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"Papa ou Maman" projeté en plein air à Montmorency !

Publié le : 22-08-2016

CINEMA PLEIN AIR à MONTMORENCYLe Conseil Municipal des Jeunes de Montmorency propose une soirée cinéma en plein air avec la projection de "Papa ou maman". Une belle initiative avant la rentrée !

Samedi 27 août 2016 à 21h - Parc de l'Hôtel de Ville (salle des fêtes en cas d'intempéries) Montmorency – entrée libre
 

Zoom sur "Papa ou maman" de Martin Bourboulon

L'histoire
Florence et Vincent Leroy ont tout réussi. Leurs métiers, leur mariage, leurs enfants. Et aujourd’hui, c’est leur divorce qu’ils veulent réussir.
Mais quand ils reçoivent simultanément la promotion dont ils ont toujours rêvée, leur vie de couple vire au cauchemar. Dès lors, plus de quartier, les ex-époux modèles se déclarent la guerre,  et ils vont tout faire pour NE PAS avoir la garde des enfants.
Un film de Martin Bourboulon avec Marina Foïs, Laurent Lafitte, Alexandre Desrousseaux, Anna Lemarchand…

>> Bande annonce du film

 

Bonus : propos de Laurent Lafitte, acteur du film

Qu'est-ce qui vous a attiré dans cette aventure ?
Marina Foïs étant déjà attachée au projet, j’étais content de pouvoir travailler avec elle. Par ailleurs, le pitch m’a tout de suite fait rire. Le risque, quand on part d’une idée aussi acide, c’est que le scénario la PAPA OU MAMAN de Martin Bourboulondilue dans un ensemble moins caustique et que l’on soit déçu. Mais Matthieu et Alexandre, les auteurs, sont parvenus à garder un côté irrévérencieux sans tomber dans le piège du trash qui, au contact des enfants, serait devenu antipathique. Ils ont su trouver un équilibre pour faire un film populaire qui sort des schémas bienveillants de la plupart des comédies françaises. Pour y arriver, ils ont eu la bonne idée de créer un «sous-pitch» évoquant un couple qui divorce mais n’ose pas le dire à ses enfants. Pendant la première demi-heure, cela créé une empathie avec les personnages et ça évite au pitch de s’essouffler avant la fin du film.

Comment avez-vous abordé votre personnage ?
J’ai aimé le fait que ce type soit un peu dépassé par les évènements. Son métier d’obstétricien n’est pas anodin : c’est une profession liée aux femmes et à leur intimité. Cela lui apportait une douceur qui le rendait sympathique. Et le fait qu’il donne la vie tous les jours mais soit dépassé par cette histoire PAPA OU MAMAN de Martin Bourboulonde garde amenait un contraste comique entre la magie de la naissance et la réalité d’avoir trois gamins chez soi, dont un ado, une pré-ado et un petit un peu tête à claques.

Avez-vous aimé travailler avec des enfants ?

J’en avais déjà fait l’expérience sur "16 ans ou presque". Je ne suis pas du genre paternel avec eux ; je les considère comme des camarades de jeux avec qui c’est à la fois ludique et concentré. Sur le tournage de "Papa ou maman", ça s’est très bien passé. Achille, le tout-petit, était super ; Anna, qui avait déjà joué dans "Du vent dans les mollets", était très douée ; et Alexandre, le grand, avait une maturité et un humour très adulte. Marina et moi, nous sommes très bien entendus avec lui.

Connaissiez-vous Marina Foïs depuis longtemps ?
À 17 ans, on avait joué ensemble "Les carnets de Camus" au cours Florent. Notre complicité est née à cette époque. Marina est très vive et elle me fait beaucoup rire. J’aime sa façon d’avoir une grande finesse d’esprit, une analyse psychologique (presque psychanalytique) des choses et en même temps un humour potache, une capacité à rire de choses complètement futiles. Dans le travail, nous étions vraiment à l’unisson. Après avoir participé activement à la préparation du film à travers beaucoup de lectures, sur le plateau on a conservé cette liberté. Nous sommes deux perfectionnistes, surtout sur des comédies parce qu’on sait que l’humour ne tient qu’à un mot, un tempo. Et le baromètre, c’est le rire : si moi je ris, ça peut potentiellement faire rire d’autres gens. C’est mon seul indicateur réel.

PAPA OU MAMAN de Martin BourboulonComment Martin Bourboulon vous a-t-il dirigé ?
Il nous laissait assez libres et réagissait en fonction de ce qu’on lui proposait. Parfois il affinait sa demande s’il n’était pas satisfait. Et certaines prises se faisaient aussi un peu à la grâce de Dieu : suivant la situation, on «jetait» le texte d’une façon ou d’une autre. Quelques improvisations ont été gardées, d’autres pas. Ce n’est pas toujours facile de trouver les mots pour diriger un comédien parce qu’il faut éviter de lui montrer comment jouer. Mais s’il y a un dialogue, tout va bien. Martin avait beaucoup de choses à filmer et il n’hésitait pas à multiplier les prises et à changer d’axes pour avoir le choix au montage. C’était intense mais nous avons beaucoup ri, Marina, Alexandre et moi.

Que vous a appris la Comédie Française sur votre métier d'acteur ?
À aborder, presque sans réfléchir, plein de répertoires différents. Quand vous jouez en une année Gogol, Shakespeare, Voltaire et Feydeau, vous devenez un artisan qui n’a pas de temps pour l’introspection. Il y a évidemment une réflexion à travers un vrai travail sur les textes, mais il n’y a pas de place pour le questionnement égocentré. Il faut avancer, produire du jeu, être efficace. Et grâce au travail de troupe, on reste ancré dans sa vraie nature. Au cinéma, on peut courir le risque d’être surprotégé et de se prendre pour quelqu’un d’autre. Cela peut être fatiguant de jongler entre théâtre et cinéma mais ce métier de passion, j’ai tout fait pour l’exercer de cette façon-là, et tant que c’est en marche j’en profite.
(extrait dossier de presse)

CINEMA PLEIN AIR à MONTMORENCYLe Conseil Municipal des Jeunes de Montmorency propose une soirée cinéma en plein air avec la projection de "Papa ou maman". Une belle initiative avant la rentrée !

Samedi 27 août 2016 à 21h - Parc de l'Hôtel de Ville (salle des fêtes en cas d'intempéries) Montmorency – entrée libre
 

Zoom sur "Papa ou maman" de Martin Bourboulon

L'histoire
Florence et Vincent Leroy ont tout réussi. Leurs métiers, leur mariage, leurs enfants. Et aujourd’hui, c’est leur divorce qu’ils veulent réussir.
Mais quand ils reçoivent simultanément la promotion dont ils ont toujours rêvée, leur vie de couple vire au cauchemar. Dès lors, plus de quartier, les ex-époux modèles se déclarent la guerre,  et ils vont tout faire pour NE PAS avoir la garde des enfants.
Un film de Martin Bourboulon avec Marina Foïs, Laurent Lafitte, Alexandre Desrousseaux, Anna Lemarchand…

>> Bande annonce du film

 

Bonus : propos de Laurent Lafitte, acteur du film

Qu'est-ce qui vous a attiré dans cette aventure ?
Marina Foïs étant déjà attachée au projet, j’étais content de pouvoir travailler avec elle. Par ailleurs, le pitch m’a tout de suite fait rire. Le risque, quand on part d’une idée aussi acide, c’est que le scénario la PAPA OU MAMAN de Martin Bourboulondilue dans un ensemble moins caustique et que l’on soit déçu. Mais Matthieu et Alexandre, les auteurs, sont parvenus à garder un côté irrévérencieux sans tomber dans le piège du trash qui, au contact des enfants, serait devenu antipathique. Ils ont su trouver un équilibre pour faire un film populaire qui sort des schémas bienveillants de la plupart des comédies françaises. Pour y arriver, ils ont eu la bonne idée de créer un «sous-pitch» évoquant un couple qui divorce mais n’ose pas le dire à ses enfants. Pendant la première demi-heure, cela créé une empathie avec les personnages et ça évite au pitch de s’essouffler avant la fin du film.

Comment avez-vous abordé votre personnage ?
J’ai aimé le fait que ce type soit un peu dépassé par les évènements. Son métier d’obstétricien n’est pas anodin : c’est une profession liée aux femmes et à leur intimité. Cela lui apportait une douceur qui le rendait sympathique. Et le fait qu’il donne la vie tous les jours mais soit dépassé par cette histoire PAPA OU MAMAN de Martin Bourboulonde garde amenait un contraste comique entre la magie de la naissance et la réalité d’avoir trois gamins chez soi, dont un ado, une pré-ado et un petit un peu tête à claques.

Avez-vous aimé travailler avec des enfants ?

J’en avais déjà fait l’expérience sur "16 ans ou presque". Je ne suis pas du genre paternel avec eux ; je les considère comme des camarades de jeux avec qui c’est à la fois ludique et concentré. Sur le tournage de "Papa ou maman", ça s’est très bien passé. Achille, le tout-petit, était super ; Anna, qui avait déjà joué dans "Du vent dans les mollets", était très douée ; et Alexandre, le grand, avait une maturité et un humour très adulte. Marina et moi, nous sommes très bien entendus avec lui.

Connaissiez-vous Marina Foïs depuis longtemps ?
À 17 ans, on avait joué ensemble "Les carnets de Camus" au cours Florent. Notre complicité est née à cette époque. Marina est très vive et elle me fait beaucoup rire. J’aime sa façon d’avoir une grande finesse d’esprit, une analyse psychologique (presque psychanalytique) des choses et en même temps un humour potache, une capacité à rire de choses complètement futiles. Dans le travail, nous étions vraiment à l’unisson. Après avoir participé activement à la préparation du film à travers beaucoup de lectures, sur le plateau on a conservé cette liberté. Nous sommes deux perfectionnistes, surtout sur des comédies parce qu’on sait que l’humour ne tient qu’à un mot, un tempo. Et le baromètre, c’est le rire : si moi je ris, ça peut potentiellement faire rire d’autres gens. C’est mon seul indicateur réel.

PAPA OU MAMAN de Martin BourboulonComment Martin Bourboulon vous a-t-il dirigé ?
Il nous laissait assez libres et réagissait en fonction de ce qu’on lui proposait. Parfois il affinait sa demande s’il n’était pas satisfait. Et certaines prises se faisaient aussi un peu à la grâce de Dieu : suivant la situation, on «jetait» le texte d’une façon ou d’une autre. Quelques improvisations ont été gardées, d’autres pas. Ce n’est pas toujours facile de trouver les mots pour diriger un comédien parce qu’il faut éviter de lui montrer comment jouer. Mais s’il y a un dialogue, tout va bien. Martin avait beaucoup de choses à filmer et il n’hésitait pas à multiplier les prises et à changer d’axes pour avoir le choix au montage. C’était intense mais nous avons beaucoup ri, Marina, Alexandre et moi.

Que vous a appris la Comédie Française sur votre métier d'acteur ?
À aborder, presque sans réfléchir, plein de répertoires différents. Quand vous jouez en une année Gogol, Shakespeare, Voltaire et Feydeau, vous devenez un artisan qui n’a pas de temps pour l’introspection. Il y a évidemment une réflexion à travers un vrai travail sur les textes, mais il n’y a pas de place pour le questionnement égocentré. Il faut avancer, produire du jeu, être efficace. Et grâce au travail de troupe, on reste ancré dans sa vraie nature. Au cinéma, on peut courir le risque d’être surprotégé et de se prendre pour quelqu’un d’autre. Cela peut être fatiguant de jongler entre théâtre et cinéma mais ce métier de passion, j’ai tout fait pour l’exercer de cette façon-là, et tant que c’est en marche j’en profite.
(extrait dossier de presse)

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