Ce livre nous raconte de façon romancée la vie d’un grand poète, un homme épris d’amour et de liberté : Robert Desnos (1900-1945).
Après une enfance dans l’effervescence du quartier des Halles, l’adolescent se retrouve sans le sou quand son père apprend qu’il veut devenir "poète"... Alors, pour survivre, il exerce des petits boulots et se met à fréquenter les bars de jazz, les filles faciles et passe du bon temps avec d’abord ses amis surréalistes comme l’intransigeant Breton. Puis, au fil des rencontres, il côtoie Man Ray, Eluard, Artaud, Picasso, Garcia Lorca ou encore Barrault…
Après "La part des Flammes", l’auteur nous plonge avec virtuosité dans le monde culturel des années folles jusqu’aux heures sombres de l’Occupation. La romancière nous évoque surtout un homme attachant et viscéralement habité par les vers : même s'il a vécu fauché une grande partie de sa vie, il a été riche en amis et eu une foi en la vie.
Pour toutes ces raisons j’ai adoré ce livre et, en plus, il m’a rappelé un poème "Fourmi" que j’ai appris en primaire et dont maintenant je comprends toute la force !
Editions Héloïse d'Ormesson
Ce livre nous raconte de façon romancée la vie d’un grand poète, un homme épris d’amour et de liberté : Robert Desnos (1900-1945).
Après une enfance dans l’effervescence du quartier des Halles, l’adolescent se retrouve sans le sou quand son père apprend qu’il veut devenir "poète"... Alors, pour survivre, il exerce des petits boulots et se met à fréquenter les bars de jazz, les filles faciles et passe du bon temps avec d’abord ses amis surréalistes comme l’intransigeant Breton. Puis, au fil des rencontres, il côtoie Man Ray, Eluard, Artaud, Picasso, Garcia Lorca ou encore Barrault…
Après "La part des Flammes", l’auteur nous plonge avec virtuosité dans le monde culturel des années folles jusqu’aux heures sombres de l’Occupation. La romancière nous évoque surtout un homme attachant et viscéralement habité par les vers : même s'il a vécu fauché une grande partie de sa vie, il a été riche en amis et eu une foi en la vie.
Pour toutes ces raisons j’ai adoré ce livre et, en plus, il m’a rappelé un poème "Fourmi" que j’ai appris en primaire et dont maintenant je comprends toute la force !
Editions Héloïse d'Ormesson
Vous appréciez le Journal de François ? Soutenez-le ! Merci.
Retourner à la page d'accueil - Retourner à la page "Les lectures de Sophie"
Vous appréciez le Journal de François ? Soutenez-le ! Merci.
Retourner à la page d'accueil Retourner à la page "Les lectures de Sophie"
Aucun commentaire