mur. Il l’amuse. Elle pourrait le freiner et le laisser pagayer indéfiniment sur le toit de leur immeuble. Elle le pousse au contraire à bouger et le jette littéralement à l’eau.

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsIl y a un côté « Club des Cinq » dans la préparation de ce périple et, pourtant, on ne doute pas une seule fois de la sincérité du personnage.
Parce que l’on n’est pas du tout dans une démarche d’efficacité destinée à faire rire et c’est ce qui est merveilleux. On croit à la folie soudaine de ce type qui se passionne pour le kayak. On ne met pas en doute qu’il se retrouve à pagayer sur un toit dans le squelette d’une embarcation, ni qu’il se suréquipe de cette façon. Je me demande d’ailleurs si Bruno ne s’est pas retrouvé un jour dans cette situation !
C’est un peu comme lorsque nous voyons des gens dans notre entourage se passionner pour des choses qui nous sont étrangères. Leur concentration et leur sérieux nous paraissent hallucinants et ça nous égaie.  C’est d’autant plus drôle dans le film qu’on sent bien à quel point le couple est motivé par ce voyage : tout est hyper précis dans leur tête mais‐et c’est que j’aime énormément‐tout s’effectue aussi de façon très anodine. Il est à peine parti sur la rivière qu’il la rappelle parce qu’il se retrouve coincé par une branche et elle trouve cela parfaitement naturel. Rachel n’est jamais dépassée par les événements, cet homme ne l’agace jamais. Il lui propose de faire une sieste ? Elle accepte. Tout est simple entre eux.

Elle subodore pourtant que l’expédition risque d’être pimentée…

Alors qu’il part sincèrement s’aérer l’esprit et profiter de la nature durant une semaine, elle se doute que le voyage sera à multiples facettes. Il a quand même embarqué son ukulélé…Mais elle n’a pas peur. Ni lui ni elle ne vivent au pays de Oui-Oui. Ils se baratinent un peu mais qui ne le fait pas ? En même temps, aucun d’eux ne cherche à faire du mal à l’autre. J’adore ce moment où ils se quittent sur la berge et où Michel se dit à lui-même : « Cette femme est lumineuse ». Ce sont des phrases comme celle-là, d’une vérité aussi forte, qui donnent envie de faire un film.

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsDerrière son apparente simplicité "Comme un avion" aborde des thèmes essentiels : le rapport à l’amour, au temps, à la liberté, à la modernité aussi. Quand Michel et Rachel regardent tous les deux la télévision, tout en étant chacun dans sa bulle‐lui dans son projet de kayak, et elle, plongée dans une série -, on est au cœur du couple d’aujourd’hui.
Beaucoup de mes amies, fans de séries, en regardent tous les soirs à côté de leur compagnon. Cela n’empêche pas un couple d’être en harmonie et certainement pas celui qui nous concerne.
J’aime particulièrement la scène de la salle de bains, lorsqu’ils se brossent les dents en évoquant tranquillement leur sexualité : ils ne sont pas dans le même désir qu’au tout début, mais le simple fait de se parler les réunit. Ce sont ces petites touches pleines d’humour et de délicatesse qui donnent au film sa poésie et son ton, si atypique et si personnel. Mais ce qui me frappe le plus ici, c’est le côté aéré du film.

C’est la première fois que Bruno Podalydès célèbre ainsi la nature.
Oui, c’est comme si l’on prenait la rivière avec lui. On est constamment à l’extérieur, dans le soleil, dans un cadre un peu champêtre, y compris lorsqu’on est à côté de Paris. Très peu de cinéastes savent filmer la nature. André Téchiné‐avec qui je suis en train de tourner "Quand on a 17 ans" ‐ sait le faire comme personne. Bruno la montre d’une façon peut-être un peu plus estivale. J’éprouve, en tous cas, la même bouffée d’oxygène qu’en regardant "Les Roseaux sauvages".

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsDans "Neuf mois ferme", vous donniez déjà la réplique au réalisateur Albert Dupontel….
Et ça a été deux façons de faire très différentes. Lorsqu’il jouait, Albert avait quelqu’un pour surveiller son jeu. Ensuite, il étudiait beaucoup ce qu’il venait de faire. Bruno se lâche complètement : il est très au clair avec ce qu’il veut mais ne s’observe pas. Il est totalement dans le présent. Il fait le cadre et, pof !, il y va.
C’était sans doute très lourd ‐il est de tous les plans et on ne se figure à quel point les scènes en kayak étaient physiques. Il lui fallait, dans le même temps, jongler avec les courants de la rivière qui n’allaient pas forcément dans le sens de mise en scène qu’il souhaitait. La météo ne s’est pas montrée favorable. Mais tout a toujours l’air simple et léger  avec Bruno. On sentait qu’il était heureux.

Comment travaille-t-on avec lui ?
J’ai d’abord été interloquée : il me donnait l’impression de tourner comme s’il allait faire son marché ; avec une grande nonchalance. En fait, tout est déjà minutieusement préparé. Tout est écrit mais on invente ensemble. Certaines scènes‐celle de la salle de bains, notamment ‐se sont carrément chorégraphiées au fur et à mesure qu’on les tournait. Il sublime son scénario. Bruno est très attaché à son équipe, toujours la même de film en film. Il travaille avec elle, au milieu d’elle. C’est très touchant de voir un metteur en scène touché par l’énergie que chacun met pour aller dans son sens.
Bruno est aussi quelqu’un de double. Il peut se montrer très adroit dans certains domaines‐il fait de la magie, par exemple -, mais il a un côté un peu gauche qui rend d’ailleurs ses personnages comiques et il en joue dans sa manière de mettre de scène. Même si elles sont très réfléchies, il aime que les choses n’aient pas l’air d’être contrôlées. On peut très bien penser, par exemple, que lorsque Michel enroule Laetitia dans le drap, c’est le fruit d’une maladresse. Bruno adore ces situations qui se déclenchent parce que rien ne se passe comme cela devrait ; des trucs de la vie.
(extrait dossier de presse)

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsUn événement à ne pas manquer ! Bruno Podalydès vient à Saint-Gratien pour présenter son nouveau film "Comme un avion". Grand merci à l'équipe du cinéma "Les Toiles" pour cette invitation envers ce réalisateur attachant.
En effet, depuis "Versailles Rive Gauche" jusqu'à "Adieu Berthe" en passant par "Liberté Oléron" et "Le mystère de la chambre jaune", Bruno Podalydès construit une œuvre cohérente avec une troupe d'acteurs fidèles. Parmi eux, notons celle de son frère Denis Podlydès. La rencontre s'annonce passionnante.

Vendredi 12 juin 2015 à 20h30 – Cinéma Les Toiles place François Truffaut Saint-Gratien - Prévente à la caisse du cinéma dès le mercredi 10 juin. N'hésitez pas à appeler le cinéma (01 34 28 27 96) pour savoir s'il reste des places disponibles.

 

Zoom sur "Comme un avion" de Bruno Podalydès

L'histoire
Michel, la cinquantaine, est infographiste. Passionné par l'aéropostale, il se rêve en Jean Mermoz quand il prend son scooter. Et pourtant, lui‐même n’a jamais piloté d’avion…
Un jour, Michel tombe en arrêt devant des photos de kayak : on dirait le fuselage d’un avion. C'est le coup de foudre. En cachette de sa femme, il achète un kayak à monter soi‐même et tout le matériel qui va avec. Michel pagaie des heures sur son toit, rêve de grandes traversées en solitaire mais ne se décide pas à le mettre à l'eau. Rachel découvre tout son attirail et le pousse alors à larguer les amarres.
Michel part enfin sur une jolie rivière inconnue. Il fait une première escale et découvre une guinguette installée le long de la rive. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de la patronne Laetitia, de la jeune serveuse Mila, et de leurs clients ‐ dont la principale occupation est de bricoler sous les arbres et boire de l’absinthe.
Michel sympathise avec tout ce petit monde, installe sa tente pour une nuit près de la buvette et, le lendemain, a finalement beaucoup de mal à quitter les lieux…
Un film de Bruno Podalydès, Agnès Jaoui, Sandrine Kiberlain, Vimala Pons, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz, Jean-Noël Brouté

 

Bonus : propos de Sandrine Kiberlain, actrice du film.

CCOMME UN AVION de Bruno Podalydès’est la première fois que vous tournez avec Bruno Podalydès.
Nous sommes nés au même moment  ‐  lui avec "Versailles rive gauche" et moi avec "Comment font les gens ?" de Pascale Bailly ‐, et j’ai le sentiment que nos chemins n’ont cessé, depuis, d’évoluer en parallèle. Nous avons tous les deux travaillé avec Alain Resnais, par exemple. Cela a-t-il joué dans le fait qu’il me propose son film ? Bruno a tout de même choisi trois actrices qui ont tourné avec lui ! Pour avoir apprécié son travail sur "Vous n’avez encore rien vu" et aimer son cinéma, je pressentais que cela collerait entre nous.

Vous a-t-il tout de suite offert le rôle de Rachel ?
Michel et elle forment un couple un peu idéal : même s’ils s’autorisent des parenthèses, ils sont ensemble, complices ; ils se font confiance. On sent qu’ils aiment partager leur vie. Le film est bourré de moments savoureux, comme cette scène où Rachel accompagne Michel dans cette toute petite voiture  surchargée de matériel. D’une certaine façon, elle le met au pied du mur. Il l’amuse. Elle pourrait le freiner et le laisser pagayer indéfiniment sur le toit de leur immeuble. Elle le pousse au contraire à bouger et le jette littéralement à l’eau.

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsIl y a un côté « Club des Cinq » dans la préparation de ce périple et, pourtant, on ne doute pas une seule fois de la sincérité du personnage.
Parce que l’on n’est pas du tout dans une démarche d’efficacité destinée à faire rire et c’est ce qui est merveilleux. On croit à la folie soudaine de ce type qui se passionne pour le kayak. On ne met pas en doute qu’il se retrouve à pagayer sur un toit dans le squelette d’une embarcation, ni qu’il se suréquipe de cette façon. Je me demande d’ailleurs si Bruno ne s’est pas retrouvé un jour dans cette situation !
C’est un peu comme lorsque nous voyons des gens dans notre entourage se passionner pour des choses qui nous sont étrangères. Leur concentration et leur sérieux nous paraissent hallucinants et ça nous égaie.  C’est d’autant plus drôle dans le film qu’on sent bien à quel point le couple est motivé par ce voyage : tout est hyper précis dans leur tête mais‐et c’est que j’aime énormément‐tout s’effectue aussi de façon très anodine. Il est à peine parti sur la rivière qu’il la rappelle parce qu’il se retrouve coincé par une branche et elle trouve cela parfaitement naturel. Rachel n’est jamais dépassée par les événements, cet homme ne l’agace jamais. Il lui propose de faire une sieste ? Elle accepte. Tout est simple entre eux.

Elle subodore pourtant que l’expédition risque d’être pimentée…

Alors qu’il part sincèrement s’aérer l’esprit et profiter de la nature durant une semaine, elle se doute que le voyage sera à multiples facettes. Il a quand même embarqué son ukulélé…Mais elle n’a pas peur. Ni lui ni elle ne vivent au pays de Oui-Oui. Ils se baratinent un peu mais qui ne le fait pas ? En même temps, aucun d’eux ne cherche à faire du mal à l’autre. J’adore ce moment où ils se quittent sur la berge et où Michel se dit à lui-même : « Cette femme est lumineuse ». Ce sont des phrases comme celle-là, d’une vérité aussi forte, qui donnent envie de faire un film.

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsDerrière son apparente simplicité "Comme un avion" aborde des thèmes essentiels : le rapport à l’amour, au temps, à la liberté, à la modernité aussi. Quand Michel et Rachel regardent tous les deux la télévision, tout en étant chacun dans sa bulle‐lui dans son projet de kayak, et elle, plongée dans une série -, on est au cœur du couple d’aujourd’hui.
Beaucoup de mes amies, fans de séries, en regardent tous les soirs à côté de leur compagnon. Cela n’empêche pas un couple d’être en harmonie et certainement pas celui qui nous concerne.
J’aime particulièrement la scène de la salle de bains, lorsqu’ils se brossent les dents en évoquant tranquillement leur sexualité : ils ne sont pas dans le même désir qu’au tout début, mais le simple fait de se parler les réunit. Ce sont ces petites touches pleines d’humour et de délicatesse qui donnent au film sa poésie et son ton, si atypique et si personnel. Mais ce qui me frappe le plus ici, c’est le côté aéré du film.

C’est la première fois que Bruno Podalydès célèbre ainsi la nature.
Oui, c’est comme si l’on prenait la rivière avec lui. On est constamment à l’extérieur, dans le soleil, dans un cadre un peu champêtre, y compris lorsqu’on est à côté de Paris. Très peu de cinéastes savent filmer la nature. André Téchiné‐avec qui je suis en train de tourner "Quand on a 17 ans" ‐ sait le faire comme personne. Bruno la montre d’une façon peut-être un peu plus estivale. J’éprouve, en tous cas, la même bouffée d’oxygène qu’en regardant "Les Roseaux sauvages".

COMME UN AVION de Bruno PodalydèsDans "Neuf mois ferme", vous donniez déjà la réplique au réalisateur Albert Dupontel….
Et ça a été deux façons de faire très différentes. Lorsqu’il jouait, Albert avait quelqu’un pour surveiller son jeu. Ensuite, il étudiait beaucoup ce qu’il venait de faire. Bruno se lâche complètement : il est très au clair avec ce qu’il veut mais ne s’observe pas. Il est totalement dans le présent. Il fait le cadre et, pof !, il y va.
C’était sans doute très lourd ‐il est de tous les plans et on ne se figure à quel point les scènes en kayak étaient physiques. Il lui fallait, dans le même temps, jongler avec les courants de la rivière qui n’allaient pas forcément dans le sens de mise en scène qu’il souhaitait. La météo ne s’est pas montrée favorable. Mais tout a toujours l’air simple et léger  avec Bruno. On sentait qu’il était heureux.

Comment travaille-t-on avec lui ?
J’ai d’abord été interloquée : il me donnait l’impression de tourner comme s’il allait faire son marché ; avec une grande nonchalance. En fait, tout est déjà minutieusement préparé. Tout est écrit mais on invente ensemble. Certaines scènes‐celle de la salle de bains, notamment ‐se sont carrément chorégraphiées au fur et à mesure qu’on les tournait. Il sublime son scénario. Bruno est très attaché à son équipe, toujours la même de film en film. Il travaille avec elle, au milieu d’elle. C’est très touchant de voir un metteur en scène touché par l’énergie que chacun met pour aller dans son sens.
Bruno est aussi quelqu’un de double. Il peut se montrer très adroit dans certains domaines‐il fait de la magie, par exemple -, mais il a un côté un peu gauche qui rend d’ailleurs ses personnages comiques et il en joue dans sa manière de mettre de scène. Même si elles sont très réfléchies, il aime que les choses n’aient pas l’air d’être contrôlées. On peut très bien penser, par exemple, que lorsque Michel enroule Laetitia dans le drap, c’est le fruit d’une maladresse. Bruno adore ces situations qui se déclenchent parce que rien ne se passe comme cela devrait ; des trucs de la vie.
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